Les avis de - Udangeureux

Album amusant, où notre cowboy a fort à faire avec un magicien.
Le début est en tout cas très drôle, avec l’arrivée au pénitencier et la rencontre avec les Dalton. La suite est plutôt de bonne facture mais il y a un côté un tantinet répétitif. Et Lucky Luke passe un peu au second plan. Un bon album malgré tout.

C’est simple et efficace, l’histoire d’un avion qui se crashe en pleine jungle amazonienne. Un petit côté Lost, voir un de ces films catastrophe hollywoodiens qui avaient la cote dans les années 70. Après tant d’années, l’aventure fonctionne toujours parfaitement, Dany et Van Hamme nous font vivre un excellent moment de lecture.

Un excellent tome, qui nous plonge dans une ambiance un peu froide, on est loin d’un album plus classique où règne habituellement le côté humoristique et bon enfant. L’idée est très intéressante et l’histoire pour le moins originale, avec comme souvent une belle morale. Niveau dessins, c’est top, c’est vraiment de la reprise de haut niveau.

Une course à l’orchidée rarissime dans la forêt palombienne, le tout sous la surveillance de la famille Marsupilami. Un album dynamique, plein de rebondissements et d’humour, un très bon tome qui fait plaisir à lire. Probablement un des meilleurs tomes à tout point de vue.

Notre journaliste va une nouvelle fois être balloté dans tous les sens. L’histoire démarre à Lausanne, se poursuit au Québec et s’achève en bonne partie sur une île du Pacifique. Question dépaysement on ne s’ennuie pas. Et les différents décors, joliment dessinés, rendent l’ensemble très agréable. L’histoire tient par ailleurs bien la route et l’on ne s’ennuie pas. Seule la fin fait un peu retomber le soufflé mais au fond, ce n’est qu’un détail, on passe un bon moment de lecture.

Voilà un excellent tome, superbement travaillé par Graton.
Tout part d’un pari entre Warson et un de ses amis américains qui est pilote d’avion. Ou chacun propose de venir faire un baptême dans leur discipline. Ce sera donc Warson et Michel versus nos pilotes, les thunderbirds. Un début d’album très sympa, où l’on a autant de plaisir de se retrouver sur circuit - ici au Mans pour l’occasion - que dans les airs, Graton nous offre de bons moments et c’est vraiment agréable.
La seconde partie de l’histoire entraîne tous les protagonistes dans un combat sans merci contre une usine chimique en feu. Franchement, c’est bien construit et l’album nous tient en haleine jusqu’au dénouement de l’histoire. Une vraie réussite, à lire ou relire.

Une histoire dans l’histoire, avec nos 3 jeunes qui continuent leurs actions et y entraînent nombreux partisans de leur entourage. Mais rien n’est rose dans cet épisode et il peut sembler relativement difficile par moment. Car sous des dessins et une image parfois enfantine, l’on découvre certaines horreurs de cette guerre. Bref un ouvrage pour tous, pas uniquement destiné à un public jeune. À lire sans hésitation.

Scénario démarré par le grand Charlier, il n’aura pas le temps de le terminer. Et c’est Corteggiani qui achèvera le final de cet opus plein de surprises et rebondissements. Un Blueberry une nouvelle fois ingénieux, qui va tout faire pour mener à bien sa mission.
Les dessins de Wilson sont plaisants, les couleurs donnent un petit plus pour le côté visuel et l’ambiance de cet album, pour une lecture agréable. Suite au prochain épisode.

J’ai toujours aimé les Martin Milan et la générosité de Godard à nous conter des histoires dont seul lui avait le secret. Baignant souvent dans une certaine poésie et un humour parfois caustique, je m’attendais à retrouver tout ce que j’aime dans cette série avec ce 12eme tome, sorti 10 ans après son prédécesseur.
Malheureusement, j’ai trouvé que tout ce qui faisait le charme de la série s’est perdu pendant ces années et on est loin des chef-d’œuvre d’antan. L’histoire est plutôt moyenne, les personnages sont sans saveur, on n’est pas pris dans l’aventure, c’est relativement plat au niveau du scénario et des dialogues. Les dessins ont déjà été beaucoup mieux. Bref, l’ensemble est un peu décevant.

Tout y est pour faire un bon final, Blueberry retrouve enfin sa liberté après de nombreuses péripéties et quelques albums qui nous ont régulièrement tenu en haleine.
Finalement, les bons s’en sortent plutôt bien et les salopards récoltent enfin le sort qui les attendait. La boucle est bouclée, fin de l’histoire. Scénario aux petits oignons, dessins soignés tout du long, de la bd de western incontournable.

Personnellement, même si l’album est globalement de bonne facture et comme très souvent, bien travaillé, j’y vois plutôt un album de transition, de remplissage. Fallait sortir un tome, écrire un truc pour respecter les délais.
Loin d’être mauvais, le manque (volontaire) d’action et l’ambiance générale de cet opus, pourraient en décevoir certains.

