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De la bd bien ficelée, avec ce premier tome - qui fait un peu office de mise en bouche - et un thème qui est fort intéressant, à savoir les phénomènes surnaturels et ce qui tourne autour. Alexia, l’héroïne est une jeune exorciste très douée et son histoire ne fait que commencer avec cet album très réussi. Le dessin et les couleurs font leur travail, rendant la lecture fort appréciable.
Cellophane à très bien décrit cet album dans son commentaire et je le rejoins dans la majorité de ses notations.
C’est plein de calembours, c’est percutant à souhait, les auteurs veulent faire rire et c’est fort réussi. Un tome à recommander vivement.
Ha voilà, autant l’album précédent ne m’avait pas trop convaincu - le côté nostalgique l’emportait plus que l’histoire - autant celui-ci m’a beaucoup plu.
Tetfol, à la recherche de Carnage, se retrouve bien malgré lui embarqué dans une guerre entre harpies et vampires. Lucifer ayant promis à chacun des clans l’arrivée d’un jeune humain qui les aiderait dans leur combat respectif.
Le dessin m’a paru de meilleure facture, l’histoire a un rythme bien soutenu tout du long l’album, un tome à (re)lire.
Bon, c’est à lire avec un œil d’il y à plusieurs décennies, les dessins ayant bien tenu avec les années malgré tout. Du reste, le scénario part un peu dans tous les sens et l’histoire devient grand-guignolesque. Les planches se suivent et finissent par se ressembler, avec des scènes d’espionnage, des poursuites, des chutes,… le tout mis en scène avec un certain humour - un peu dépassé je trouve.
À lire parce que De Moor était loin d’être mauvais mais sans toutefois atteindre le niveau de certains autres auteurs de l’époque.
Un excellent album, un travail bien réalisé. Le scénario est simple mais tout est bien assuré et les dessins de Maury font du très bon taf. Et comme dit précédemment, on notera la magnifique double planche pages 20-21. Franchement très bon.
J’avais un bon souvenir de Tetfol à l’époque où on le lisait dans Tintin. Content de retomber sur cet album (entre autre), j’ai moins été emballé. Entre réalité et fantastique, le monde du bien et du mal sont pas mal exploités dans cet opus.
Les dessins sont corrects et ça se lit tranquillement. Pas fou-fou mais content quand même d’avoir relu une de ces aventures.
On prend les mêmes et on recommence.
Cette fois-ci, Lou, afin de garder son héritage doit, selon les souhaits de son oncle défunt, participer aux Jeux olympiques et y gagner au moins 3 médailles d’or.
Bien entendu, la vilaine tante Diane envoie une nouvelle fois ses hommes de main pour saboter tout ça. On retrouve donc tout ce petit monde pour un nouveau joyeux moment de détente et de rigolade.
Bonne aventure, chouette histoire avec pas mal d’action et de dynamisme. Le côté foudre déclenchée est assez gros mais on reste dans du Yoko et il faut bien laisser une bonne place à l’imagination. Les changements de lieux pendant l’histoire amène aussi un certain rythme et l’ensemble est franchement agréable et intéressant.
Un des meilleurs albums que j’ai pu lire jusqu’à présent.
Un poil (de chat) en-dessous des deux premiers tomes mais’ cela reste quand même du grand art et un excellent travail d’auteurs. Hyper maîtrisé.
Un scénario encore une fois bien soigné, les dessins parfaits et une somptueuse mise en couleur.
Voilà une uchronie qui est assez intéressante dans l’idée de base, avec des dessins plaisants. Je reproche toutefois un album beaucoup trop axée politique plutôt qu’historique, les dialogues sont trop portés là-dessus et la lecture en devient lourde par instant. Du remplissage parfois inutile.
Les dessins m’ont moyennement convaincu, comme une impression de pas fini. Niveau scénario, c’est assez moyen aussi à mon goût, ça manque un peu de profondeur.
L’histoire et l’intrigue suivent leur cours et le rythme est assez bien soutenu par moment mais souvent cassé par des scènes plus plates.
L’ensemble est correct mais passable.
Ce n’est pas un album mémorable. Rien qu’au titre on sait déjà comment ça va se passer. Et de fait, Michel devient un second pilote, un loser, suite à des pannes diverses, des incidents techniques, des erreurs de gestion, le monde s’écroule pour lui, rien ne va plus.
Sauf qu’à la fin, on retrouve notre pilote au top et tout est bien qui finit bien.
Un peu trop facile comme histoire, scénario basique, un album correct mais passable.
Une découverte pour moi, ce premier tome est plutôt bien réalisé avec des personnages intéressants et une ambiance assez prenante.
Un album qui fait bien sur office de mise en bouche pour la suite des aventures de notre duo, l’ensemble fonctionne relativement bien.
Suite et fin de l’épopée de Lavanel et Bertie, toujours en proie au programme virtuel de la Paradise. Ce dernier ayant été court-circuité par leur concurrent Rainbow, avec à sa tête la machiavélique Eve Rawson.
