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Au milieu des années 70, Achille Talon quitte les gags en deux planches pour de plus longues histoires au format 48 pages. Greg a voulu aller dans le sens d’une narration beaucoup plus longue, tout en maintenant dans ses histoires une veine humoristique.
La première grande aventure de Talon est donc "Le mystère de l’homme à deux têtes" qui est une reprise presque dans son intégralité d’un épisode de Toutsy, que Greg avait écrit pour l’International Press, à ses débuts.
Cette histoire d’amnésique bénéficie d’un bon rythme et d’une touche comique tout à fait remarquable. C’est l’occasion pour Achille de trouver en Lefuneste, le major Lafrime ou son père des alliés de poids qui l’accompagneront pour le reste de ses longues aventures. Un album à redécouvrir, même si le style verbeux de Greg pourra en lasser quelques uns…
Un épisode d’Achille Talon dans la lignée du précédent la main du serpent au ton toujours plus fantaisiste. Achille Talon est confronté à un savant fou qui conserve des hommes ainsi qu’une gargouille vivante, depuis le Moyen Age. Si l’histoire bénéficie toujours de bonnes répliques. Le tout est un peu trop bavard et l’histoire traîne en longueur. Lefuneste y tient un rôle particulièrement ridicule. On ne peut donc pas dire que cet album fasse parti des meilleures histoires longues de la série. L’inspiration est peut-être en berne. Il faut dire qu’à cette époque Greg sort une histoire longue d’Achille par an et cela ne se fait pas toujours au prix de la qualité. En même temps, cet album marque un peu une rupture, à partir de là, la suite des aventures du sieur Talon déclinera lentement en qualité.
Amusante cette longue histoire d’Achille Talon qui n’est pas sans rappeler Tintin et les Picaros (en beaucoup plus corrosive, cependant). Greg flingue tout sur son passage. Il s’en prend tout d’abord à la vision ridicule de certains occidentaux (son héros en tête) sur les pays du Tiers-Monde les imaginant totalement arriérés.
Ensuite, il renvoie dos à dos les dictatures en place incapables de gérer la richesse de leurs sols et les guérillas révolutionnaires qui veulent les renverser.
Enfin, cela permet de mettre en avant deux personnages souvent peu développés dans les aventures d’Achille Talon ; celui de l’éternelle fiancée : Virgule de Guillemets à la recherche d’un mystérieux trésor ainsi que celui d’Hécatombe la camériste de Virgule qui avec ses épaules de déménageurs n’hésite pas à affronter tous les dangers de la jungle. On notera la faible place tenue par Lefuneste ou le père d’Achille dans cet album, mais l’ensemble forme cependant quelque chose de très convaincant.
De l’avis de nombreux amateurs des aventures d’Achille Talon, les gags en deux planches sont de meilleure facture que les albums narrant une seule longue histoire. Il est vrai que la production de Greg a été assez inégale de ce point de vue là, oscillant entre le bon ("la main du serpent", "le trésor de Virgule"…) et le moins bon ("Viva Papa", "la loi du Bidouble"). Incontestablement cependant, "le roi des Zôtres" est sans doute une des meilleures histoires longues d’Achille Talon.
Le scénario est assez original et démarre sur un fait cocasse : notre brave Achille se retrouve, bien malgré lui, roi de Zotrland un pays qui ressemble fort à un pays germanique fascisant. Il fera tout pour se faire détester de la population et laisser le trône au jeune Abzurd, un pacifiste idéaliste qui sera bien aidé par Lefuneste.