Comme toujours, les dessins sont parfaits, du grand art.
Niveau scénario, j’ai été surpris de découvrir ce qu’il en était au fil des pages, Van Hamme a, semble-t-il, été bien inspiré à l’époque par une certaine trilogie avec une DeLorean. Enfin, l’important c’est que cela fonctionne bien et de fait, on est sur une excellente histoire, bien ficelée. Bien vu messieurs!

Un album extrêmement bien réussi sur la jeunesse d’Aaricia, sous forme de plusieurs histoires courtes. Ses premiers emois pour notre héros.
Dessins magnifiques et un scénario efficace, du talent à l’état pur pour les deux auteurs.

Suite logique du Grand Ancêtre, un album qui fait plutôt office de transition et détaille certains événements liés aux différents protagonistes. Assez réussi dans l’ensemble, ce tome remonte un peu le niveau de son prédécesseur. Reste à savoir si la suite (et fin) restera du même acabit.

Du post mai 68 revu et corrigé. Sur fond de détournement des œuvres d’art du Louvres, une uchronie dans un Paris dévasté et en pleine crise, où les guerres civiles sont omniprésentes.
Une bonne histoire, avec des protagonistes intéressants, on a presque l’impression de croire à ce passé revisité. Lecture plus qu’agréable, un très bon tome.

À côté de l’adaptation de la Comtesse de Ségur, Carpentier nous sortait dans ses premières années, ses histoires de Toyottes, bestioles style rats, un peu stupides sur les bords.
Ce premier tome fait office de découverte du petit peuple, ses soldats, son roi, son niais de fils Barnabé etc.. dans une petite aventure en dehors de leurs égouts, au prise avec un drôle d’oiseau.
C’est amusant, sans plus. Les mêmes petits gags reviennent en boucle, l’histoire se lit mais n’est pas des plus emballante.
Bref, à lire pour découvrir mais tant qu’à faire, mieux vaut un bon vieux Poje ou un Helmut. Là, on se marre vraiment.

Bon, le scénario est un peu tarabiscoté mais le dessin vient bien relever l’ensemble. Et c’est évidemment un des gros atouts de Leloup.
D’autre part, la première apparition de Rosée se trouve dans ce 16eme tome, plutôt intéressant de connaître le début de l’histoire entre elle et Yoko - même si c’est un peu rapide comme relation.

Un album composé de deux petites histoires. C’est gentillet, teinté d’humour et les dessins de Bedu sont toujours appréciables. Une série qui pour moi s’est terminée un peu trop vite.

Sûrement pas le meilleur mais c’est un bon album de notre grand vizir. Gags et quiproquos vont bon train, même si le scénario a parfois tendance à partir en vrille. À lire, pour le plaisir.

Mouais, c’est pas franchement ce qui s’est fait de mieux dans la série. En manque de créativité ou l’inverse, trop d’imagination et hop, on a un album avec tout et n’importe quoi.
Sérieusement, De Gieter s’est lancé ici dans une histoire abracadabrante où nos deux jeunes héros se retrouvent coincés sur une île. L’île est infestée d’insectes qui vont embarquer notre princesse. Heureusement, Papyrus part à sa rescousse, une fois n’est pas coutume. On rajoute à cela des dragons-serpents sortis de nul part. Et voilà on a une petite soupe vite fait bien fait. Mais tout ceci est loin d’être suffisant pour une bonne histoire.
Cet album est assez décevant dans l’ensemble, très passable.

Un album entre deux. Déjà moyennement emballé par les dessins. Et puis, si le scénario n’est pas mauvais, les auteurs en font peut-être un peu trop sur le compte de l’uchronie.
Une flopée de personnages, avec du monde connu et on prend tout le beau monde, on mélange et on en fait une histoire. Nous mettre un Hitler avec un bandeau de Zorro, considéré Nicolas Tesla comme un savant fou, Mata Hari qui bosse pour les chinois, des armes à impulsions électriques,…ok il y a de quoi faire mais c’est quelque peu grand-guignolesque.

Un premier épisode extrêmement bien réalisé, on sent que les auteurs tiennent bien leur sujet et qu’ils se sont fort bien documentés - cf le petit dossier en fin d’album très intéressant et pédagogique.
Un album à lire, avec un bon scénario et des personnages touchants, un excellent moment de lecture à la fois pédagogique et ludique.

Excellent second tome, dans la lignée de son prédécesseur.
Tout est vraiment plaisant dans cette série. Le scénario est vraiment très bien écrit, l’histoire possède une bonne intrigue, les personnages, même secondaires, ont leur importance.
Le dessin est superbe, avec de jolis détails, le trait est très beau, les bâtiments, décors sont magnifiquement représentés, on est bien plongé dans l’ambiance de l’époque. On sent qu’il y a beaucoup de recherches derrière cet album. Un joli cahier d’une dizaine de pages vient d’ailleurs compléter l’album. À lire sans hésiter.

