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Le plus dur pour moi a été de m'adapter aux dessins du tandem Pham / Puvilland . Tout deux issus de l'illustration, de l'animation ( chez Dreamwoks, excusez du peu ) et des jeux vidéos, leurs coups de crayons semblent sortis tout droit d'un dessin animé . Mais cela est vite balayé par une reconstitution minutieuse de l'époque et par une foule de personnages certes caricaturés mais bien identifiables et très attachants pour certains.
Vient le scénario de Mechner lui aussi issu des mêmes écoles que ses deux compères Et alors la, quel étonnement de sa maitrise de ce pan d'Histoire . Sur un fond parfaitement documenté, il nous livre une version du trésor des Templiers aussi plausible que toutes les théories existantes . Et il fait cela en toute simplicité et humilité . Sa préface et son épilogue sont deux bijoux explicatifs de cette intégrale.
Dernier point, même si je ne suis pas fan des formats comics je dois avouer pour le coup qu'il est parfaitement adapté à ce pavé de huit chapitres constitué de 476 pages !
Une vraie réussite pour ce roman dessiné .
Il est dommage que que les balbutiements de l'unité italienne ne soient traités que par le prisme de Michelina Di Cesare . Ramené au seul territoire de cette pasionaria italienne le scénario de Cedric Mayen passe à coté de la Grande Histoire . Difficile de prendre en sympathie Michelina et ses acolytes défenseurs finalement d'on ne sait quoi...
Le dessin et plus particulièrement la colorisation ne sont pas top non plus ce qui finit de laisser un gout d'inachevé à cette drôle d'épopée
J'ai deux soucis majeurs avec cette album :
1- Le scenario : lorsque que l'action se déroule à une époque donnée, je n'ai aucune restriction sur l'élaboration d'une histoire originale, décousue et même avec pleins d'anachronismes si l'auteur le souhaite. Mais lorsque les protagonistes sont des personnages historiques, un peu de rigueur ne fait pas de mal . De plus , ce scenario est creux et s'étire sur 80 pages....
2- Le dessin : Pour moi Civiello est définitivement un illustrateur . Certaines cases sont de vraies peintures et son talent est immense . Mais pas pour la BD ...
Voila, vous l'aurez compris, une immense déception.
Bon déjà, un one-shot de 90 pages cela nous change des séries à rallonge qui finissent pas mourir d'elles même par essoufflement. Ici l'histoire nous est conté d'un seul jet et c'est tellement tendu, tellement compacte que cela suffit amplement.
Car c'est l'affrontement de plusieurs mondes qui est décrit ici : le religieux qui se déchire entre deux courants de pensée, le générationnel entre un vieil ours ( Hans Stalhoffer ) et un jeune loup ( le comte Maleztraza ), la modernité entre l'épée et la rapière, nobles et manants et même ce mode de vie entre Province er Paris.
Evidemment, Xavier Dorison prend quelques libertés avec la grande Histoire mais son scénario nous fait vivre une grande aventure épique . Joël Parnotte quand à lui délivre un dessin de grande tenue entre personnages et paysages fournis.
Le scenario s'essouffle sur cette série . Nous revoici à la recherche d'un nouveau trésor et pas n'importe lequel: l'Eldorado.
Certes, la jungle sud-américaine se prête aux magnifiques dessins dd Delitte mais cela ne suffit plus.
La dernière planche nous promet désormais un retour aux sources... A voir
Suite et fin de "La Conspiration de Satan"
Cette fois ci Delitte transforme magistralement l'essai en respectant son scénario . De Port-Saïd aux Baléares, puis au Brésil, la détermination à se venger de Samuel Prescott dit Black Crow est implacable . Du coup l'histoire est sombre et violente mais finalement très réaliste.
Niveau dessin on reste dans le sublime avec parfois des doubles planches ou de grandes cases pruches de la Peinture.
Le grand retour de Black Crow et ses compagnons ! Remontant le long des cotes Africaines, le voici intervenant pour sauver le prince Abdallah el-Kamil qui l'invite à Port-Said. Malheureusement, ils vont tomber en plein conflit d'intérêts entre Anglais et Français acharnés les uns et les autres à prendre le contrôle de cette place stratégique.
Des plans machiavéliques vont contraindre notre héros à une nouvelle aventure sous le signe de la violence et de la noirceur des sentiments.
Oups ! Tout à son dessin ( magnifique s'il en est ), Delitte s'égare dans un scénario improbable à la Blake et Mortimer...
Quel dommage tant l'album précédent "Le Trésor Maudit" laissait présager de grandes choses..
Cette série va désormais savoir rebondir !
Fuyant les cotes américaines, le Black Crow se retrouve en Europe piégé par un richissime Flamand qui le contraint à travailler pour lui en échange de la vie de son beau frère .
La mission : convoyer son nouvel "employeur", ses filles et une bande de mercenaires jusqu'en Afrique pour remonter le fleuve Zaïre.