Les dialogues de Greg sont savoureux et bourrés de multiples références et de jeux de mots très « talonnesques ». On est content aussi de retrouver maman et papa Talon et on en apprend d’ailleurs un peu plus sur leurs passés ; notamment, sur ce cher Alambic Talon, dont Greg laisse supposer qu’il a eu un passé d’anarchiste puisqu’une photo de lui le montre entouré de gendarmes…
Alors si vous ne deviez lire qu’une seule longue histoire d’Achille Talon, ce serait celle-là. Greg y signe un plaidoyer antifasciste burlesque… Seul problème, je ne pense pas que la jeune génération soit encore friande des longues tirades d’Achille Talon et c’est bien dommage…
Quand notre brave Achille Talon est en manque d’inspiration pour remplir les pages de son journal, c’est qui qu’on appelle à la rescousse ? C’est papa Talon bien entendu.
Un recueil reprenant chaque fois le même schéma, avec des sketchs de quelques pages. Ça ne révolutionne pas le genre mais ça se laisse lire. Moins percutant qu’un album d’Achille Talon, cet opus est plutôt un petit bonus, sans grande surprise. Content néanmoins d’avoir mis la main dessus, ça complète la collection.
Bien aimé ce tome qui met parfaitement en avant toute la verve de Greg, développée dans ses bulles interminables, pour raconter une situation généralement cocasse et assez originale, avec une bonne chute qui clôt bien le gag ouvert par un titre au jeu de mot amusant mais souvent capillotraté…
Bref, du Achille Talon dans toute sa splendeur même si je trouve que par la suite, on gagne parfois en souplesse dans le texte. Mais ça ne se boude pas.
Excellent tome (mais y en a-t-il des moins bons dans ses recueils de gags ?).
Talon reste dithyrambique par excellence, étirant avec saveur et vocabulaire sur 10 lignes ce qui pourrait se dire en une phrase…
Gags variés, donc idées variées, qui peuvent parler de tout et n’importe quoi, du boulot de Talon au journal à ses rapports au voisinage, Virgule comme les soucis de valises…
A chaque fois, c’est pertinemment développé et drôlement ciselé à mon goût ; j’adore.
Très bon opus, du Greg tout craché, qui a une situation originale et décalée dans chacun de ses gags afin de dérouler l’ensemble avec logique dans des textes ciselés et plein de jeux de mots.
Des histoires variées dans les sujets, pas de répétitions, on part un peu partout et c’est savoureux de le voir développer sa verve dans tous des dessins très expressifs.
J'ai toujours aimé Achille Talon.
Tout d'abord parce qu'il me rappelle que Greg n'était pas seulement un auteur et un dessinateur mais aussi un amoureux de la BD. Un bédéphile, un vrai puisqu'Achille est un hommage à Monsieur Poche d'Alain Saint-Ogan (dont par ailleurs Greg a repris Zig et Puce).
J'aime aussi à cause du dessin, avec Franquin et Tillieux un des sommets de l'école de Marcinelle. Regardons simplement dans le gag "Idée noire", page 25, les variations d'expression de Talon et le minimum d'effets mobilisés pour cela...
J'aime à cause des dialogues, souvent caricaturalement pompeux mais toujours millimétrés. Je ne sais plus où j'ai lu ce récit de Greg où il se souvenait qu'il avait apporté à Goscinny (qui dirigeait Pilote à l'époque) une des premières planche de A.T., dans l'album "Idée vague", page 5) où un petit oiseau sans cesse dérangé finit par prendre son balluchon et dire : "C'est décidé, j'émigre." Goscinny regarde la planche : "Moi, j'aurais plutôt mis "Je migre". Et Greg d'ajouter "Ce jour-là, j'ai pris un cours de scénario." Oui ça me plait de savoir que les scénaristes de cette époque pouvaient avoir ce niveau de précision dans leurs dialogues. Et ça me plait de voir Greg, au travers de son personnage logorrhéique, se moquer de sa propre tendance à pondre des dialogues pompeux.
A part ça, on sent aussi l'influence de "Modeste et Pompon" dont Greg avait pondu un certain nombre de scénarios, en particulier dans les personnages secondaires qui, au fil des albums, vont se multiplier, jusqu'à permettre à Talon et à Greg de mordre les mains et le journal qui les nourrissaient.