Cette série n’a jamais vraiment eu son succès. Et pour cause, c’est un peu le vilain petit canard à l’époque de sa sortie. Il y avait beaucoup d’autres séries plus emballantes et prisées. C’est dommage pourtant de ne pas en parler plus souvent.
J’avais, à leur sortie, lu les 6 premiers tomes et passé plutôt de bons moments de lecture. Récemment je suis tombé sur ce 7ème opus et je dois dire que j’ai assez apprécié de retrouver Uliat et d’autres personnages. L’histoire est pas mal et se lit facilement, même si ce n’est pas extraordinaire ça reste de la bd agréable. Les dessins, eux, ne sont pas toujours au top niveau, mais sont tout de même corrects. Bref, ce n’est certes pas un premier choix mais c’est une série recommandable néanmoins.

J’ai lu les deux premiers tomes de cette série et il faut bien avouer qu’elle est assez bien écrite et intéressante.
Les personnages sont vraiment bien travaillé et le thème du paranormal et plus particulièrement du spiritisme est une excellente idée, ça change de ce qui existe déjà. Les dessins de Mara font le taf, il y a une bonne ambiance, c’est extrêmement bien animé et joliment coloré. Il me tarde de lire le suivant.

De très beaux dessins, un scénario intéressant, une belle flopée de personnages, une réalisation très originale où il y a de très bonnes surprises. Les scènes de combats sont pas mal foutues mais restent dans une certaine légèreté, ça aurait pu éclater un peu plus.
Comme déjà dit, niveau dessins, c’est vraiment bons, mention spéciale sur certaines planches/vignettes grand format.

La petite tribu se rend dans les Highlands, fort bien dessinés par Roba. Avec beaucoup d’humour et toujours un côté bon enfant, Archibald et ses amis nous font vivre une chouette petite aventure dans un décor fort sympathique.
Une lecture toujours appréciable, quelques décennies après. Simple et efficace.

Un bon petit polar britannique, le scénario est un peu tarabiscoté mais est renforcé par d’excellents dessins de Juillard.
C’est nettement moins étouffant qu’un Jacobs au niveau de la narration et des dialogues - certains apprécient, moi je trouve ça imbuvable - et cela rend l’histoire plus agréable à suivre. Certainement pas le meilleur de cette série mais somme toute intéressant.

Suite du tome 6 et crossover de la série parallèle des Elfes - cf tome 32 - cet album qui commence de manière relativement calme, monte crescendo au fil des pages. Trahison, haine, vengeance, cet opus nous fait vivre de nombreux moments et rebondissements.
Il est plutôt sombre et nous gratifie de dessins fort réussis, de belles mises en pages, avec des couleurs extrêmement bien choisies, qui donnent encore plus de profondeur à cet album. Une belle réalisation.

Premier tome où l’on découvre les Elfes Sylvains, leur monde et croyance. L’alchimie entre Llali, fille de roi (humaine) et Yfass, jeune elfe sylvain fonctionne à merveille, l’histoire est très prenante et l’on est tenu en haleine quand à leur périple. Grosse surprise au final que la mort des deux personnages principaux mais très belle conclusion.
Un scénario vraiment bien construit, des dessins superbes, avec de magnifiques décors et une ambiance incroyablement bien représentée, le rendu est parfait. Indispensable.

La série ne date pas d’hier et pourtant, je n’avais jamais lu un tome jusqu’à maintenant. Voilà quelque chose de relativement intéressant, bien mené par le scénario de Duchateau qui ne part pas dans tous les sens comme il a déjà pu le faire, on est dans de la bonne science-fiction. Qui plus est, le dessin de Rosinski est assez bien travaillé, on a au final un très bon rendu. Bref, les auteurs font un bon boulot sur un thème qui a été déjà exploité à foison (les voyages dans le temps) et ils s’en sortent très bien.

Et bien voilà, après avoir souffert à la lecture de deux albums des Cauchemars, ce Jour des Fous (+ autres histoires) fait plaisir aux zygomatiques. Enfin, je retrouve du Iznogoud drôle, distrayant, absurde et bien plus encore. Un album efficace, comme on les aime.

Moins bon que les premiers albums, Dufaux au scénario dans un style un peu différent forcément. On entre dans un univers un peu sectaire, avec un poignard maléfique qui amène le malheur à qui le possède.
Il n’était pas utile de faire virer la série dans ce style un peu fantastique, la suite dans le tome suivant, pour tirer en longueur.

Lu d’une traite, j’ai vraiment été plongé dans ce labyrinthe au sein même des pyramides. Très bonne histoire, pour un album vraiment divertissant, à lire sans hésitation.

Du grand Bédu. Ce one shot n’est probablement pas parfait mais on sent qu’il y à une volonté de vouloir faire voyager et vivre l’aventure au lecteur. C’est super bien animé, l’histoire est sympa et l’ambiance tout du long est fort bien rythmée.
Une excellente réalisation pour un moment de lecture très agréable.