La mer, ses bateaux plus l'Afrique avec ses paysages et son bestiaire, Jean-Yves Delitte éclabousse de tout son talent une histoire assez noire et pleine de rebondissements.
Vivement la suite!
Ce Black Crow est un personnage de principes, fidèle à ses origines et à la parole donnée . Aussi quand il accepte de devenir pirate en acceptant une mission de la Couronne, il entend bien que les termes du contrat soient respectés .
C'est sur ce postulat de départ que commencent les aventures de ce nouvel héros. Situées dans l'histoire d'indépendance de l'Amérique, elles permettent à Jean-Yves Delitte d'exercer tout son talent de peintre de la Marine dans l'âge d'or des beaux bateaux: bricks, frégates et autres galions.
Cet album aurait pu faire l'objet d'un one-shot mais nous voila partis pour une aventure au long court ... Alors bon vent pour la suite !
Nous avons désormais suffisamment de recul sur cette série pour pouvoir dire que c'est une réussite
Ce cinquième album (quand même) semble marquer la fin d'un cycle, celui ou Barbe Rouge devenu corsaire semble vouloir s'émanciper des ordres royaux pour prendre en main le destin d'esclaves.
Un scenario épique de Jean-Charles Kraehn qui restitue parfaitement le souffle de ces vieux épisodes de flibustes porté par un dessin très réaliste et personnel de Stefano Carloni.
Pour les nostalgiques de la grande BD d'aventure.
Le seul avantage de cette intégrale c'est son prix ! Pour le reste....
La première trilogie tient à peu près la route, la seconde déjà moins et la troisième achève le personnage de Dottie, la femme qui ne vieillit pas ! ( On va passer par charité le tome 10 )
Car c'est bien la le principal problème de la série, son héroïne récurrente qui change d'époque sans changer de plastique ,ainsi que son Joe le Lourdingue.
Mon autre souci, c'est le dessin! Bien beau faire des couvertures dignes de Play-boy, pour le reste c'est beaucoup trop caricaturale, la palette des visages par exemple.
La barre était haute après le premier album et l'impatience à hauteur de l'attente alors que faire , a part tendre l'autre joue pour une nouvelle claque !
Le scénario de Diaz Canales tout d'abord : un sujet sensible et sérieux sur le racisme ordinaire mais organisé d'une certaine Amérique avec sa ségrégation, sa suprématie blanche face au radicalisme noir . Pas de sociologie ici, pas de jugements, les faits, rien que les faits. Le choix "animalier" pour désigner les protagonistes est évident encore fallait-il y penser .
Les dessins de Guarnido ensuite : toujours aussi somptueux portés par une colorisation parfaite dans ce monde peuplé de Noirs et Blancs et ancrés dans ces années 50 magnifiquement restituées...
Enfin, welcome Weekly ! Quoi de mieux qu'une fouine pour symboliser un journaliste ?
Pour être franc le scénario à des airs de déjà-vu, c'est du grand polar bien noir digne d'Ellroy et rien que çà c'est déjà plus qu'un compliment. Mais derrière, l'idée de génie : animaliser les personnages !
Et là intervient le dessin : le ''bestiaire" n'a pas de limites . Chaque personnage est représenté selon l'imaginaire collectif : le Blacksad est un chat, l'inspecteur un chien policier, le méchant un serpent, etc etc ... Les décors , les bagnoles, les fringues des années 50, le moindre détail a son importance et c'est juste merveilleux visuellement parlant.
Waow ! La claque ! L'amorce d'un phénomène et la découverte d'un duo détonnant Diaz Canalès et Guarnido . A ce titre ,la préface de Loisel en est le juste résumé .
Il ne manque pas grand chose pour noter cet album 4/5 : une fin plus évidente, plus marquée . La on dirait une série Netflix qui attend les résultats d'audience pour lancer une suite ou pas . La porte reste ouverte alors pourquoi pas ?
Surtout que l'ensemble à de la gueule et se démarque du tout venant dans la catégorie western . L'époque déjà, ce crépuscule des grandes chevauchés pour convoyer le bétail, l'avènement du chemin de fer et forcément la disparition des cow-boys. Bien pensé et surtout magnifiquement dessiné. Les personnages, les décors, les grands espaces, un régal visuel.
Alors la suite, chiche ?
Deuxième scénario de Fred Neidhart et deuxième réussite . Le cahier des charges est plus que respecté et l'on retrouve ici une histoire digne des premiers albums . Blutch est à l'honneur dans cet album pour notre plus grand plaisir dans un rôle un peu différent : il déserte pour changer un peu mais ... Chut ! A découvrir par vous mêmes !
Qu'on se le dise: Les Tuniques Bleues sont de retour et bien évidemment sous le pinceau du vénérable Lambil !
Bienvenue à Fred Neidhardt au scénario ! Cet épisode contient tout les codes de la série en piochant de-ci delà dans les albums précédent de la série avec des airs de déjà vu.
C'est vrai, rien de bien original mais cela a le mérite de remettre nos chères Tuniques Bleues sur de bon rails.