Je n'ai jamais aimé Achille Talon. Tout ce que je déteste dans la Bd y est représenté. Un archaïsme désuet doublé d'un style genre intello qui a le bon mot. Ce n'est pas drôle (enfin, cela dépend pour qui) et en plus c'est lourd !
Le dessin n'arrange rien à l'affaire. La lecture est franchement ennuyeuse. Je ne fais manifestement pas partie du public visé par cette Bd et pourtant je suis un adepte du langage châtié.
Associé à un dessin des plus classiques, cette bande dessinée allie des dialogues recherchés et subtils, ne reculant pas devant les néologismes, les jeux de mots, les allusions littéraires et les tirades alambiquées.
Achille Talon est reconnu pour les qualités de son dialogue brillant et fin, rempli d'allusions culturelles et de calembours savoureux, qui lui valent de figurer par pages entières dans les manuels scolaires, et de faire l'objet de plusieurs thèses de doctorat.
Cependant, rien à faire ! Je trouve cela pompeux à souhait ! Pour de vraies joutes verbales, on préfèrera l'excellent et cultissime "De Cape et de Crocs" !
J’ai beaucoup aimé celui-là.
Si j’ai assez vite capté les astuces finales, ça ne fait rien : il y a la verve de Greg, les phrases ciselées et que je trouve hilarantes de précision sémantique, les réparties qui tombent bien avec subtilité…
Ce qui ne gâche rien pour une aventure de Talon, c’est qu’Achille participe activement au lieu de suivre ; c’est vraiment lui qui fait tout et c’est réjouissant.
Avec des scènes exagérées très drôles, de l’inventivité et une ambiance joyeuse. Très bon.
Les débuts d’Achille Talon avec des histoires en une page et une chute souvent bien trouvée et bien amenée.
Greg part sur l’idée d’idées et, tel un exercice de style, semble dérouler des petits sketchs en associant un adjectif à cette idée (idée fixe, idée nette, idée sur mesure…).
Déjà, dans ce premier album, tout ce qui fera Achille ou presque, le voisin, Virgule, le major… Et déjà la verve même si elle est encore assez ténue car ça reste court et on voit bien que tout est fait pour arriver à la chute sans trop s’encombrer de dialogues qui pourraient perturber le déroulement.
Ça ne révolutionnera pas la BD parce que ça reste simple, moins poussé que ça ne le sera ensuite, mais c’est plus qu’agréable.
Du Greg dans toute sa grandeur.
C’est varié, plein de fantaisie, d’originalité et de subtilités.
Un excellent album où quasi tous les gags sont bons ou excellents.
Globalement, il n’est pas mal du tout, celui-là.
De l’humour, de la verve, de l’imagination, une critique écolo, un hommage à Franquin, une surprise finale…
Pourtant, je n’ai pas totalement adhéré malgré une indéniable qualité…
Je ne sais pas pourquoi mais les dessins m’ont paru moins précis… Et puis le fait qu’Achille Talon soit plus en retrait et que ce soit Papa Talon qui fasse tout m’a moins emballé.
Ressenti comme une fatigue chez l’auteur, je sais pas pourquoi…
Beaucoup aimé cet opus.
Trois premières histoires pour montrer Talon à travers les siècles – je m’attendais à de la lourdeur et en fait c’est très inventif, très léger et très drôle.
Puis une suite de gag, comme d’habitude, mais que j’ai trouvé de bonne facture, souvent malin et toujours plein de verve…
Chouette.
Je reste toujours fan des formulations verbeuses de Greg, les envolées lyriques de ses personnages, les tournures riches et vocabulairesques qu’il propose.
Et si j’ai trouvé l’opus agréable, je reste néanmoins légèrement déçu par l’action, un poil répétitive, manquant de rebondissements, d’ingéniosité, de surprise, tournant globalement en rond (avec trois ou quatre attaque de transistors, plusieurs menaces identiques…)
Toujours bon mais moins inspiré.