Album correct, rien d’extraordinaire. Dommage que l’invention de Karamazout ne soit pas mise plus en valeur dans l’histoire, le scénario est trop vite tiré vers le voisin richissime et ses mauvaises intentions. Et puis, la réquisition du sous-marin, ça a beau être une bd qui visait un public jeune, ça n’en est pas moins exagéré, ça n’a aucun sens.
J’étais content de le relire mais finalement beaucoup moins emballé qu’il y a quelques décennies, l’épisode a plutôt mal vieilli.

Mini série intéressante, ce premier album est plutôt réussi. Certes, niveau scénario/histoire on n’atteint pas le niveau de la série mère mais les dessins de Vance sont vraiment beaux et l’ensemble bénéficie d’une jolie colorisation, qui nous apporte une lecture agréable.

Pas très convaincant cet album composé de plusieurs histoires. Tout cela n’est pas très abouti. Et quid de la dernière histoire qui n’a rien à voir avec du Luc Orient? Franchement pas réussi, cet album est juste bon pour compléter la série et est très loin du niveau de la plupart des autres tomes. Parfaitement évitable.

Ça ne vaut pas mieux que les autres tomes des cauchemars d’Iznogoud, des gags en une page qui ne sont pas drôles. C’est franchement nul, ça aurait dû rester au placard.

Ce sixième tome sort un petit peu de la trame de départ, c’est un peu une histoire dans l’histoire en quelque sorte. Et c’est pas plus mal comme ça. Le scénario est intéressant et l’ensemble est très plaisant et dynamique. Cet album est une belle réussite.

En toute honnêteté, j’avoue n’avoir jamais lu un Jeremiah avant celui-ci. Mais comme j’adore les dessins et le travail d’Hermann, obligé de me faire une idée de cette série.
Comme pressenti, au niveau du dessin c’est superbe. L’histoire est vraiment intéressante, scénario bien écrit, je ne regrette absolument pas ce moment de lecture. J’en lirai d’autres sans hésiter.

Un bon tome où l.on plonge une nouvelle fois en pleine science-fiction, toujours avec ce côté mystérieux et un peu abracadabrant. Le temps a passé sur Terango et n’a pas fait que du bien. Les autochtones sont des amazones géantes plutôt agressives, des crabes géants eux aussi, une immense créature des marais d’où l’on ignore également la provenance. Des explosions radioactives en seraient peut-être la cause. Bref, c’est un peu tout et n’importe quoi mais ça faisait son effet à l’époque. Intéressant de les relire maintenant, avec le recul. Ça n’en reste pas moins une bonne série, très appréciable pour les amateurs du genre.
Question existentielle aussi: le professeur Kala est toujours autant attaché à sa pipe. Mais avec quoi la bourre-t-il depuis le temps qu’il voyage?

C’est le deuxième tome que je lis et je trouve cette série appréciable. L’idée de faire un western dans ce style est franchement une bonne idée.
Les personnages sont vraiment bien foutus, chacun avec ses convictions et ses idées, ayant tous un passé assez mouvementé. Et puis ce mélange fantasy où l’on retrouve de l’elfe, orc… amène encore une touche supplémentaire. Ça ne plait peut-être pas à tout le monde, en tout cas, personnellement, je ne manquerai pas de lire les autres avec plaisir.

Dany revient solo pour cet album d’Olivier Rameau et celui-ci est fort réussi. Loin d’Hallucinaville, on se retrouve dans les marais nauséabonds du Bayou. Changement de décor certes, mais le dessin de Dany est toujours aussi remarquable et le tout est joliment colorisé - même dans le bayou, oui oui!
Également il est toujours aussi agréable de retrouver tous les personnages qui font partie de cette série.
L’histoire est de bonne facture, le scénario est moins travaillé qu’à l’époque de Greg mais reste très intéressant Comme tous les albums, une fois lancé dans l’histoire, on a du mal à le lâcher tant on est pris dans cet univers sympathique et joyeux.

Simple et efficace, comme toujours. Le plaisir de retrouver nos héros du journal Tintin. Plus j’en relis, plus je me dis que c’était vraiment une très belle époque pour la bd, on ne s’en lasse pas.

Probablement le pire des albums de Natacha que j’ai pu lire.
Juste bien pour les gamins amoureux des petits dinosaures. Walthéry a trop regardé Jurassic Park à mon avis. Franchement incompréhensible d’avoir sorti un album pareil, il n’y a rien de bon à en tirer.

Les débuts et origines de notre jeune garçon sauvage, élevé par les loups et vivant à l’écart de la civilisation et des hommes.
Ce premier tome est une petite mise en bouche, assez classique mais l’histoire est bien écrite. Une seconde histoire est présente dans cet album et ne manque pas d’intérêt non plus.
Pas le meilleur de la série mais très correct pour une première histoire.

L’ange blond m’avait assez déçu dans l’ensemble et je craignais de ne plus retrouver un Natacha un peu plus animé, dynamique.
C’est finalement le cas avec cette Veuve Noire qui est plutôt réussi. Certes, le scénario est un peu tarabiscoté encore une fois mais l’histoire est plaisante et ça bouge pas mal. Un bon album.