Notre duo, rejoint par un membre du programme de la Paradise va subir nombreuses épreuves et se retrouver confronté à différentes morts et ce à diverses époques.
C’est divertissant et les dessins sont très soignés et ce dyptique est finalement plutôt agréable et amusant. Toutefois, comme deja dit, on est relativement éloigné du concept de départ de Dany et Van Hamme. Et du coup, bien que ce soit de bons albums, ça perd un peu de son charme des débuts.
Un scénario très intéressant et plutôt avant-gardiste à l’époque. Greg nous sert une histoire de jeunes enfants aux pouvoirs extraordinaires, toujours avec cet esprit scientifico-fantastique. C’est fort bien géré une fois de plus. Et les dessins de Paape font bien le boulot également, même si ils ont pris un petit coup de vieux, ça reste assuré et l’album est assez emballant.
Quand on parle de Berck, on pense tout de suite Sammy. Mais c’est sans compter cette petite série fort sympathique où notre jeune héritier a fort à faire face à une grande tante prête à tout pour récupérer la fortune de notre jeune héros.
La mission de Lou est tellement simple… Retrouver un animal un peu « spécial » sur une île volcanique qui est sur le point d’exploser. Avec les sbires de sa tante dans les pieds, tout se complique.
C’est bon enfant et très amusant, cette série mérite d’être plus connue, les personnages sont drôles, les méchants sont stupides comme il faut, la bébête est attachante. Un album à lire et faire découvrir aux jeunes (et moins jeunes).
C’est qu’on y prend goût aux aventures de notre journaliste enquêteur Gipar. C’est léger, agréable à lire, sans prise de tête. Les personnages ont des airs sympa, l’ambiance des petits villages d’antan (on est dans les années 50) est très réussie.
Le petit schéma de fin d’album est vraiment chouette et original aussi, reprenant toute l’histoire sur un seul croquis.
Après la mise en bouche avec le premier tome, celui-ci m’a encore plus emballé, une série dynamique, à lire sans hésitation.
Très agréable surprise. L’histoire se passe dans l’Italie des années 50, les dessins sont simples et efficaces et nous plongent bien dans l’ambiance de l’époque. Un scénario qui fonctionne bien pour une bonne petite enquête policière, meurtre et fausses monnaies au programme de cet opus, vraiment sympathique.
Cristal, qui bénéficie toujours de l’appui financier et hospitalier des humains, décide de ne plus les aider et cesser de jouer les cobayes. Il veut changer d’air et prend la direction de Las Vegas, convaincu qu’il va toucher le gros lot, grâce à ses dons. Tout ne se passera pas comme prévu et il va être suivi par plusieurs groupes d’hommes.
Chouette petite ambiance pour cette aventure de notre extraterrestre, le voilà donc à apprendre la roulette et le black jack, tout en jouant le sauveur d’une vieille indienne. Bons dessins, dommage que le côté Las Vegas ne soit pas un peu plus détaillé, sur des ambiances de Strip, extérieurs de casinos,.. Scénario facile mais qui fonctionne bien, l’histoire est assez prenante.
Bon, alors, c’est parce que j’aime bien cette série et ce que fait Aidans en général. Mais cet album ci est plutôt moyen.
Il nous ressert un Tounga une nouvelle fois à la recherche de sa compagne Ohama, poursuivie et capturée par une tribu. Ça sent un peu le réchauffé en somme. En soi, ça reste plaisant à lire.
Une série très intéressante, avec des dessins fort réussis, les voitures sont remarquables et il est agréable de suivre cette course avec ces différents bolides d’époque. On est sur un Michel Vaillant au féminin - Petit clin d’œil des auteurs en page 16 à la présentation des concurrents et un certain Miguel Valiente - pour une aventure qui nous emmène dans la course des demoiselles 1960.
Un album bien réalisé, pour un agréable plaisir de lecture.
Interessant pour découvrir Paris d’une manière un peu différente. Les dessins ne sont pas trop mal. Au niveau scénario c’est un peu fouillis, pour finalement une intrigue et un final un peu bâclé.
L’ensemble est un peu creux. Ça se lit tranquille, sans plus.
Un album divertissant, sans plus. Certainement pas le meilleur de la série. Palmer apparaît un peu comme un personnage secondaire dans cette histoire. L’ensemble est amusant, ça se laisse lire.
Première partie d’une aventure qui part un peu dans tous les sens. Un peu de trop même. Entre virée au Moyen-Orient, homme de main de la pègre à Chicago et un saut dans un Jurassic Park grandeur nature, Lavanel se retrouve complètement perdu au côté de Bertie.
Et le lecteur aussi. Car si c’est assez dynamique, c’est aussi fort (volontairement) disparate.
Moyennement convaincu par ce tome 1 du Labyrinthe, cela semble compliqué de relancer le niveau dans la partie 2. En tout cas, on est loin des premières aventures de notre héros.
Je n’avais jamais lu de Servais auparavant et il m’a semblé judicieux d’attaquer Orval, habitant non loin du lieu en question.