Coté dessins, le Père Lambil fidèle au poste et c'est tant mieux tant le tome 65 m'a traumatisé !
Dans le couple des Charles l'osmose est si parfaite qu'il est difficile de distinguer qui sert l'autre, du scénario ou du dessin. Cette série n'échappe pas à la règle avec en point d'orgue le quatrième tome, mélange de textes et de crayonnés, aquarelles et autres dessins.
L'histoire s'attache au retour de trois vétérans ainsi qu'un ancien résistant local sur les lieux de leur destin commun . Chacun d'entre eux a le droit au fil des albums à un résumé de son histoire à travers des flashbacks nous menant sur les divers fronts de la seconde guerre mondiale.
Les trois premiers volumes peuvent suffire à la compréhension de la série mais il serait dommage d'ignorer la palette graphique de Jean-François Charles dans ce quatrième si atypique.
La jaquette annonce sur un large bandeau rouge SOKAL comme une évidence alors même que l'auteur n'est connu dans le monde de la BD que pour son Inspecteur Canardo et un album nommé Sanguine qui ne s'avère pas être un must de la profession. Il s'apprête d'ailleurs à entamer une aventure très réussie dans l'univers des jeux vidéo avec deux titres phares : L'Amerzone et Syberia, deux grands classiques .
Reste alors ce" Vieil homme qui n'écrivait plus" témoin de l'évolution de son talent graphique, traits en noir et blanc affutés pour les personnages comme pour les paysages . Il y a du Servais dans cet album et c'est réellement plaisant.
Le scénario lui est très classique, explorant la face sombre d'une partie de l' Histoire dans nos campagnes profondes . Seule la fin un peu bâclée empêche une meilleure note mais l'ensemble est à découvrir.
Alors attention les yeux, vous avez intérêt à sortir vos mouchoirs, des fois que les larmes se mettent à dégouliner tellement vous allez vous fendre la gueule ." GOTLIB
Salopard de Marcel ( C'est plus qu'affectueux bien sur! ) , si l'on pleure c'est sur la vie de ces pauvres petits bonhommes tenus sous la coupe d'adultes plus abjects les uns que les autres .
Quelle force, quelle puissance dans ces histoires autobiographiques de Gimenez accentuées par son dessin caricatural si aimant, si bienveillant pour ses compagnons d'infortunes : les coupes de cheveux improbables , les genoux cagneux, les oreilles décollées , les grands yeux si expressifs surtout quand les larmes pointent ou coulent ..... Et si réalistes sur les adultes sensés les encadrer et que l'on se surprend à haïr.
Quelle BD ! Quel artiste ! Le chef d'œuvre ultime qui est hors note tant le 5/5 ne suffit pas .
L'originalité de cet album est que l'Ogre en question n'est pas Gilles de Rais souvent affublé de ce surnom par certains et ici présent.
Pour le reste, s'appuyant sur un travail assez rigoureux, Dufaux revisite Jeanne D'Arc et la Guerre de Cent Ans à sa façon, s'autorisant quelques libertés sur les personnages secondaires sans faire offense à la Grande Histoire.
La belle surprise c'est le dessin de Jan Luis Landa qui donne tout son souffle à cette épopée . A suivre sur le second album...
On commence par quoi ?
Le dessin ? Ok. C'est du Rosinski. Presque. Mais les caractères des textes sont parfois trop gros sans que l'on sache pourquoi, les proportions ne sont pas toujours respectées ( page 69, 4eme case par exemple ) mais l' ensemble est plaisant , la colorisation n'y étant pas étrangère.
Le scénario ? C'est du Van Hamme. Presque. Mais redéterrer ( C'est le terme approprié ) d'anciens protagonistes comme Shania nous ramène un peu trop aux origines de la série et je ne suis pas sur que Thorgal Saga soit fait pour cela . Celui ci aurait pu faire parti de la collection classique.
Reste malgré tout un album plaisant qui ne fait pas offense à l'univers de Thorgal même si personnellement j'aimerai un peu plus de nouveauté.
Quelques regrets sur cet album . D'abord le dessin. Pas sur que le noir et blanc initial avait réellement besoin d'être colorisé même si cela rajoute à l'ambiance de cette époque victorienne. Le scénario ensuite qui aurait gagné à nous présenter une vraie héroïne ou alors lui opposer un double masculin qui ne soit pas aussi emblématique que Churchill par ailleurs bien décrit dans cette histoire. Dommage, car Giroud fait preuve d'une grande rigueur dans ses travaux de reconstitution historique du récit
Reste tout de même un album plaisant à lire, ne le boudons pas !
Pas simple de donner un avis sur un pavé de 180 planches plus un dossier de 10 pages en fin d'album mais essayons !
Dans ce deuxième tome d'une trilogie annoncée, nous voici reparti sur la trace d'un tueur en série, vieux cauchemar d'Emiliano Sanz, journaliste chevronné aux faits divers du journal "La Capitale" secondé par le "Gabacho" Léon Lenoir et renseigné par l'inspecteur Casado.