Verve du texte, fraîcheur du dessin, inventif, on passe un très agréable moment – même si 7 gags, 14 pages, sur Colossyne, la puce savante, c’est un peu beaucoup…
Pas mal : de la verve, de l’originalité et du décalage (j’adore quand Talon nous explique la BD). Quelques gags faciles ou moins intéressants (10 que j’ai trouvé bons sur 23 contre 4 mauvais)…
Moment sympa en compagnie de l’ami talon qui varie bien les sujets dans cet opus.
Alors d’un côté, on atteint une excellente qualité ; les textes sont tout aussi intéressants mais plus fluides, les dessins sont plus souples, c’est carrément chouette.
Et d’un autre côté, on a des blagues qui tombent totalement à plat, à base d’extraterrestre ou autre…
Mais comme globalement, il y a d’excellentes choses, le moment passé resté plus agréable
Bon, il faut reconnaître que Talon n’a jamais été l’exemple du réalisme dans les histoires.
On part donc dans un joyeux délire de sables qui rendent fou quand ils sont combinés, de militaires totalement débiles, de diverses traversées d’océan les doigts dans le nez…
Mais on s’en fiche : c’est Talon, c’est totalement assumé, c’est drôle, c’est bien écrit et y’a pas de temps mort.
Très plaisant.
Autant je suis fan de Greg, autant j’ai trouvé cet album un poil poussif.
Les envolées sont un peu moins lyriques, les situations un peu moins décalées… Et puis on dépasse le côté frères ennemis avec Lefuneste pour entre parfois dans une franche hostilité qui m’avaient échappé jusqu’alors.
Plus méchant, moins subtil.
J’ai adoré cet album ! Somptueux !
On a le phrasé de Greg que je trouve désopilant – et qui mettra sûrement bien en peine de jeunes lecteurs, mais tant pis pour eux, moi, je me délecte !
Et puis le prétexte de faire tous les services du journal fait varier les protagonistes tout en nous mettant faussement dans la confidence de la création d’un journal.
Très réussi !
Cela faisait une décennie, à tout le moins, que je n'avais pas lu un album d'Achille Talon (Chichille pour son papa et ses admirateurs). Dans mes souvenirs c'était encore mieux ... même si c'est toujours un grand plaisir de retrouver le personnage le plus bavard de la BD.
Encore un Talon ou Greg a oublié de produire un scénario décent pour pondre une logorrhée inextinguible. Ah, oui, belle coloration.
ça reste sympathique, c'est léger, reposant. Ce sont des petites histoires qui se tiennent sur une page. On parcourt les péripéties d'Achille Talon, le relationnel qu'il a avec son voisinage. Personnellement je n'ai pas beaucoup ri, ce n'est pas trop mon style d'humour mais j'ai beaucoup aimé le dessin, la manière dont c'est colorié. Je suis fan de ce genre de dessin.
5/10
Un album très agréable à lire qui brille par son humour grâce à la qualité et à la richesse des dialogues.
Comme toujours dans Achille Talon la richesse de l'album demeure dans les dialogues et le comique de situation. Ici sans commence très fort et la première partie de l'album est à crevé de rire. Dommage que ce ne soit pas aussi bon dans la seconde partie, les rires laissent place à quelques sourires parce que ça a tendance à traîner en longueur.
Dans l'ensemble c'est une véritable réussite.
C'est un "parpaing" comme le dit très bien Lupano dans son excellentissime préface.
Et ces deux pavés sont parfaitement manipulables (au contraire de ce que j'ai pu lire ici et là)... si vous la lisez sur une table, ou sur vos genoux dans le canapé. Ce n'est clairement pas un livre qu'on lit dans son lit le soir, en voulant à tout prix le tenir dans une main, ou à deux mains au dessus de sa tête (on risque clairement de s'assumer s'il glisse).
