
Astérix
9. Astérix et les Normands
Une BD de René Goscinny et Albert Uderzo - Dargaud - 1966
Goudurix, le neveu de Lutèce d’Abraracourcix, vient passer des vacances dans le village gaulois. La vie citadine l’a amolli et son oncle doit en faire un homme. L’apprentissage du neveu sera perturbé par le débarquement des Normands qui veulent découvrir la peur, sentiment qui leur est inconnu, et ainsi apprendre à voler car « la peur donne des ailes »… Goudurix leur sera précieux car c’est un véritable couard. Saura-t-il transmettre cette émotion aux Normands ? Les Normands arriveront ils à voler grâce à la peur ?…
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
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Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
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Tome 15 -
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Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
HS -
TL
Alors là je crois que je vais faire descendre la moyenne, mais je n’aime pas trop cet album. Je trouve que la situation de départ est sympathique, mais l’album a le désavantage d'être positionné entre les excellents Astérix chez les Bretons et Astérix légionnaire.
Le côté un peu trop statique de l’histoire me gène un peu. Les Normands qui débarquent sur les côtes armoricaines, c’est bien, mais ça devient vite lassant. Les situations se suivent et se ressemblent.
Le personnage de Goudurix qui incarne le jeune snob branché lutécien est amusant, mais il devient vite caricatural. Bon, vous me direz c’est un peu le principe. D’ailleurs, on notera que cet album a un côté très yé-yé années 60, puisqu’il est fait référence à l’émission salut les copains, ou au chanteur Antoine « Les Elucubrations ».
Mais, je ne sais pas, ça ne prend pas chez moi ; je m’ennuie en lisant ou en relisant cet album ; les jeux de mot sur les noms en -af des Normands me font à peine sourire.
Bon, il y a quand même des choses bien dans cet album. L’humour goscinnien est là : avec ses anachronismes (la scène du postier est assez drôle) et ses allusions géopolitiques.
Il est évident qu’un album où Goscinny est au scénario reste quand même bien supérieur aux velléités humoristiques d’Uderzo seul aux manettes. Et puis, c’est la première fois, qu’on assiste à la manifestation de l’écologisme d’Idéfix.
Un excellent tome mais vu le niveau des précédents ,des monstres de la BD franco-belge ,on se surprend presque à être déçu par ce très bon opus pétillant d’intelligence et plein de baston construit sur un quiproquo tout con. 18,5/20
Un album survitaminé, bourré d'action, avec des bastons gaulois/romains/normands mémorables.
Le personnage de Goudurix est attachant par son côté prétentieux et pleutre et par son entente avec Assurancetourix; Idéfix qui pleure à chaque fois qu'un arbre est déraciné est très amusant. Quant au Normands, j'adore leur représentation graphique (qui rappelle un peu par certains côtés celle des Goths) : des gros poilus aussi épais physiquement qu'intellectuellement.
Un album à déguster et re-déguster sans cesse (accompagné de crème ou pas !).
Un des tout meilleur Astérix du temps du couple Goscinny / Uderzo.
Scénario impeccable, jeux de mots et calembours au premier degré pour les plus jeunes au second pour les plus âgés.
proprement intemporel.
7/10.
Aujourd'hui Astérix reçoit à domicile les normands pour une aventure toujours aussi percutente que les précédentes. Franchement le scénario est une vrai réussite (encore : ) ). Tout est basé autour de la peur et de l'absence de peur des guerrier normands ce qui donne lieu à des situations très drôle que l'on ne peut qu'apprécier avec pour terminer cette moralité : le véritable courage n'est pas de n'avoir jamais peur mais plutôt de savoir vaincre ses peur.
Le dessin est toujours aussi réussi que d'habitude ce qui amplifie le côté humoristique présent dans le scénario.