Quelle déception! Autant certains des derniers se laissent lire, autant celui-ci est franchement foireux. Le début pouvait paraître prometteur mais au fil de l’album, le niveau devient vraiment décevant, jusqu’au final. Même les jeux de mots sont pour la plupart ratés. Seul Assurancetourix sur scène m’a fait sourire avec les textes de son medley. Sinon, cet album est juste bon à compléter la collection.

Compilation de gags en une page. Autant il y a des albums avec plusieurs histoires, voire une histoire complète qui sont formidablement bien construits et indispensables, autant ce recueil de gags (si l’on peut appeler ça comme ça) est affligeant de bêtises, c’est juste là pour remplir des pages et personnellement, je n’ai pas rigolé, grosse déception.

Suite directe du « contrat du siècle », celui-ci est un peu en deçà de son prédécesseur mais reste un bon album, avec une intrigue intéressante et plutôt bien développée.

Une fois de plus, un recueil qui tient toutes ses promesses quand au sujet abordé, du beau petit monde comme à chaque fois, un joyeux plaisir de se replonger dans cet univers de recueils qui ont bercé l’enfance de pas mal de personnes.

On ne va pas dire qu’au niveau de la série, cet album, qui raconte les débuts de nos deux héros, soit extraordinaire. La série a bien mûri ensuite en nous offrant des albums fabuleux.
Alors oui, c’est sympa de voir les premiers pas des personnages, la rencontre avec Laureline est un peu simpliste et elle semble bien vite emballée de sa nouvelle rencontre. L’histoire en soit ne casse pas la baraque, scénario léger, on sent que ce sont les débuts.
Bref, pour avoir lu plusieurs autres albums, qui m’ont beaucoup plu, celui-ci n’est pas vraiment à la hauteur mais restons indulgent, ça reste correct.

J’avais bien apprécié les 5 premiers tomes, mais finalement arrêté de les acheter. Je reprend la lecture un peu à l’aveugle avec ce 16eme opus trouvé par hasard. Et la je suis un peu largué compte tenu des événements qui se sont produits entre-temps, cet album faisant de nombreuses références aux autres.
Bref, ça se lit et c’est malgré tout compréhensible. Mais je suis toutefois mitigé quand au contenu, cela ne m’a pas emballé comme le début de cette série. Les dessins restent eux, très bons,

J’adore Martin Milan et le travail de Godard en général. Nombreux albums sont pour moi des pièces incontournables dans une bibliothèque. Ce premier tome est toutefois un peu léger, on ne retrouve pas encore ce qui fait la force de l’auteur, son côté poète et en même temps drôle. Il y a des passages amusants certes mais je n’ai pas été conquis par cette histoire, un peu abracadabrante et finalement peu emballante. Attention que c’est loin d’être mauvais. Mais pour en avoir lu pas mal d’autres, celui-ci est pour moi moins intéressant.

Notre inspecteur a pour mission l’étroite surveillance de la fille d’un grand homme d’affaires, Anne-Chantal Kluutch, c’est son nom, ne suit pas le tracé familial espèré par ses parents, ceux-ci s’inquiètent pour leur fille.
Dans un même temps, plusieurs prostituées sont retrouvées assassinées à coups de marteau. Ainsi démarre cette nouvelle enquête de notre canard, double enquête même puisque la jeune femme va elle aussi disparaître mystérieusement.
Bref, bon scénario encore une fois pour ce thriller policier.

La période Roubak de la série commence ici, avec cet album joliment coloré, son côté psyché très typé 70’s. Album où nos amis sont à la recherche d’eau, celle-ci faisant maintenant défaut à bord de l’immense vaisseau Jabrakk. Une histoire plutôt originale et bien scenarisée, du bon Luc Orient.

Encore un recueil bien travaillé avec du beau monde pour l’illustrer dont quelques petits classiques qu’on prend plaisir à retrouver : Capitaine Sabre, Bruce J.Hawker, Bernard Prince,… entre autres.

Encore un très bon collectif, où il est bien agréable de retrouver certains héros d’enfance un peu oubliés, voir d’en (re)découvrir. Le thème est une nouvelle fois bien respecté par les auteurs, joli travail d’ensemble.

Suite logique du premier tome, entre course poursuite et scènes d’action, nos héros sont une nouvelle fois aidé par Ghorgh. Ce personnage est plutôt intéressant, personnellement je le trouve amusant. C’est la force brute mais Arleston tape des petites pointes d’humour, ce qui bonifie le personnage.
Dessins et scénario combinent très bien, ce second opus est déjà plus riche et plus distrayant que le premier.

Sur un thème fort appréciable, ce premier épisode nous plonge bien dans cette saga familiale brassicole. Les personnages sont intéressants et bien ancrés dans l’histoire, on ne doute point que la suite de cette série amènera de bonnes choses et autres surprises.
Un album vraiment fort bien rythmé et travaillé.

