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Je ne connaissais jusqu’alors Skottie Young que pour sa série I hate Fairyland – une relecture trash et déjantée d’Alice au pays des merveilles – ainsi que pour sa multitude de couvertures variantes, les célèbres "baby variants", qu’il produit pour Marvel depuis plus d’une dizaine d’années. Rien qui ne soit d’ordinaire dans mon registre de prédilection et pourtant cet album m’a énormément plu (The Me You Love in the Dark 2021, #1-5, publié en VO par Image Comics).
On y suit une artiste peintre – Ro Meadows – qui s’installe dans une vieille maison hantée afin de s’y ressourcer et de soigner ce syndrome de la page, ou de la toile, blanche qui la ronge. Bien aidée par le vin autant que par la musique, elle fait rapidement connaissance avec son hôte et en tombe amoureuse jusqu’à en devenir sa prisonnière. C’est une très belle et brève romance, l’héroïne a quelque chose de touchant et j’aurais volontiers apprécié un ou deux épisodes supplémentaires pour que la bascule opérée entre l’amour et la haine soit plus progressive.
Le scénario n’est pas bien bavard et l’histoire repose donc en grande partie sur le superbe dessin de Jorge Corona bien accompagné aux couleurs par Jean-François Beaulieu. De grandes cases, une belle ambiance tantôt sombre tantôt chaleureuse, une jolie manière de représenter la musique et mille yeux et mille dents tapis dans l’ombre. Bref, une agréable découverte.
Les lecteurs qui ont apprécié cet album pourront prolonger le plaisir avec Aucune tombe assez profonde, des mêmes auteurs mais sur un thème différent, paru dernièrement en grand format toujours chez Urban Comics.
Histoire d'une maison hantée, sans prétention.
Une histoire d'amour entre un fantome et une artiste
Se lit rapidement.