J'ai juste eu un tout petit peu peur lors de la préface de Lupano où les pages semblaient un peu trop transparentes de par leur finesse, mais il n'en est rien pour les planches couleur.
Un très beau coffret à offrir à ceux qui aiment Achille Talon, voire encore plus à ceux qui ne le connaissent pas bien.
J'ai vraiment passé un super moment en lisant cet album et je n'ai cessé de rire!
Des gags tout en finesse!
Premier album d'une longue série, Les idées d'Achille Talon présente les bases de l’œuvre. Le dessin n'est pas encore sur mais les gags sont bien trouvés et amusants.
36e opus des gags d'Achille Talon par l'inévitable Greg. Inégaux bien sûr, ce mini-récits de quelques pages sont néanmoins plaisants.
31e album d'Achille Talon par Greg. Pour commencer une relecture de l'histoire de France grâce aux ancêtres d'Achille puis les éternelles disputes avec son voisin Lefuneste. Lecture plaisante.
Nouvelle série de gags de Greg. Les chamailleries d'Achille Talon et de son voisin Lefuneste sont toujours plaisantes.
Nouvelle série de Gags par Greg. Achille Talon est toujours bavard et prétentieux dans cet album plaisant et drôle.
Achille Talon, sa famille, son voisin et sa personnalité si extravagante. Les gags se succèdent pour une lecture plaisante.
Gregg persiste dans un Achille Talon plus littéraire dans le gag. Par exemple, Achille essaye, par un long discours, de remettre un cambrioleur sur le droit chemin. Pendant ce temps, ses complices pillent la maison. Achille fait pétition contre une enseigne qui indique « S-X-hop » mais il s agit de Saxophone. Jeux de mots, calembours, contrepèteries, tout y est.
Achille Talon est engagé comme figurant dans un film historique. Il en est mais il se rende compte que son rôle est celui du bébé dans la scène de l escalier du Cuirassier Potemkine. Cet album est marquant car la série prend un tournant plus culturel avec des références cinématographiques ou littéraires.
Pour embêter son coloriste, au fort accent flamand, Achille Talon se déguise en arlequin mais la planche sera publiée en noir et blanc. Gregg signe, ici, son « plus belge » album dans lequel on retrouve quelques références au pays d origine de l’auteur. Il nous offre également quelques beaux gags liés aux difficultés de création de B.D.
Gregg présente dans cet album un Achille Talon éloquent et prolixe. Le directeur du journal demande à Achille de rédiger un article sur les problèmes cardiaques. Il en est tellement excité qu'il fait un infarctus. Le coté enfantin du personnage se révèle encore lorsque Achille donne un cours à Lefuneste sur le cinéma d auteur mais il ne lui projette que des films pour enfants tel que Le chaperon rouge. Le dessin devient plus précis.
Gregg essaye dans cet album de nous montrer un personnage plus touchant voire enfantin. Par exemple, il accompagne un enfant perdu devant chez lui. Après avoir ramené le gamin, Achille se rend compte qu il est perdu à son tour. Achille offre une bague de fiançailles à la marquise qui lui dit, devant son amie Perfydie, qu elle ne mérite pas un tel cadeau. Achille reprend la bague et il va la revendre.
Achille se souvient de ses vacances avec son cousin Attila, tyrannique et violent , qui n’a jamais cessé de le martyriser. Depuis, chaque année , il plait à Achille de faire un petit détour par la prison municipale pour saluer son cousin. Dans cet album, Greg nous plonge dans l enfance de son personnage. On découvre, ainsi, sa maman aux allures décontractées issues du « Power Flower »
Greg peaufine le caractère de son personnage. Il nous présente un Achille Talon, cette fois, colérique. Battu au golf, Achille reste très fairplay mais dès qu il se retrouve seul, il devient fou de rage. Sous influence de l alcool, il lance des tomates à la tête de Lefuneste mais en il touche la marquise Virgule de Guillemet.
