©Dupuis 2025 Guez/Francq
Album créé dans la bedetheque le 15/10/2025 (Dernière modification le 23/11/2025 à 20:42) par tchouckitchouck
Largo Winch
25. Si les dieux t'abandonnent...
Une BD de
Jérémie Guez
et
Philippe Francq
- Dupuis
- 2025
Guez, Jérémie
(Scénario)
Francq, Philippe
(Dessin)
Denoulet, Bertrand
(Couleurs)
Francq, Philippe
(Couleurs)
Maya
(Couleurs)
Ponzio, Jean-Michel
(Autres)
L'île de Sarjevane. C'est là, dans ce havre secret de l'Adriatique hérité de son père, que Largo Winch a décidé de souffler. Depuis sa rencontre avec Jarod, dans le diptyque précédent, Largo est rattrapé par des questions personnelles et éthiques sur l'héritage et la richesse. Mais l'arrivée d'un yacht le tire de sa solitude. Le scénariste, réalisateur et showrunner à succès Jérémie Guez, nouveau scénariste de Largo Winch, fait profiter le toujours impressionnant Philippe Francq de son énergie et de sa finesse d'écriture !
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
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Je me trompe où j'ai parcouru un livre d'images ? Pour celles et ceux qui n'aiment pas lire, c'est du bel ouvrage. Pour les autres, c'est...comment dire,... affligeant ! Où sont passés les scénarii passionnants et bien construits, les poursuites et autres rebondissements "à la James Bond", les belles pépées qui font tourné la tête à notre héros, les répliques fatales, ... ? Ici nous avons droit à une enfilade de clichés éculés de longue date, des cases trop souvent vides, des dialogues réduits au stricte minimum syndical. Pourquoi diable Francq est-il allé chercher ce scénariste quasi débutant ? Giacometti le prédécesseur de Guez faisait son possible pour être à la hauteur. À présent, nous touchons le fond. Rendez-nous Jean Van Hamme, please !
(Le 2/5 c'est pour les cartes postales agrémentées de belles couleurs. Autrement nous sommes plus proches du 1/5)
On ne peut pas dire que Jeremie Guez se distingue pour son premier scénario . Il se contente de reprendre tous les codes des premiers albums comme un bon élève qui a bien révisé . Ca reste plaisant mais sans aucune surprise...
Quant à Francq, il est pas loin de faire du copier-coller sans émotions .
Ma note peut paraitre sévère mais quand on aime....
Nouveau scénariste et nouvelle intrigue
Cet album est très prometteur et retrouve les racines du succès de la série : de l'aventure et encore de l'aventure.
Les histoires financières sont un peu délaissées pour mieux suivre une intrigue parfaitement huilée à la James Bond qui nous captive très rapidement.
De nouveaux personnages prometteurs et cette jeune fille que Largo va protéger et qui semble avoir un avenir prometteur dans la série, donne une plus grande profondeur au personnage.
J'attends la suite avec impatience !
Déçu.
D’abord par le scénario, qui tente clairement de reprendre les codes de Largo Winch sans jamais en retrouver la finesse. À moins d’un twist vraiment solide plus loin, la mécanique reste simpliste, presque scolaire : les ressorts sont trop visibles, les enjeux manquent de chair, et on a surtout l’impression d’une photocopie qui n’assume pas son modèle.
Ensuite par le graphisme. Philippe Francq, à son sommet, c’était une claque — je pense surtout aux tomes 19 et 20 : énergie, tension, émotion, une maîtrise rare. Mais depuis qu’il a délaissé l’encrage traditionnel pour le numérique, le dessin s’est figé. Les visages ont perdu de leur vérité, les attitudes aussi. L’énergie brute qu’il avait au trait a été remplacée par une perfection froide, techniquement impeccable mais qui ne vibre plus.
Et pourtant… je le dis en tant que fan de toujours. Largo Winch, je l’ai suivi, aimé, relu. Et malgré ces réserves, je continuerai à lire la série. On ne lâche pas un univers qui nous a marqué — on espère juste qu’il retrouvera sa flamme…
Très belle surprise avec ce dernier opus, qui repose sur un scénario cosigné avec Jérémie Guetz, qui reprend le flambeau d'Eric Giacometti. En effet, on retrouve tout les ingrédients qui font le succès de Largo Winch, de l'action (beaucoup), de l'humour (avec Simon), de jolies femmes (et pour une fois elles ne sont pas filiformes), le tout sur fond d'actualité avec l'aide humanitaire et les drones. On voyage pas mal dans cette première partie du diptyque, et je dois dire que le dessin de Philippe Francq et les couleurs de Bertrand Denoulet et Maya sont vraiment superbes.
La seule chose qui me chagrine dans cet album, est le fait que Largo Winch entraine une gamine dans ses aventures assez mouvementées.
Une très belle intrigue, de nouveaux personnages bien campés, le tout dans des décors bien illustrés par Philippe Francq, bref je serai rendez-vous pour la suite ...dans deux ans!
Un bon Largo que ce tome 25, la formule fonctionne encore et c'est tant mieux. A la place de l'éditeur j'aurai suggéré aux auteurs de démarrer l'album par la planche n°4 directement pour une question de rythme mais ce n'est qu'un avis.
La sortie d'un tome de Largo Winch est toujours un événement très attendu. Les banquiers et dirigeants d'entreprise guettent cette parution avec impatience, rêvant de se voir en justiciers au grand cœur, capables de défier les exigences du monde moderne. Cela contribue à donner une image plus positive des "requins" de la finance, même si l'on pourrait s'interroger sur la crédibilité de cette représentation.
Du côté du scénario, l'intrigue reste bien construite, alliant dynamisme et pertinence tout en explorant des thèmes d'actualité qui résonnent avec notre époque. Bien que certains puissent reprocher au récit de flirter avec les clichés des blockbusters hollywoodiens, il est important de rappeler que Largo Winch a déjà été adapté au cinéma, avec trois films mettant en vedette Tomer Sisley, le dernier étant sorti en 2024.
Je suis toujours aussi impressionné par la qualité graphique et colorimétrique des planches. Le dessin de Philippe Francq est d'un niveau exceptionnel, chaque vignette est soigneusement travaillée et capture parfaitement l'essence des personnages et des décors. La précision et le souci du détail font que le dessin ne souffre d'aucun défaut, offrant une expérience visuelle à la hauteur des attentes des fans.
Sinon, je trouve que ce type de titre, à savoir « si les dieux t'abandonnent », irait très bien à une série comme « Thorgal » mais c'est quand même moins adapté à une série dont le thème reste l'économie et la finance. Avec ce tome, on va s'intéresser aux drones qui même à des visées humanitaires peuvent être détounés de leurs fonctions. Le cadre sera celui de l'Inde nouvelle puissance économique.
En somme, ce dernier tome de Largo Winch continue d'allier des thèmes nouveaux en utilisant toutefois les mêmes ressorts. On peut recommander cette lecture à tous ceux qui aiment les intrigues bien ficelées, mêlant aventure, enjeux financiers et un brin de glamour.