Mais comme dans le premier tome, l'enquête dérive très vite pour nous emmener dans une nouvelle description de l'Espagne Franquiste des années 50 avec comme toile de fond cette fois ci l'immobilier et la censure dans le cinéma national alors même que prolifèrent dans le pays les productions US.
Evidemment, tout est prétexte dans le scénario à une sévère critique de l'époque et nombres de personnages sont odieux, qu'ils soient réellement idéalistes ou opportunistes. D'autres apparaissent simplement comme des survivants.
Il faut parfois s'accrocher car sur une telle histoire le scénario est plutôt conséquent et le dessin fourmille de détails et de références
Une énorme série qui deviendra indispensable si le troisième tome s'avère aussi réussi... Mais pitié, pas dans 4 ans !
Van Hamme a tendance à se faire plaisir sur les one-shot et ici ça se confirme . C'est féroce, politiquement incorrect, jouissif !
Cinq sexagénaires désabusés laissent derrière eux leurs petites vies pas bien folichonnes et disjonctent pour une seule et même raison : Jo "l'Auversoise" . Et pour çà ils sont prêts à tout !
La revanche des boomers !
C'est l'histoire du mec qui chute du 50eme étage et qui dit : jusque là tout va bien .
L'histoire ici s'arrête page 40 et je suis gentil ...
Commentaire lapidaire mais tellement dégouté d'avoir vu Y.Sente saborder une histoire si prometteuse ...
Cela méritait le zéro mais ce serait faire abstraction du Tome1
Premiere interrogation : Teun Berserik et Peter Van Dongen. Inconnus au bataillon pour ma part, je serai bien incapable de dire qui fait quoi dans ce nouveau tandem, mais force est de constater qu'ils maitrisent totalement la fameuse ligne claire chère à Jacobs. Leur première mission est amplement réussie, a fortiori au service d'une histoire se déroulant dans les magnifiques décors d'Asie.
Car ce bon Y.Sente après nous avoir livré le préquel du "Secret de l'Espadon" avec le" Baton de Plutarque" nous propose désormais la suite avec une telle fluidité qu'il faudra peut-être revoir la chronologie des albums pour les générations futures . Et alors tout y est : les géniales inventions du Professeur Mortimer, le courage du Capitaine Blake, des méchants bien fourbes et cruels, une ambiance exotique des années 50 , un peu d'Histoire et d'archéologie, des cases bien fournies en dessin et en textes explicatifs . Bref, du pure Jacobs !
Vivement la suite ! Et à l'attention de darwin03 : j'ai aussi le capitaine Haddock !
Quel grand scénario que ce prequel du "Secret de l'Espadon" malgré deux-trois incohérences dans l'introduction de certains personnages .
Mais quel travail de reconstitution de l'univers de Jacobs pour cet album qui pour le coup demanderait presque a être lu avant le triptyque pour un profane de B&M . C'est tellement bluffant qu'évidemment l'immense Juillard n'y est pas pour rien : la maitrise de son sujet est si totale que l'on ne cherche même plus a faire la différence avec l'original .
Un grand, très grand album !
Il faut déjà noter avant tout qu'il s'agit d'un ALBUM SANS OLRIC et sans que cela ne gène l'histoire . Il semblerait également que pour une fois la couverture semble faire consensus même auprès des plus grands nostalgiques de Jacobs ! On progresse ...
Niveau scénario on reste dans l'entre-soi britannique avec Lawrence d'Arabie comme point de départ à cette nouvelle histoire avec pour une fois une attention particulière au personnage de Blake.
Bon c'est vrai, ça peut faire penser à du Agatha Christie mais la différence c'est qu'elle ne dessinait pas , Juillard si ! Et toujours avec autant de talent.
Un album "so british" autour de le leur plus grand dramaturge : Shakespeare .Y. Sente scénarise les vieilles polémiques concernant la paternité de ses œuvres et nous propose un jeu de piste ( satisfaisant les uns et les autres ) résolu bien évidemment par nos héros mais pas que : bienvenue à Elisabeth McKenzie , fille de Sarah Summertown et de .... Les paris restent ouverts !
Au niveau déception on peut noter la présence des Teddys qui auraient pu avoir une autre importance dans un autre scénario Londonien et surtout ne pas avoir su profiter de Venise pour sublimer un peu plus le dessin de Juillard .
Un bon album ou caser Olric a du s'avérer difficile ! :):)
La communauté Gauloise semble plus bornée et fanatique que jamais en vue de l'Atlantide, n'hésitant pas à recourir au massacre de ceux qu'elle considère comme impies . Enivrée d'orichalque elle se consume dans des chimères .
Un album bien noir pour clôturer ce cycle malgré une suite annoncée.
La Malédiction des trente deniers - Tome 2
La crainte de cet opus, après les malheureux déboires du Tome 1, était la découverte d'un nouveau dessinateur inconnu pour ma part : Antoine Aubin. Mais pas de problèmes, sa maitrise s'adapte parfaitement à la série.