Point n’est question de bières et autres fromages ici mais bien l’histoire même de l’abbaye à travers le temps, avec ses moines mais aussi toutes les personnes ayant eu un rapport de près ou de loin avec elle. Il faut bien avouer que l’auteur sait de quoi il parle et a été fort bien documenté pour nous décrire tout cela.
Histoire à laquelle est ajoutée une note romanesque comme il faut.
Les dessins sont très beaux, notamment dans les paysages et les monuments, c’est bien précis et joliment colorisé.
La suite directe du tome 9, dans laquelle Jugurtha et Vania auront encore fort à faire pour lutter contre les plans machiavéliques du sorcier zèbre, dont l’identité sera enfin dévoilée.
Il est intéressant de voir que les auteurs mettent également en avant certains personnages secondaires. Ceux-ci tiennent parfois même une plus grande place que nos héros au cours de l’histoire.
Le tout est bien réalisé, encore un bon album de cette série.
Le Binet des débuts, en même temps que Kador et juste avant sa série phare Les Bidochon. C’est assez léger dans l’humour, j’ai même trouvé que le genre était un peu dépassé, moins drôle qu’avant. Au contraire des Bidochon où, sur le long terme, c’est resté bon et avec un humour beaucoup plus poussé.
Bref, pour en revenir à notre Poupon, bin ça reste correct mais tant qu’a lire du Binet, autant aller faire un tour du côté de chez Robert et Raymonde.
C’est à bord d’une nouvelle version du Titanic que nous retrouvons notre héros. Le nouveau paquebot est pourvu, en plus d’être un luxueux navire de croisière, d’une attraction plutôt particulière. Celle de faire revivre aux croisiéristes un nouveau naufrage.
A son bord, le fils d’un émir, qui est menacé d’enlèvement. De quoi mettre un peu plus de piment et d’intrigue dans cette nouvelle aventure de Lavanel.
Encore une fois, la reprise de la série par le duo Jytéry/Rdolphe est assez bien maîtrisée - même si le scénario est plutôt léger. Les dessins font bien le taf et cet album a bien sa place dans la série.
Un tome bien travaillé, sous le soleil d’une île paradisiaque, où un magnat de l’immobilier veut construire un complexe hôtelier. Mais tout ne va pas se passer comme prévu.
Bon boulot de nos deux auteurs, album de très bon niveau.
Série avec un concept pour le moins original et intéressant. Les dessins de ce second tome sont bons et animent parfaitement l’’intrigue et l’histoire. Le personnage principal est fort bien intégré dans l’enquête, l’ambiance générale est plutôt prenante.
Une intrigue à l’ancienne, avec un scénario et des dessins qui nous rappellent le style bd des années 50-60. Le journaliste-enquêteur est sur la piste d’un gang, qui vole des camions de pinard. Et le scénario finalement reste assez simple, les dialogues relativement basiques.
Comme indiqué précédemment, on se rend compte que les auteurs ont une petite attirance pour les voitures/camions de l’époque. Une petite page docu est d’ailleurs présente en fin d’album, rapport aux camions transportant le divin breuvage.
C’est gentillet et ça se laisse lire facilement. Affaire à suivre avec les autres tomes.
Un album très appréciable, avec un scénario certes simple et une histoire cohérente, le tout sans en faire des tonnes. Le tout avec une belle qualité de dessins, très joli travail d’ensemble de Leloup.
Un second tome aussi bon, si pas meilleur que le premier. Scénario bien fichu, avec une intrigue qui tient la route tout du long.
Et bien entendu, des dessins somptueux et une mise en couleur parfaite. Encore une fois, rien à redire, c’est un excellent album.
Excellent album, le thème fonctionne parfaitement avec les personnages, un Robert au top. Voyage astral, tarots, pendule,… tout y passe et c’est une merveille de rigolade. Un tome fort réussi.
J’étais passé à côté de cet album jusqu’à maintenant et au final je n’ai rien manqué d’extraordinaire. Ok, le scénario est assez intéressant les dessins sont dynamiques mais l’ensemble ne m’a pas convaincu plus que ça. Au point que j’ai trouvé la fin un peu bâclée, dans le style fallait bien trouver un happy end. Bref, il y a du bon et du moins bon.
Histoire intéressante mêlée d’intrigues et d’enquêtes alors que nombre d’Orcs de la compagnie du Croc de Fer sont mystérieusement assassinés. Une bonne ambiance dans ce tome assez distrayant où le dessin rend la part belle à un scénario plutôt bien réalisé. Un excellent moment de lecture.
On prend un malin plaisir à suivre les enquêtes de notre inspecteur. Canardo. Et cet épisode est plutôt sympa puisqu’il nous plonge dans l’univers de la bd… dans une bd. Et puis surtout, on retrouve ce côté vraiment belge que ce soit dans le dessin, l’univers, l’environnement mais aussi le langage. Tout cela est très appréciable et amène une lecture plus qu’agréable.