Pas convaincu par cette histoire, scénario un peu léger, on est loin des premiers albums. Rien que la couverture ne reflète pas trop le contenu. Natacha poussée d’un train en marche et qui s’en sort sans une égratignure.
En plus, on a droit à quelques planches inutiles (sur un rêve de walter), on se demande ce que ça fait là. Genre, fallait meubler pour avoir le nombre de pages. Au final, ça se lit mais cet album est vraiment passable.

Une bonne histoire, avec un scénario correct. On ne s’ennuie pas dans cette petite enquête. Les malfrats sont stupides et maladroits comme il faut, cela met un peu plus de dynamique et bien sûr des bonnes notes d’humour. Un album pas mal fichu même si il n’atteint pas le niveau de certains de ses prédécesseurs.

Amusant mais un peu léger, l’idée générale est sympathique mais l’ensemble est plutôt mou. Quelques petits clins d’œil amusants et gags rehaussent le niveau de cet album mais il est globalement en deçà de beaucoup d’autres.

L’histoire du débarquement, ici sur le site d’Omaha beach, un moment historique de la seconde guerre mondiale. Le scénario suit plusieurs divisions et les héros de l’époque avec un réel souci des détails, l’album est très prenant et nous transporte dans ces moments difficiles et tragiques du passé.

Chouette moment de lecture encore une fois, plaisir de retrouver les héros classiques de l’époque du journal Tintin. Ici dans la série Absurde, de bons moments de gags avec en majorité des personnages connus et souvent bien dans leur univers. Robin Dubois, Cubitus, le p’tit Prof et j’en passe…. Nostalgie…

A peine parti de la ville de l’ex tyran Marsia, accompagné de Vania et la jeune Aïcha, que voilà notre petit groupe une nouvelle fois capturé. Et rebelote, Jugurtha d’un côté, les femmes de l’autre. Et ces deux dernières vont être offertes à celui qui vit dans les hauteurs, le Grand Ancêtre.
Bref, on prend les mêmes et on recommence et, bien que les dessins restent très bons, les aventures de notre héros tournent en rond. La suite dans le 14eme album mais vu comme c’est parti, je crains fort qu’il n’y ait plus grand-chose à sauver.

Jugurtha et sa belle Vania errent toujours dans les prairies africaines et sont capturés par des légionnaires. A sa reprise d’esprit, Jugurtha va une nouvelle fois rechercher sa moitié, prisonnière du tyran Marsia. Pour accomplir sa mission, il va s’allier à des gladiateurs.
Les dessins de Franz font une nouvelle fois bien le boulot mais au niveau scénario, on a une impression de déjà vu. Vernal nous ressert une énième fois la recette du héros qui doit sauver sa dulcinée,en accomplissant de nombreuses tâches.
L’histoire n’est pas mauvaise pour autant, c’est un bon album dans l’ensemble mais sans surprise.

Cette série, tout comme les Schtroumpfs, reste toujours très agréable à lire. Les albums post Peyo sont souvent de très bonnes surprises et le travail par les dessinateurs est de bonne qualité.
Ici, bien que le scénario soit léger - le public visé étant plus jeune - l’ambiance est au rendez-vous, les personnages sont attachants, et l’on ne s’ennuie pas à la lecture. C’est frais et dynamique.

Un scénario original, avec de bonnes surprises pour ce dernier album de la série. Le changement de lieu est également une bonne idée, avec l’ambiance croisades, pour un album intéressant et très animé.

C’est plutôt un bon départ pour cette reprise, les dessins sont de très bonnes qualités et finement détaillés et le scénario intéressant. On entre encore plus qu’avant dans le côté familial, les petits-enfants étant mis en valeur dans cette histoire, comme peut l’indiquer le titre de ce premier opus. Peut-être est-ce un peu trop même, la partie circuit - course étant quelque peu faiblarde du coup. A voir avec la suite.

Un album un peu particulier, qui comporte en réalité deux histoires parallèles. L’une portant sur un combat entre tribus, l’autre sur le regroupement de tous les Marsupilamis de Palombie afin de célébrer un événement exceptionnel.
L’ensemble est un peu léger, avec finalement, un scénario un peu brouillon . Reste les dessins et illustrations qui sont de bonne facture et relève un peu le niveau de cet album qui, à mon sens, était plutôt évitable.

Le Titanic ne coule donc pas lors de son voyage inaugural mais bien deux décennies plus tard avec un certain Hitler à son bord.
Parmi les premiers passagers, le jeune Waterson, dont la vie va battre son plein durant tout l’album. Personnellement j’ai trouvé cet album intéressant et plutôt bien soigné, une lecture loin d’être ennuyeuse.

Pour moi, le meilleur album lu jusqu’à présent. L’histoire est vraiment bien travaillée, le scénario fonctionne parfaitement, il y a de l’intrigue, beaucoup d’action. Une véritable réussite, à lire absolument pour qui aime Papyrus ou voudrait découvrir un très bon album.