Reste le scénario de Van Hamme, plus inspiré par Indiana Jones que B&M . Mais comme toujours avec lui ça passe naturellement et s'adapte parfaitement à la franchise.
Un bon diptyque que cette Malédiction des trente deniers
Déjà, c'est le premier album depuis la reprise de la franchise qui ne soit pas dessiné par Juillard ou Benoit, ce dernier ayant abandonné pour projets personnels . Et la malédiction ne s'arrêtant pas au titre, le malheureux René Sterne ne pourra pas porter au bout ce projet, repris par son épouse après son décès comme rapporté par Van Hamme en introduction à cet album . Le miracle c'est que cela fonctionne, l'univers de B&M étant parfaitement respecté .
Reste le scénario de Van Hamme qui profite d'un diptyque pour poser ses personnages, son histoire, n'hésitant pas à y mêler des nazis la ou Jacobs avait préféré créer l'Empire Jaune de Basam Damdu comme pour mieux laisser la seconde guerre mondiale derrière lui .
Nous voila donc avec un peu d'Histoire et d'Archéologie, des méchants comme les aimait Jacobs, du Mystique et de l''Anticipation.
Alors , "What Else" ? Vivement la suite!
La je coince ....
Le changement de personnalité est une idée formidable mais tellement mal exploitée car trop longue dans le temps pour être cohérente : que n'aurait du ou pu faire Olric en étant si longtemps dans la peau de Mortimer !!!
Reste quelques belles idées comme la révélation de l'idylle entre Miss Summertown et Mortimer rendant plus humain notre héros qui n'est donc pas un être asexué. Et surtout, le fait que l'histoire se déroule principalement en Afrique offre à Juillard l'occasion de nous démontrer s'il en était encore besoin l'étendue de son énorme talent .
Dommage...
Les Sarcophages du 6e continent - Tome 2
On va très vite passer sur les critiques de la couverture : c'est évidemment un hommage aux tomes 7-8-9 de la série crée par Jacobs et a bien y réfléchir le scénario aussi .
L'histoire s'essouffle un peu , l'action se déroule principalement au Pole a part quelques planches du coté de l'Expo belge et de l'Inde pour rebondir sur le premier tome .
Reste néanmoins le dessin de Juillard et le respect de l'œuvre de Jacobs selon un cahier des charges peut être trop strict.
Retour du tandem Sente / Juillard et là on rentre dans le dur :
Le cahier des charges des héritiers et de la maison d'édition se durcit avec un impératif, faire du Jacobs ! Réussi ?
Fort d'un diptyque, Sente prend son temps et pose son scénario en commençant par réinventer B&M , leurs jeunesses et leurs origines, en s'appuyant il est vrai sur les notes de ce bon Edgard mises à sa disposition . Ceci fait, il nous entraine dans une intrigue improbable remplie de méchants ( Olric est là bien sur mais pas que ) , d'invention monstrueuse étiquetée SF Jacobs . Mais aussi d'une foule de personnages secondaires connus ou bien nouveaux telle Sarah Summerton invitée a bientôt revenir dans un futur album. Enfin il inscrit définitivement nos deux héros dans les années 50.
Coté dessin, Juillard nous emmène imperturbablement là ou le scénario l'exige et contribue grandement et avec une facilité déroutante à la grande qualité de cet album.
Alors réussi ? Un grand oui pour les amateurs de l'esprit Jacobs
A toi à moi ! Reprise de la série par Van Hamme / Benoit après ( et avant ) Sente / Juillard . Et là, on se lâche :
Persuadé de pouvoir s'appuyer sur le dessin irréprochable de son complice Benoit, Van Hamme n'hésite pas à revisiter l'univers B&M de Jacobs en s'appropriant tout les codes : SF pas plausible ( un régal ), le méchant ultime ( Basam Dambu ), le méchant récurrent ( ce bon vieil Olrik plus fourbe que jamais ), la petite leçon de morale. Mais il n'oublie pas pour autant d'y mettre sa patte : de nouveaux personnages dont Jessie Wingo pour continuer à ( un peu ) féminiser la série depuis sa reprise, sa délocalisation en Amérique ...
Un nouveau 5/5 pour ce troisième opus post-Jacobs
L'après Jacobs Acte II :
Après Van Hamme et Benoit la barre était haute, très haute . Peu importe, Sente et Juillard saute à leur tour l'obstacle, nous rendant une copie époustouflante.
Commençons déjà par le dessin sans qui la série ne serait rien s'il n'était pas fidèle à l'œuvre originale . 5/5 pour André Juillard qui affiche une incroyable maitrise de l'univers de Jacobs : les personnages, le rendu de Londres et Moscou des années 50, cette atmosphère particulière des albums de B&M. Et tout cela pour mieux servir le scénario d'Yves Sente.