Amusant, sans plus. C’est assez cliché, les auteurs semblent avoir un peu pompé (volontairement ??) certaines idées. Dans les dessins, les caractères de certains personnages (QRN de Franquin), la scène finale (qui pourrait rappeler le banquet final d’un célèbre gaulois).
Globalement ce n’est pas mauvais mais passable. À lire éventuellement si vous l’avez sous la main.
À la base appelée Caline et Calebasse, la série est ensuite devenue Les Mousquetaires. Cet album est plutôt amusant, on y retrouve nos Mousquetaires en chasse d’un navire responsable de nombreuses mises à sac. Surprise de taille lorsque nos héros feront l’agréable connaissance du vaisseau et de ses occupants.
Lecture relativement agréable, plutôt destinée à un public jeune, c’est drôle et plaisant.
Une tranche de vie à la fois tendre et comique. Un album plutôt réussi sur des moments choisis, avec les bons et les mauvais côtés.
Les dessins de Larcenet ne plaisent pas à tous. Personnellement, je trouve qu’ils sont de très bonne facture et font bien le job. Les personnages sont très attachants et on a envie de connaître la suite.
Depuis le temps que je voulais attaquer un Blacksad…. Mais wouaaw, quelle claque j’ai pris. Je m’attendais à du bon, en fait ce premier épisode est juste magnifique et excellent.
L’histoire est vraiment bien foutue et les dessins, tout simplement incroyables, c’est superbe. On prend un réel plaisir à scruter les petits détails à tous niveaux, les couleurs finement choisies. C’est tout bonnement parfait!
En route vers l’Egypte, Jugurtha et Vania se retrouvent face à de mystérieuses tours d’où émanent de la fumée verte. cette dernière va donner des visions à Jugurtha. Peu après, nos deux compagnons se retrouvent à Wabi Chibeli où un prêtre local, le grand Zèbre Sorcier, fait la loi, au grand damne des prince/princesse locaux.
Ayant du sang princier, Jugurtha est relâché, au contraire de Vania qui elle, est amenée auprès de femmes esclaves.
Jugurtha va devoir mettre un terme à l’emprise du sorcier sur le peuple et libérer Vania et les autres esclaves.
Dessins plaisants, scénario correct et une histoire bien animée. Un bon album, lecturre sympathique.
Cooper est envoyé sur une base iceberg où il devra faire des essais avec un avion indétectable. Il sera envoyé dans une zone où certains avions américains ont mystérieusement disparus afin de comprendre ce qu’il s’est réellement passé.. Bien malgré lui, il va se retrouver dans de mauvaises conditions, victime de problèmes techniques ainsi que de sabotage.
L’histoire est intéressante et les scènes d’action et de vols sont nombreuses. L’intrigue, bien que légère, est très correcte, c’est une chouette aventure de notre pilote canadien.
Une nouvelle fois, Marc Lebut va entraîner son voisin - peu consentant - à l’accompagner, cette fois-ci, dans sa lutte contre la pollution. Fumées, gaz d’échappement, bruits,… tout y passe. Le tout dans une série de gags non stop au fil d’un album dynamique, très animé, qui va à du 100 à l’heure. Un des meilleurs de la série.
Après lecture des 3 premiers tomes, cette série a le mérite d’exister. Placé sous le ton de l’humour, Bloz et Plumeri nous plongent dans une multitude de gags tout en gardant un esprit ludique.
Bref, en plus d’être amusante, cette série nous apprend pas mal de petites anecdotes sur la vie des dinosaures. Ravira certainement les plus jeunes mais ne laissera pas indifférent le lecteur adulte. A conseiller pour les amateurs du genre.
Si vous aimez les bd de western, vous devriez apprécier cette série.
Sous des airs et des dessins qui paraissent plutôt adaptés à un lectorat jeune, mélange d’humour et de sérieux, l’ensemble se prête plus à un public plus âgé. Certes, il y a des moments d’histoire - la guerre de Sécession , le ku klux klan,.. - les décors nous amènent vraiment dans le Far West,… mais cette bd n’est pas sans une certaine violence, peut-être exagérée quelque part. J’ai l’impression qu’il y avait possibilité de scenariser différemment, sans amener cela.
Soit, en dehors de ça, les dessins sont sympa, les personnages ont tous leur petit caractère bien trempé et l’ensemble tient plutôt bien la route.
Enquête à Bergues pour notre détective, du côté de sa famille - oncle/tante et grand-mère. Intrigue captivante à la recherche d’un maître chanteur type Robin des bois ainsi qu’un second personnage mystérieux qui rôde dans la ville.
Un très bon moment de lecture, un scénario bien ficelé et des dessins au trait assuré.
Godard, le raconteur d’histoires, pour ne pas dire le poète. Encore une fois, il n’y a que lui pour nous conter de telles histoires.
C’est beau, joliment dessiné, les personnages - même secondaires - sont magnifiques, encore un album qu’il faut posséder absolument dans toute bonne bibliothèque.