La première aventure de Chlorophylle, un scénario léger et gentillet, Macherot nous offre une histoire très dynamique et pleine de rebondissements, avec des dessins plutôt réussis pour ses débuts. On sent toutefois que le public visé à l’époque était plutôt enfantin. Malgré tout, on continue d’accrocher avec les années et il est agréable de se replonger dans cet univers animalier.

Une bonne histoire avec une intrigue intéressante, de l’action et une ambiance très particulière en Alsace. Les dessins sont superbes à tout niveau, de beaux décors, des paysages joliment colorés.
Certains points et détails de l’histoire sont un peu discutables comme déjà évoqué mais cela n’en reste pas moins un bon album où l’on se réjouit de suivre notre ami journaliste dans ses péripéties.

Un tome très intéressant dans sa mise en forme et son ambiance générale. Papyrus est un peu mis au second plan et est malmené dans cette histoire, l’issue de l’aventure étant entre les mains des personnages secondaires.
Chapeau pour les grandes cases ainsi que planches complètes qui sont très jolies, elles rendent cet album encore plus riche et agréable à découvrir. Un des meilleurs albums que j’ai pu lire de la série.

Encore une bonne surprise avec cet album post Peyo, une chouette histoire et une belle morale au final. Très réussi.

Dans la lignée du précédent, ici Zarla a aperçu sa mère et ni une ni deux elle part la chercher, accompagnée de son bull-guerrier Hydromel ainsi que d’une narsax - femme serpent - rencontrée lors de son périple.
Bonne album, dans la mouvance des autres, dessins toujours sympa et bonne dose d’humour.

Un bon opus où notre petite héroïne décide de partir à la recherche de son père disparu. Hydromel est moins mis en avant dans cet album, ce qui faisait tout le charme du premier album, l’effet de surprise est un peu passé.
Néanmoins, l’histoire est correcte et on s’attache à notre mini guerrière et du petit monde qui l’entoure.

Voilà un début de série ma foi fort sympathique, j’ai été conquis par cette petite guerrière naïve mais tellement téméraire. C’est drôle et touchant à la fois, les dessins m’ont donné l’impression d’être dans un dessin animé et je trouve l’idée vraiment bien pensée.
Je vais continuer avec les suivants, en espérant pouvoir encore autant m’amuser à lire les aventures de cette petite et son chien Hydromel. J’espère ne pas déchanter vu que la série a finalement été abandonnée.

J’espérais qu’il soit aussi bon, voir meilleur que le second et bien je n’ai pas été déçu. La suite de la quête de Conrad et la jeune Elisabeth est vraiment bien faite, il y a beaucoup de tensions et d’action dans cet épisode. Qui plus est, c’est graphiquement réussi comme les précédents, de somptueux paysages, de jolis détails architecturaux, des personnages qui bougent. Excellent boulot sur ce troisième opus.

Blueberry et ses deux acolytes, Red et Mac Clure sont au Mexique, à la recherche de Vigo et surtout du document qui innocente Blueberry ainsi que l’or caché par Vigo.
Le scénario, comme toujours, est aux petits oignons, les personnages - qu’ils soient principaux ou secondaires - sont formidablement réussis et jouent tous leur rôle, l’ambiance est prenante. Encore une histoire majestueusement réussie, avec des dessins magnifiques, on en redemande.

Un bon album de science-fiction / aventure, à l’ancienne. Suite directe du premier album de la série, ça fonctionne relativement bien, il y a de l’action, un peu d’intrigue et le scénario suit son cours. Ça a pas mal vieilli mais ça reste un bon moment de lecture.

J’ai plutôt apprécié cet album, même sans avoir lu les deux premiers. On n’est pas vraiment dans du western classique - du moins dans ce troisième opus - il y a ce croisement sur fond d’enquête policière. Et je trouve assez sympa qu’il y ait une présence féminine à ce niveau, ça amène un petit plus. Les scènes de combat sont bien foutues.
Avec des dessins qui sont bons dans l’ensemble et une histoire qui tient la route, je ne regrette nullement ce moment de lecture..

De la bd d’aventure dans la France du début 20e, le personnage principal, Arthur de la Gravière, pilote et acrobate aérien, va aider son oncle (inventeur de son état) qui a des démêlés avec la mafia américaine.
On a affaire a un bon petit polar, avec tous les ingrédients qu’il faut. Les vilains pas beaux, une journaliste plutôt sympathique et quelque peu intrusive, un héros qui noie ses cauchemars dans l’alcool... Bref, la petite sauce prend plutôt bien et l’histoire est relativement bien ficelée. Une bd à découvrir.

Après un quatrième tome un peu statique mais très intéressant, ça bouge à nouveau. Kris et Jolan entament diverses stratégies et les combats contre les différentes armées vont bon train. Les scènes d’action sont bien présentes et animent comme il se doit cet album, qui est plutôt plaisant. En espérant que cette nouvelle dynamique continue de s’installer dans les prochains.