Le surdoué de la BD franco-belge nous plonge avec délectation au cœur de la guerre froide avec de vrais méchants ( Voronov est merveilleux dans ce rôle, bien plus effrayant que l'indispensable Olrik ) , des personnages féminins consistants, un scénario plausible...
J'ai failli mettre 4/5 mais non, cet album est largement du niveau de l'Affaire Francis Blake
Ou quand deux vieux complices se font plaisir avec un one- shot ou s'exprime tout leur talent...
Evidemment que c'est a lire absolument !
Neuf ans après la mort de Jacobs, six après un dernier album réalisé par De Moor, le pari est lancé par les héritiers : pour la première fois un nouveau scénariste est aux commandes et pas n'importe lequel : Jean Van Hamme ! On ne présente plus le bonhomme mais le défi est de taille . Résultat : l'un des meilleurs albums de la série, encore aujourd'hui.
Le scénario est plausible, faisant la part belle à Blake et amenant une certaine modernité tout en conservant les codes et l'époque de nos deux protagonistes . Pas de SF parfois confuse de Jacobs, un personnage féminin, des seconds rôles plus consistants ... Bref, du grand Van Hamme ! Mais évidemment, tout cela ne serait rien sans le dessin. Et là...
Ted Benoit réalise un boulot extraordinaire s'effaçant derrière la ligne claire chère à Jacobs et en n'omettant aucunes de ses spécificités : les phylactères, les gros points d'interrogations, les petites "tornades" qui accompagnent certains mouvements . Un régal !
L'album fondateur de la nouvelle dynastie de B&M ( 17 albums à ce jour contre 13 à Jacobs ! ) , le trait d'union entre les générations. Rien que pour cela cet album est indispensable !
AVIS CONCERNANT L'ENSEMBLE DE LA SERIE
De Vanko dans les années 40 du 19ème siècle à Nério dans les années 60 du 20ème voilà une saga familiale relatant les origines de Largo Winch que l'on ne présente plus .
Fantastique Van Hamme qui reprend la main sur l'un de ses personnages fétiches et nous offre un préquel concis et nerveux . Trop peut être, il aurait pu approfondir certains personnages ou certaines situations. Mais du coup le dessin de Berthet se prête parfaitement à l'exercice !
Bref, à lire absolument avant de relire les premiers albums de Largo.
AVIS POUR LES DEUX ALBUMS
Entre l'édition des premières planches en 1972 dans le journal de Tintin et les dernières en 1990 dans Hello BD il aura donc fallu 18 années pour finaliser ce diptyque. La "faute" à un Edgar P .Jacobs fatigué, démotivé suite au décès de son épouse. Malade à son tour il ne laissera en définitive qu'un scénario et quelques crayonnés..
C'est Bob De Moor qui est désigné pour réaliser le second album. Mais mis sous pression par l'éditeur il rendra une copie pas réellement inspirée.
Que dire d'autre ? Jacobs avait vieilli, ses personnages aussi... Son œuvre s'arrête ici, pas ses héros repris avec plus ou moins de réussite pour notre plus grand plaisir
La suite de l'histoire de Jacques, Loup Blanc, Loutre et ses enfants .
Toujours aussi classique dans la narration et le dessin, une bonne BD à l'ancienne à découvrir
Et bien voila ! Pas compliqué de faire une bonne BD : des Anglais et des Français qui ne peuvent pas se voir, des Indiens gentils ou méchants selon ou l'on se place, une ambiance "Dernier des Mohicans" .
A mille lieux des sélections d'Angoulême , une vraie réussite.
Vite, la suite !
Quel acharnement sur cet album ! Et pourtant :
C'EST DU JACOBS ET RIEN D ' AUTRE ! Relisez les dix premiers albums et vous y êtes ! SF improbable, Olrik , Londres sous toute les coutures et j'en passe ...
Désolé mais B&M version Jacobs c'était bien gnan-gnan, avec des scénarios impossibles ( Le piège diabolique quand même ) , MAIS, à l époque c'était du pur génie pour l'enfant que j'étais . Alors oui j'ai vieilli, je suis passé à d'autres BD mais un grand merci à Dufaux d'avoir réveillé en moi une douce nostalgie
Personnellement je défends cet album car les auteurs ont réussis à réunir tout les codes de la série qui plus est en scénarisant une suite au chef-d'œuvre de Jacobs : la Marque Jaune . Le défi était de taille et il est relevé :
Le soin apporté aux dessins décrivant l'ambiance " so british" des années cinquante, aux traits des personnages pourtant bien connus, nous voila vraiment plongés dans l'univers de l'original.
Reste le scenario qui semble faire débat dans les commentaires précédents . Dufaux nous propose du Jacobs et rien d'autre ! Et c'est là sa grande force que de faire preuve d'humilité et de s'effacer derrière l'esprit de Blake et Mortimer
Un bon album donc qui pérennise la série
D'où vient ce léger parfum de déception ? Rien à redire sur le scénario, encore moins sur le dessin mais reste un pavé pas toujours digeste...