Un des meilleurs albums de l’époque Peyo, avec un thème super bien écrit et maîtrisé. Je ne parle ici que de l’histoire principale, la deuxième partie étant une série de gags en une page.
Lu quand j’étais gamin et, quelques décennies plus tard, c’est toujours aussi plaisant. Indéniablement, un must have.
C’est une bonne série, qui je trouve n’est pas assez reconnue. Elle est un peu effacée par beaucoup d’autres. Or ce tome 3 (comme la plupart des autres) est fort réussi, mélange d’aventures, voyage et intrigue. Une chouette histoire, un peu en huis-clos, où tout le suspense se passe sur une petite île. Dessins fort réussis et scénario bien soigné.
Pas grand chose à dire, c’est du Tillieux comme on aime bien. Une histoire, certes assez simple, mais avec de bons petits moments et des personnages qui animent plutôt bien cet album. Ça a un peu vieilli mais ça reste agréable à lire.
Qu’est-ce que c’était une belle époque pour la bande dessinée franco-belge. Et qu’il est agréable de (re)lire ce recueil de contes de Noël par certains des plus grands auteurs comme Roba, Peyo, Mittei, et j’en passe.
Cet album reprenant donc toute une série d’histoires courtes qui étaient parues dans le journal de Spirou entre 1956 et 1976.
Vraiment très chouette et à faire découvrir aux plus jeunes.
On parle d’un one shot mais en réalité il s’agit ni plus ni moins des débuts des aventures de Colin Colas, repris à la base sous le nom de Brieuc Briand. Même les autres personnages y ont des noms différents mais en soit cela n’enlève rien à la qualité du travail de Ryssack. C’est bien dessiné, l’histoire est très dynamique - même si le scénario reste assez léger. L’album a été réédité plus tard dans la série Colin Colas. Chouette petite histoire de pirates, avec pas mal d’humour.
Pas de grande intrigue dans ce dernier album, ça manquait d’inspiration j’ai l’impression. De plus, les transitions entre passé et présent sont plutôt mal foutues, c’est parfois assez anarchique d’une case à l’autre, c’est perturbant dans la lecture. Pour les dessins, ça reste relativement bon et rehausse un peu le niveau. À lire si vous avez apprécié les premiers tomes. Sinon, c’est passable.
C’est une bonne histoire, la dernière supervisée par Peyo. Elle est franchement très réussie, le schtroumpf à lunettes avait raison depuis le début, l’argent ne fait pas le bonheur.
On passe un excellent moment de lecture avec de très bons dessins et un scénario fort soigné.
Chouette aventure, on retrouve Biggles et son équipe partis à la recherche d’un sous-marin allemand, le U 517, commandé par Von Schonbeck. Ce dernier, pendant la guerre, arraisonnait les navires afin de les piller. Actuellement en fuite, il tente de récupérer le fruit de ses nombreux pillages. L’équipe à Biggles va tout faire pour l’arrêter dans sa fuite et lui reprendre le butin.
Une histoire plutôt bien menée, dans le décor rocheux et glacé du pôle sud.
C’est de l’histoire de zombies très classique revisitée par Istin, grand fan du genre - il en fait lui-même l’apologie en début d’album en remerciant Romero. Romero dont il dit s’être largement inspiré. Difficile de le juger uniquement sur ce premier tome en fait. Il nous sert un scénario assez basique mais les dessins de Bonetti contribuent à en faire un bon album. On reste bien évidemment sur notre faim une fois arrivé à la dernière planche car, comme dans toute histoire de zombies, on a hâte de savoir comment vont s’en sortir les différents protagonistes.
Bref, pas mauvais même si grosse impression de déjà-vu, on attend de découvrir la suite.
Suite du Cheval de Troie, Papyrus et Théti-Chéri poursuivent leur route vers l’Egypte et se retrouvent à Tyr, cité phénicienne sous protectorat égyptien. Après avoir sauvé la jeune princesse Irina, filleule du roi Thanos, actuellement en place et usurpateur complotiste. Ce dernier succombe à une crise cardiaque à la vue du retour de la jeune héritière. L’occasion pour le gouverneur d’abuser quelque peu de son pouvoir. Et voilà nos amis mis une nouvelle fois dans l’embarras, ceux-ci vont devoir trouver le moyen de s’échapper de la cité.
Chouette aventure même si le scénario n’est pas hyper haletant. Dommage aussi pour l’apparition de Pouin sur quelques pages mais qui ne sert strictement à rien si ce n’est faire du remplissage. La lecture n’en reste pas moins agréable.
Ce troisième épisode est excellent et bien dans la continuité des précédents. Les liens avec la série-mère sont très intéressants et l’histoire est vraiment cohérente. Sans être énormément dans l’action, on ne s’ennuie pas dans cet opus, la lecture est très prenante et on a hâte de découvrir la suite.
Histoire simple avec une intrigue tournant autour de la mort d’un artiste et d’une photo qui attire les convoitises. C’est correct mais l’ensemble est un peu mou. A part la petite course poursuite avec Zoé, le reste est relativement statique. Pour une histoire complète, j’attendais un peu plu de rebondissements et d’action. Pas le meilleur tome de la série, sans pour autant être mauvais.