Dans ce deuxième album, on rencontre Alambic, le père déjanté de notre héros. Greg nous propose un animal de compagnie pour Achille Talon pour faire comme les autres personnages de bandes dessinées mais finalement, il restera seul. On va découvrir, dans cet album, un Achille Talon encore plus naïf, plus « à côté de la plaque ».
Le premier album d’une série mythique dans lequel on découvre les personnages récurrents tels que le vantard Major Lafrime, la vieille fiancée dite marquise Virgule de Guillemets et le voisin insupportable, Hilarion Lefuneste. On appréciera le genre de gag où Achille tente d hypnotiser son voisin mais, au vu de ses échecs, il finit par l assommer avec le manuel d hypnose.
Disons le tout haut : Achille Talon à toujours été une BD fort ennuyeuse à mon goût ! Greg était un scénariste formidable avec une textuelle débordante qui mériterait bien qu'on y consacre un ouvrage ! ( pourquoi personne n'y a pensé ? ) Dans chaque séries scénarisées par Greg- comanche, Bernard Prince, Bruno Brazil ..... il y a toujours des phrases qui font mouche ! Achille Talon, je le disait plus haut, est assez rasant à lire- que de bulles !!!! Or ici, c'est toujours rempli de bulles je vous rassure, mais on reste béat devant tant de petites phrases si savamment tournées que ça en devient pratiquement culte ! L'esprit d'Eloi n'est pas mal non plus ! Et pis, mine de rien, je viens de poster le 32000 ième avis de ce site, non ?
Achille talon, vaste programme.
Je n'ai jamais été un fan de la série, je trouve le style trop parlé, on se noie sous les discours pour ne pas dire grand chose...
Mais là, comment dire... ça n'arrête pas, gag, re-gag et compagnie. Tout est débile. Le héros, le voisin, les méchants, l'entourage et les flics... Reste plus que ce pauvre gorille qui saura trouver son karma dans cette bêtise environnante.
Un très grand moment de comédie à la De Funès façon "Oscar".
J'ai ri et je re-ri toujours à la relecture de ce petit chef-d'oeuvre.
C'est grand.
Un bonne suprise! Alors que, jusque maintenant, les reprises n'étaient pas du tout convainquantes, ce nouvel album renoue avec l'esprit de Greg et je dois dire que j'ai vraiment pris du plisir à lire ce nouveau Chichille! Le dessin de Moski s'est également considérablement amélioré depuis l'album précédent.
Retour de l'inénarable Fo-Pli et de ses aphorismes confucéens. Cette fois ci nous sommes en présence d'une machine permettant la duplication, multiplication de toute chose inerte. On devine aisément qce que Greg peut tirer d'une pareille situation.
Souvenons nous aussi qu'il avait déjà soumis une idée pareille au Studio Hergé !
Tout commence par un contrôle fiscal aussi court que joyeux (et dément !) et tout continue dans ce qui serait une version talonienne de "Valérian contre les mauvais rêves".
Car c'est bien de cauchemars dont il s'agit. Cauchemars qui pourraient provoquer la guerre entre la République du Moderato et l'émirat du Kanthabyle (les cinéphiles apprécieront !). Mais notre ingénieux Chichille a tôt fait de faire marcher ses cellules grises ...
Une excellente cuvée à recommander.
Toussaint Glainglin est un kleptomane maladif mais bigrement habile. Mais il vole à son corps défendant, voici pourquoi Achille a décidé de le remettre sur les rails de la vertu. Malheureusement de vilains bandits on enlevé cette bonne Virgule et demandent en échange une pièce de collection rarissime : l'appeau d'Ephese, outil antique sensé rameuter les crocodiles.
Malgré une virée new-yorkaise, malgré le mariage d'Hécatombe, la camériste de Virgule, voici un album très moyen. Greg a perdu la main et c'est dommage pour nous.