Mais c'est quand même un beau one-shot des éditions Delcourt !
AVIS POUR LES DEUX ALBUMS
Quel dommage que la disparition de cette série . En deux albums s'était crée tout un ensemble propice à une histoire au long court qui aurait pu ( aurait du ?) nous dévoiler un peu plus l'origine de nos deux protagonistes François et Félyzé , surtout François s'il s'avérait qu'il s'agissait bien de Villon.
Il nous reste donc ce diptyque à consommer sans modération
AVIS SUR LA SERIE ( Le 2/5 concerne cet album )
Bon voila, Lefranc s'arrête là pour moi. On repart avec un nouveau dessinateur qui ne restera que deux albums . Et surtout,, Jacques Martin est à bout de souffle ( comme sur Alix ) . Je pense qu'il aurait du passer la main sur les scenarios également, tout en supervisant bien sur car après tout c'est l'un de ses bébés .
Casterman n'est pas tout blanc non plus dans cette histoire avec son exigence sur les rythmes de parution
Reste donc les évidences des premiers épisodes à posséder absolument ( Scénario, dessins, le tout en 64 planches ! )
Une seule et même histoire vécue par trois protagonistes à tour de rôle, chacun d'entre eux ayant droit à sa propre colorisation . Du coup, le même scénario interprété d'un point de vue différent amène par chaque personnage des détails qui nourrissent le récit.
Un exercice de style avec quelques défauts bien sur mais réalisé avec brio.
Voici donc le faire-part de naissance du duo David / Bourgier : C'est parfois confus, mais quelle énergie ! Ce bon scénario aurait mérité un peu plus d'espace pour s'exprimer . Heureusement, les auteurs ont su prendre leur temps pour la série Servitudes !
Bref, un album à découvrir ...
AVIS POUR L'ENSEMBLE DE LA SERIE
Une série bien sombre scénarisée par Dufaux et illustrée par le dessin ultra réaliste et nerveux de Renaud . Le tandem explore là sur cinq volumes un univers entrouvert quelques fois chez Jessica Blandy , le fantastique et le paranormal.
Une nouvelle réussite des auteurs !
Ben non, ou tu fais du copier-coller de Maitre Lambil ou tu crées ta franchise . Zéro pointé pour Dupuis !!
Compliqué la critique d'un tel album . Parce que forcément du bon et du moins bon, au dessin ( mais la c'est une histoire de gout ) , comme au scenario ou certaines "scénettes" auraient méritées quelques planches supplémentaires . Un bon point la montre en fil rouge pour relier les histoires entre elles.
Bref un album inégal mais qui mérite quand même son 3/5
Le plus grand génie de l'histoire de la BD française . Un scénariste hors pair , Maitre d'un humour toujours bienveillant... Goscinny est mon Dieu et ce dictionnaire ma Bible.
1954 . Oublier la date de parution de cet album c'est ne pas pardonner ses faiblesses scénaristiques, sa naïveté, son dessin pas toujours maitrisé . Et c'est donc passer à coté d'une des séries emblématiques de la BD franco-belge détentrice qui plus est ici du "diplôme" de la ligne claire .
Evidemment, on retrouve ici tout les ingrédients d'Alix : Le héros, son jeune compagnon, le méchant récurrent probablement du également au cahier des charges de l'époque. Et à ce petit jeu Jacques Martin est un Maitre et un précurseur de la période dorée qui va suivre avec les publications des magazines Tintin, Spirou et Pilote (Matin, quel journal ! )
Alors certes, la série a continué un peu coute que coute, très inégale par moment par le scenario ou le dessin. Mais ignorer cette "Grande Menace" dans sa bibliothèque est une hérésie !
AVIS VALABLE POUR L'ENSEMBLE DEA LA SERIE
Par quoi commencer ?
Rarement une série n'a atteint une telle créativité au niveau du scénario : Création d'un monde, de peuples, de mythologies, de légendes, agrémentés de cartes, de glossaire, de textes complémentaires sous formes de parchemins, extraits de manuscrits. Tout ça au niveau des plus grands romans d'Héroic-Fantasy...
Cela posé, restait à illustrer cette formidable aventure . Et alors là ... Qui n'a pas été attiré par ces formidables couvertures ? Cette incroyable couleur sépia ? Ces gueules détaillées des personnages ?
Certes, l'ensemble n'est pas parfait , quelques trous dans le scenario, quelques confusions dans certaines scènes ( d'action principalement ) mais le souffle et l'ambition de cette série la rend incontournable
SIX GRANDS ET BEAUX ALBUMS .
Jamais trop tard pour bien faire : je découvre aujourd'hui un album qui a mon âge ! Pour moi Jacques Martin c'était Alix et rien d'autre . Bon, mea culpa, ce Lefranc étant bien évidemment un must de la BD de ces années 50/60 . Un scenario qui ferait trois albums de nos jours, un dessin fouillé, précis et les fameuses bulles de Casterman ainsi que les tranches de l'album, jaune pour cette série ...