Un savant, du nom du Dr Lyon invite nos deux comparses à se rendre en Suisse, où il compte mener une expérience extraordinaire, à savoir mettre en hibernation un échantillon de personnes, dans un petit village, coupé du monde par un dôme transparent et électromagnétique. Comment Yalek et son compagnon vont-ils s’y prendre pour empêcher Lyon de mettre son plan à exécution?
Pour une fois, le scénario est moins tordu. Ça reste du domaine de la science-fiction et de l’imaginaire sans en faire des caisses, comme dans certains albums. L’histoire est simple et ne part pas dans tous les sens, un album très correct avec un récit assez dynamique.
Beaucoup de souvenirs de jeunesse avec cette série qui est plutôt tombée dans l’oubli, malheureusement. C’est léger et assez drôle, plein de situations rocambolesques. Cet album ci est un poil en-dessous de certains que je possédais déjà mais l’ensemble reste très amusant.
Pas terrible du tout ce one shot. Cosey en était plutôt à ses débuts mais on peut dire que de son coté, c’est pas trop mal.
Par contre, niveau scénario, c’est affligeant de bêtises, et on a un peu peine à comprendre vers quoi va tourner l’histoire. Une fois au bout de l’album, on se rend compte qu’il n’y a pas grand chose à en tirer de positif, si ce n’est les dessins qui font plutôt bien le taf.
Bon, c’est du Pratt comme il avait l’habitude de le faire. L’univers de cet album oscille entre rêves/cauchemars et réalité. La fin ne m’a pas surpris du tout, il y a à boire et à manger. Question de goût au final.
Un album qui fait la part belle aux personnages secondaires. La fin d’un calvaire pour la tribu Navajos qui, grâce à de nombreuses ruses, finira par atteindre son but.
Encore une fois, le scénario est excellent, les dessins nous emportent avec la tribu et les différents acteurs. Album extrêmement bien réalisé, un must have.
Un bon album, très complet, avec beaucoup de rebondissements. Dessins excellents et belle colorisation pour ce tome fort bien travaillé.
Bien que Thorgal ne soit quasi pas présent dans cet album, il n’en est pas moins une réussite dans l’œuvre du duo Van Hamme / Rosinski.
C’est efficace, on est dans un style très cauchemardesque, presque dans l’horreur. Un tome surprenant par son scénario où une ambiance glauque et le surnaturel s’invitent progressivement au cours de l’histoire. Un des meilleurs albums de la série.
Le premier tome était déjà très intéressant où Kriss relatait sa jeunesse. Les auteurs nous servent ici la suite des confidences à la reine des Walkyries. Kriss est maintenant dans l’adolescence jusqu’à devenir jeune femme, toujours blessée au fond d’elle et qui a soif de vengeance envers ses bourreaux. Son retour dans les terres de son enfance est rempli de rage et de colère. Des moments décrit avec pas mal de violence dans les faits et les dessins. Ces derniers sont par ailleurs toujours très réussis et en parfaite cohérence avec l’histoire. Du travail de qualité donc sur ce deuxième opus, hautement recommandable.
Un album agréable dans l’ensemble, une aventure au coeur de l’Amazonie, un scénario globalement satisfaisant mais parfois un peu confus. Les dessins et notamment certains décors sont très beaux - l’arrivée vers l’ancienne usine, l’épave du sous-marin ont de beaux rendus.
Cette série a été portée par des grands noms de la bd franco-belge. A la lecture, on jubile face aux idées, notes d’humour, dans un scénario qui d’emblée peut paraître bon enfant.
Le dessin est joli, les couleurs soignées pour cette aventure dans un monde fantastique et baroque. Une lecture rafraîchissante et amusante, aux paternités exemplaires.
Un tome très intéressant, une histoire avec pas mal d’action. Le tout dans un monde où l’on retrouve Elfes, Mages. A l’image de ce que sait bien nous proposer les Éditions Soleil.
L’intérêt de ce troisième opus réside aussi dans le fait qu’il est lié à un des protagonistes des Maîtres Inquisiteurs. Le scénario tient la route et les dessins sont de bonne facture. Un moment de lecture appréciable.
Joli récit de notre pilote d’avion-taxi, c’est léger et une nouvelle fois plein d’humour. Drôle et sympathique, il y a toujours du plaisir à retrouver Martin, héros pince-sans-rire, avec une belle empathie humaine. Celui-ci va devenir en quelque sorte le grigri d’un vieux maharadjah, persécuté par la Mort elle-même, et dont le valet n’a de cesse de la chasser à coup de Fly tox.
Rien à redire, ce septième tome est dans la continuité des précédents, les personnages sont toujours aussi charismatiques, dont Maëlle qui a une belle présence dans cet album.
Hâte de lire la suite et de profiter une nouvelle fois des magnifiques planches de Lambert.