J’ai lu ce premier tome et je n’ai franchement pas accroché. Je peux concevoir que certains apprécient, de mon point de vue c’est sans réel intérêt. C’est mou, des dialogues lourds et ennuyeux,… j’ai eu du mal à aller jusqu’au bout.
Je préfère de loin aller me replonger dans l’Iliade ou l’Odyssée, des projets bien plus intéressants et aboutis.

Un album qui se concentre principalement sur Jimmy Torrent, devenu amnésique suite à une agression. Jari passe donc un peu au second plan, avant de finalement mener sa petite enquête et partir à la rescousse de son ami.
Dans l’ensemble un bon moment de lecture, du Reding comme on aime.

Histoire de deux reporters ecolos qui partent à la rescousse des opprimés. Ici, une multinationale vise à écouler son lait en poudre auprès de pauvres jeunes enfants africains, au détriment d’un lait maternel bien plus nourrissant. Oui, c’est la base de cet album… et Ian l’irlandais accompagné de Joao le brésilien ainsi que leur chien Boy, vont tout mettre en œuvre pour contrer les activités néfastes de la multinationale.
Ce n’est pas la série du siècle, on n’en parle d’ailleurs jamais. Ça se lit mais ça s’oublie quasi aussi vite, j’ai moyennement été emballé par cette histoire et ses personnages.

Pas envie de faire trop de comparaison avec d’autres bd du genre, j’ai apprécié ce premier tome, une première lecture sans prise de tête. On est évidemment sur une petite mise en bouche de ce nouveau monde que l’on découvre, ses personnages haut en couleur et assez bien variés et un début d’histoire plutôt prometteur qui donne envie de connaître la suite.

Bon, l’ensemble est plutôt pas mal, on a comme souvent des personnages de tout style. Le méchant qui met en place un plan diabolique, le savant fou ex nazi, un peu de militarisation,… et puis nos deux compères qui se retrouvent au milieu de tout ce joli monde. Pour une fois, le scénario n’est pas trop dans l’excès et l’histoire est intéressante. Un bon moment de détente avec la lecture de cet album.

Un bon album, histoire intéressante autour d’une Constantinople assiégée. Chaillet nous offre des bons moments d’histoire, il y a beaucoup de détails dans les dessins et les explications.

La revanche d’un jeune garçon américain qui a vu son père mourir et perdre le ranch familial à cause d’un dragon.
Frank s’engage au côté de l’armée française pour faire partie de l’escadrille Lafayette et son but est clair: mettre fin au règne du dragon Schwarzelord.
Le scénario est très bon et les dessins sont une nouvelle fois de très bonne qualité, avec une belle mise en couleur. Excellent boulot pour un album extrêmement réussi. C’est vraiment une série qui vaut le détour.

Encore un tome très intéressant et fort réussi. En tant que série parallèle, elle sort vraiment bien la tête de l’eau et parvient même - à mon sens - à surpasser certains albums de la série mère. Les liens entre les deux sont bien représentés et en particulier dans cet opus où Taljar, le roi guérisseur se dévoile, Jolan prend une bonne place dans l’alliance avec notre nouvelle reine.
La route est toute tracée pour la suite, qui promet de bonnes choses en perspective.

Un chouette album consacré à l’organisation de la première élection sur l’île de Tamaratatah. On y retrouve tous les codes pour le déroulement de celle-ci, en mode Godard bien entendu.
Tout est bien soigné et chaque personnage y trouve sa place, l’humour est omniprésent que ce soit visuellement ou dans les nombreux jeux de mots. Encore du bon boulot d’auteur.

Une agréable aventure dans les US des années 50-60, avec des dessins qui dressent parfaitement l’ambiance des lieux, de l’époque et ses personnages. C’est donc fort réussi à ce niveau là.
Là où ça se complique un peu - comme dit plus bas - c’est au niveau du scénario qui est pour le moins tiré par les cheveux. Ça part un peu dans tous les sens et il faudrait presque par moment, faire un schéma de qui est qui, qui fait quoi,… l’histoire aurait pu être écrite plus simplement et aurait gardé tout son intérêt.
Bref, dans l’ensemble, c’est un peu confus mais Alvès nous gratifie d’un excellent travail et relève bien le niveau de cet album.

Album dans la continuité des précédents mais qui n’apporte pas grand chose de nouveau, on stagne un peu. C’est un peu un album de remplissage je trouve.
Du reste, les dessins sont toujours excellents et on espère que ça va bouger un peu plus dans les prochains tomes.

Lamontagne nous sert ici encore une fois un bon petit polar. Notre duo aura fort à faire pour innocenter leur « amie cambrioleuse » Nicole (apparue dans le tome 2) du meurtre d’un riche homme d’affaires bostonien.
Le duo fonctionne toujours aussi bien, scénario et histoire restant relativement classique, l’on passe un agréable moment de lecture d’une enquête policière, toujours teintée d’humour.

Un excellent 4eme album qui met fin à ce premier cycle. L’ensemble de ce cycle a été réalisé de manière très efficace et fait de cette bd une série quasiment indispensable pour les amateurs du genre. Du très bon boulot des auteurs!