Incontournable !
Indiscutablement la BD de l'année ! Un scenario au cordeau de Xavier Dorison - qui n'hésite pas par ailleurs à commenter les libertés qu'il s'accorde par rapport à l'histoire - et un dessin très juste collant parfaitement aux années 50 de Julien Tello bien loin de son graphisme et de son univers de l'heroic-fantaisy .
Une franche réussite !
L' aventure commencée avec le Disque d'Osiris continue cette fois ci en Armorique dans un village divisé par leurs croyances . Alix et ses compagnons devront composer avec ce conflit interne tout en collectant de nouveaux indices pour leur quête .
Mine de rien, Alix Senator a trouvé son rythme de croisière et je me surprend à attendre le prochain volume avec une certaine impatience !
Bon, tout allait bien jusqu'à l'épilogue qui nous renvoie à l'ouvrage précédent des auteurs" Le serpent et le coyote" . Totalement inutile et du coup une histoire qui finit en eau de boudin.
Dommage.....
Inadaptable au cinéma d'aujourd'hui ( Plus assez de trognes , de second rôle comme le cinéma d'avant en produisait ) c'est donc la BD qui hérite de ce vieux roman de Pierre Lemaitre sous le pinceau de Dominique Monféry et c'est tant mieux ! Avec les deux volumes d'Habémus Bastard nous voici dans des scenarios totalement décomplexés, politiquement incorrects, jubilatoire au possible !
Fatale est l'adaptation fidèle d'un roman de Jean-Patrick Manchette paru à l'époque en dehors de la fameuse collection Série Noire car jugé trop peinture sociale et pas assez polar.
Il est vrai que nous sommes la transporté dans une analyse de la bourgeoisie provinciale cher à Claude Chabrol sauf qu'il ne s'agit pas ici de cinéma mais de BD ou excelle Max Cabanes : Personnages, décors, toute une atmosphère merveilleusement dessinés pour servir le scenario validé par le propre fils de Manchette.
La collection "Saga" poursuit son petit bonhomme de chemin avec une nouvelle équipe aux manettes. Le dessin de David Etien se démarque un peu de l'original mais la qualité est au rendez-vous.
Le scénario est plus classique, conforme à l'univers de Thorgal donc pas de surprises et tant mieux...
Et bienvenue à la nouvelle gardienne des clés !
Le dessin est juste impossible... Continuer la série dans ces conditions vont vite la tuer . Il faut absolument ""fixer" un tandem dessin-scenario qui respecte les codes d'Alix .
Un scenario plus noir que d'habitude, un nouveau peuple... Après Lefranc Roger Seiter s'attaque pour la seconde fois à l'univers de Jacques Martin avec Alix. Une bonne et belle surprise que cet album!
librement adapté d' "Aux cœur des ténèbres" de Conrad voici donc la version western des Charles merveilleusement illustrée comme en témoignent les pleines plages reproduisant les peintures à l'huile de l 'auteur. Les convoyages des pionniers ou des bergers rythment la narration avant la grande confrontation finale.
Une grande BD épique en one-shot de la collection SIGNE .
Critique valable pout le T3 et T4 de la série :
Du mieux au dessin mais un scenario toujours aussi désespérant...
Du Sherlock oui, du Watson oui, du Mycroft oui, mais de Moriarty pas grand chose. Le voila même réduit à un concept ...
Bref rien de nouveau dans le monde de Sherlock
La très belle surprise que cet album . Teresa Valero s'inscrit dans cette remarquable et finalement méconnue école espagnole de la BD avec le monumental Carlos Gimenez en Maitre et Jango Guarnido en premier de la classe .
Une vraie réussite, dessin comme scenario.
Caryl Férey et Corentin Rouge se sont trouvés pour le meilleur de la BD. Un scénario original documenté porté par un dessin dynamique qui sublime aussi bien les vignobles sud-africains que les township. Une vrai réussite en one shot qui plus est !
Quelle horreur que ce dessin ! Sur certaines scènes il en devient même impossible d'identifier les personnages . Les décors sont également beaucoup trop fouillis pour apprécier la seule originalité d'un scenario qui n'en fourmille pas... Critique valable pour les deux albums de la série.
Une suite crescendo ... La "farce" bascule dans le grand banditisme avec violence pour les protagonistes de ce second album. Un scenario classique mais sans failles et toujours ce dessin si caractéristique . Un vrai plaisir !
Cette Thorgal Saga s'avère être la meilleur des séries dérivées de Thorgal . Ce deuxième opus s'inscrit parfaitement dans l'univers créé par les maitres Van Hamme et Rosinski . Un one shot à posséder impérativement .
Une excellente surprise . Jubilatoire et politiquement incorrect ! Une histoire portée par un dessin tiré au cordeau comme toujours avec Sylvain Vallée et magnifiquement colorisé : (ha la doudoune orange) ...
Les douze planches de la preview laissaient présager autre chose que ce scenario plutôt confus dès l'arrivée d'Amotken.