Nous voici dans une enquête que l’on pourrait qualifier d’explosive. Ça fait boum dans pas mal de pages et les victimes se suivent sauf que les indices, eux, ne viennent pas pour autant recoller les morceaux.
C'est assez violent et anarchique, les terroristes tuant pour leurs bons plaisirs et parvenant à échapper à notre cher héros de manière très efficace.
Un bon album, avec un scénario réussi, qui tient le lecteur en haleine jusqu’au bout.
Tout a été dit dans le commentaire précédent. La première moitié de l’album, on a l’impression de se farcir un cours d’histoire. C’est sympa sur 2-3 cases mais au-delà, cela devient pénible et comme dit, ça n’apporte strictement rien au scénario.
Également, placer quelques phrases en grec - toujours traduites fort heureusement - c’est bien. En mettre une case sur deux, c’est lassant et ça en devient complètement insupportable.
Seules quelques pages d’actions liées au scénario rehaussent un tantinet le niveau mais honnêtement, cet épisode est à oublier vite fait.
Sans avoir lu le premier tome, je me suis plongé dans ce western fantasy complètement décalé. Et j’ai trouvé ce concept assez bien foutu, avec des dessins très réussis.
L’histoire de cette vengeance m’a beaucoup séduit, j’ai trouvé que l’ensemble fonctionnait très bien.
Un héros qui est un espèce de mélange entre Rahan et Tounga. Une histoire un peu facile, rien de franchement exceptionnel, le scénario est très limité, peu de dialogues et des dessins plutôt basiques, j’y ai même trouvé des disproportions sur les personnages.
C’est correct, tout n’est pas à jeter mais ça ne révolutionne pas le genre.
Dans la continuité de la série, on y retrouve pas mal de personnages connus, dans un scénario encore une fois bien soigné. Un album plutôt réjouissant pour un excellent moment de lecture.
Le style de lecture qui avait du succès à son époque. C’est une série néanmoins sympathique, le temps des Mousquetaires, d’Artagnan, Richelieu,… Plus trop le genre qui attire les lecteurs de nos jours, l’ensemble se lit toutefois facilement et est plutôt correct.
Un très bon album composé de petites histoires / missions du temps où Brazil la jouait loup solitaire, avant tous ses autres grands exploits internationaux avec son commando.
Un bon album, plein d’action et de rebondissements, qui fait évidement suite aux nombreuses aventures précédentes. On y retrouve beaucoup de personnages apparus dans les autres tomes, pour une histoire une fois encore, très prenante.
Du très bon, comme la majorité des albums de la série, pour les fans d’aventure et de science-fiction.
En Allemagne, pour la course de Nurbugring, Michel et ses amis pilotes sont conviés par le Doctor Spangenberg à loger dans son château de Königsfeld. Très vite, les pilotes vont disparaître subitement, sans laisser de traces.
Très peu de courses et de circuits dans cet album, l’histoire est plutôt axée comme une enquête policière. L’ensemble est plutôt bien géré et intéressant, c’est un très bon tome de la série, qui sort de l’ordinaire.
Ce XIII Mystery est particulièrement bien écrit et très intéressant, une véritable réussite, avec de très bons dessins.
Le destin des personnages est vraiment bien amené et cet aparté sur la vie de Martha, comment celle-ci sombre dans l’alcoolisme,… est fort bien orchestré. Avec le final en lien direct avec la série mère, juste parfait.
Le duo Julien/CDM - Larcenet fonctionne plutôt bien dans ce recueil d’histoires portant sur la science-fiction.
Un humour souvent absurde et décalé, avec des personnages truculents, qui se retrouvent régulièrement dans des situations délirantes. Un album fort agréable et amusant.
De très bons dessins dans cet album, avec de jolis détails, des paysages bien travaillés, des traits bien précis. Un scénario plutôt bien construit bien qu’un tantinet tordu, à trop vouloir entrer dans des détails, on pourrait presque s’y perdre.
Dans l’ensemble, une bonne intrigue avec un côté presque polar, une ambiance très particulière et assez prenante dans ce train mystérieux.
Parodie de ce cher Hercule Poirot d’Agatha Christie, avec un dessin plutôt sympathique et très dynamique.
Une histoire intéressante avec une bonne note d’humour, des personnages intéressants, un scénario bien construit.
Un peu triste que cette série soit sortie à l’époque un peu dans l’indifférence générale car elle n’est pas sans intérêt et je trouve dommage qu’elle se soit arrêtée après seulement deux albums.
A découvrir absolument pour passer un excellent moment de lecture.
On retrouve ici un mage qui n’est pas inconnu en la personne de Belthoran, mage fugitif, qui part à la recherche de son ami nain, aidé d’Adona une Elfe qu’il a pris sous son aile.
L’histoire n’est pas mauvaise mais l’on constate une certaine naïveté chez Belthoran, notamment lors de leur rencontre avec Eriana, jeune guerrière rencontrée lors de leur périple.
Album appréciable où, honneur et perfidie sont de la partie, avec les codes bons/méchants mages.
Probablement pas le meilleur album de la série mais c’est toujours un grand plaisir de retrouver le monde animalier de Macherot.
Les 3 histoires reprises dans cet album sont un peu simplistes et apportent un minimum d’originalité.
C’est de la lecture facile, sans prise de tête.
Librement inspiré de la série télévisée Drôles de Dames, ce fut un réel plaisir de replonger dans cet album. De bons souvenirs du journal Tintin, une série que j’appréciais beaucoup à l’époque.
C’est toujours aussi chouette à lire, notre trio sympathique nous fait passer un excellent moment.
Un recueil d’histoires courtes, ce qui change des autres albums. Toutefois, toutes ces histoires sont un peu fouillis et on ne voit au final pas trop l’intérêt, c’est un peu un album fourre-tout avec ce qui passait dans l’esprit de Duchateau. Les dessins rehaussent le niveau, heureusement. Au final, bof quoi.
Un petit one shot sur un rythme maritime relativement soutenu. Le Bagarreur étant un remorqueur qui vient à la rescousse de navires en détresse. A son bord, le jeune Alain Brisant, tout juste promu capitaine en second.
Un scénario et une mise en scène plutôt bien réalisée pour une aventure assez prenante dans un milieu compliqué pour ces gens de la mer. Lecture intéressante.
A Paris, l’inspecteur Eric Vallandier est appelé par Interpol pour retrouver les enfants d’un adepte d’une secte millénariste. Ce dernier a été repéré du côté de la Suède, où notre inspecteur fera équipe avec les agents locaux. Une course contre-la-montre s’engage pour retrouver les deux enfants avant qu’ils ne leur arrive le pire.
Cet album ne renouvelle pas le genre et l’histoire est assez basique, les dessins et la mise en couleur sont de bonnes qualités. Une lecture agréable dans l’ensemble.
Découvert dans un quotidien où chaque jour paraissait un gags, que je ne trouvais pas forcément drôle. Parce que quelque part, tous se suivent et donc à la lecture de ce premier tome, ça m’a beaucoup plus parlé et j’y ai enfin trouvé un réel intérêt.
Tous les gags ne se valent pas mais dans l’ensemble c’est plutôt bien foutu et je lirai les autres avec plaisir également.
Il m’a fallu lire un petit résumé sur la série pour comprendre qui est qui, vu que j’ai seulement le tome 2.
Dès lors, il fut plus agréable de parcourir cet album, plein de fraîcheur, avec ses personnages tous plus amusants les uns que les autres, et des dialogues vachement sympathiques.
Un bon moment de lecture détente pour une belle découverte.
Enfermé dans le même pénitencier que les Dalton, Dunkle est un prophète illuminé qui prêche à tout va. Celui-ci devient une idole pour Averell et va s’échapper avec les Dalton, suivi de ce bon vieux Rantanplan.
Un bon album mais le récit manque un peu d’humour par rapport à d’autres albums. Simple mais apporte un bon moment de détente.
Je ne connaissais pas du tout cette série et j’ai été agréablement surpris par cette ambiance polar dans les années 1920-30. Le scénario est bon et l’histoire est vraiment chouette à lire. C’est franchement une bonne surprise.
Un petit tour dans le passé de Kriss, son enfance difficile, un premier tome qui ne manque pas d’intérêt.
Dessins de bonne facture et scénario soigné pour démarrer ce spin-off. Un très bon départ en somme.
Emile Karpoto est engagé comme convoyeur de voitures de luxe. En route pour Chicago depuis Los Angeles, il renverse une tortue indienne sacrée qui va lancer un sort.
Ainsi, lors de chacune de ses missions, notre Emile va se retrouver sur une route étrange, qui ne figure sur aucune carte ni GPS, la Nationale Zero. Celle-ci va l’amener à chaque fois dans des mondes et aventures étranges.
Alors, honnêtement, je suis déçu. Mais uniquement parce que cette série a été abandonnée!! Pourquoi ?!! Parce que franchement, c’est tout simplement génial, c’est drôle, absurde, tordu comme il faut. Bref, on en redemande. D’autant qu’il y avait de quoi faire pour la suite. Vraiment dommage que ma lecture s’arrête à cet unique tome. Si vous avez l’occasion de le lire et que vous aimez l’humour décalé, n’hésitez pas une seule seconde.
Histoire farfelue et scénario assez basique mais ça rappelle des souvenirs. Certainement pas la bd du siècle mais ça se lit tranquille, comme tout le reste de la série.
Bon, il est vrai que j’espérais un peu plus d’action après la lecture des deux premiers mais ce troisième tome est assez différent. Il navigue entre le présent et le passé. Ou comment (et pourquoi) Decker est-il lié d’amitié avec une famille japonaise. L’histoire se veut finalement assez simple mais montre aussi les bons côtés de la guerre. Ici, une amitié née à la suite d’un combat aérien.
C’est donc relativement calme mais complètement voulu pour cet album qui, au final, n’est pas mauvais du tout.