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Une suite correcte mais pas mémorable, mais correcte. La première partie, consacré à Aquaman, ne m'a pas emballé. Le récit n'a pas vraiment un suspense fou, surtout que si on a vu les films Aquaman. L'Atlandite qui veut attaquer la surface, mouais, une nouvelle guerre d'ampleur après Darkseid dans le tome précédent, mais en moins spectaculaire et prenant pour moi. Le second récit est plus intéressant, on découvre la Ligue de Justice d'Amérique dirigé en secret par Amanda Waller, et il y a beaucoup plus d'inconnus ici. Cela fait aussi une pose avec la Justice League tout court et donne envie de découvrir la suite, ce que la première moitié ne faisait pas vraiment (les histoires entre Trevor / Wonder Woman / Superman, mouais, j'accroche pas, je cherche pas du mélo romantique très moyen dans Justice League, il y a bien mieux en terme de drames personnels à creuser).
Le dessin quant à lui reste de très bonne qualité, même si ça baisse un peu par rapport au premier tome Nomad. Mais cela reste de bon niveau et ce n'est absolument pas ce qui baisse le niveau de ce second tome.
3/5 en étant un poil généreux, le dessin remontant la note du scénario qui serait sinon 2.5/5 + 3/5.
Le reboot de la Justice League regroupe deux récits (avec quelques bonus) dans ce premier tome chez Urban Comics Nomad. La formation de la ligue face à Darkseid est remplie d'action évidemment, avec des touches d'humour, pour un scénario globalement assez basique mais qui introduit bien les personnages. On retrouve d'ailleurs pas mal d'éléments repris dans le Justice League de Zack Snyder, le New 52 de DC Comics étant clairement une influence importante pour lui. Il est intéressant de voir que le film prend plus de temps à introduire les personnages que la BD. Tout reboot que soit ce récit, il considère que le lecteur connaît déjà les personnages (comme notamment Aquaman qui débarque assez brutalement). Mais ça se suit tout de même sans trop y connaître grand chose, avec un dessin vraiment plaisant, c'est coloré, tout le monde est très beau et très musclé, mais le spectacle est de qualité.
Le second récit est nettement moins bourrin, et commence à creuser un tout petit peu les personnages. Rien de trop profond, mais on évite la surenchère d'action.
Un bon premier tome donc, qui donne envie de voir l'évolution des suivants. Un 3/5 solide, ça penche vers le 3.25/3.5 ne serait que sur la qualité du dessin et la facilité à lire ce double tome avec deux styles de récit.
(avis sur le récit complet et pas seulement sur le premier tome)
Soyons clair dès le départ : je pense que c'est le premier Comics centré sur Green Lantern que je lis. On ne peut pas dire que j'étais attiré par le personnage et son univers, mais j'ai pourtant dévoré ce Blackest Night. C'est très violent, intense, épique, aussi noir que coloré, j'ai découvert tous les corps des Lanterns (sans pour autant que l'ensemble paraisse compliqué à suivre, même s'il me manque beaucoup de contexte). Je suis habituellement peu fan des récits à trop grand nombre de personnages et trop grandiloquent (fin de l'univers, destruction des mondes, tout ça tout ça), mais ici j'ai pourtant accroché. Cette histoire centrée autour des Black Lantern réussit bien l'équilibre entre les différents personnages principaux, mélange les genres avec un récit tout de même très noir et violent, mais contrebalancé par des petites touches d'humour et autres punchlines, tout en voyons très grand (origines de l'univers, destruction des mondes) mais aussi très intime. Les Black Lanterns ne sont pas que des zombies décérébrés mais au contraire attaque leurs cibles en utilisant leurs traumas.
Graphiquement, c'est également très réussi, l'alternance entre noirceur et couleurs vives fonctionne bien, de même que dessins en simple ou double page vs des zooms sur des plus petits détails. La cohérence de l'ensemble est aussi une force, les changements de dessinateurs peuvent parfois trop changé le style et donc l'ambiance. Mais ici ce n'est pas le cas et l'ensemble est vraiment riche et aussi intense graphiquement que ne l'est le récit.
Au chapitre des points moins positifs, Batman est mis en avant sur la couverture, mais au final joue un rôle assez succinct dans le récit. J'aurais pu citer la quantité énorme de dialogues pendant que les personnages se mettent très joyeusement sur la gueule, mais les dialogues ont du sens et évite la surenchère de bastons épiques muettes. Quant à la traduction, j'ai du mal avec le "AIIIIIEEEE" utilisé à chaque fois qu'un personnage se prend des coups capable de casser une planète en deux... Un bon vieux "AHHHHHH" aurait fait l'affaire. Ou bien si c'est de l'humour, l'effet comique est vite perdu avec la répétition.
Mais ce sont là des détails, ce Blackest Night est un excellent récit, qui fonctionne même avec un total ignare en Lantern comme moi. Les puristes auront peut-être plus à redire, mais en l'état, c'est un très solide 8/10 lorgnant vers le 9 pour moi.
Très bon album, un solide 3.5/5 lorgnant vers le 4. C'est très bien dessiné, scénario assez fun sur le Joker qui devient soudainement un bon samaritain, de l'action, de l'humour distillé à petite dose avec un fond tout de même sérieux et violent. Le cocktail prend bien ici, ce qui n'est pas forcément si évident, plus on ajoute de couches, plus l'équilibre est précaire. Ici ça se goupille bien et donne envie de lire la suite.
Le second tome du récit des Hiboux (voir mon avis plus complet sur le premier tome), complété par deux histoires courtes. La conclusion des Hiboux est excellente, entre une grosse montée en intensité au début de l'album, puis un enchaînement sur le verdict de l'enquête. Un très bon mix entre action et suspense, on veut toujours lire la suite sans jamais s'ennuyer.
On ajoute une histoire sur Alfred (toujours en lien avec les Hiboux, ça ajoute un peu de contexte) ainsi qu'une sur Mister Freeze (sans rapport cette fois, c'est du bonus dispensable même si joli graphiquement).
Excellent récit sur une nouvelle menace pour Batman. J'ai bien plus accroché à qu'à Sombre Reflet du même auteur. Le rythme et l'intensité du récit sont bien meilleur ici à mon sens, on ne s'ennuie jamais, tout s'enchaîne vite et alterne entre des phases plus enquête et d'autres bien plus orienté action. C'est du Batman très "classique" quelque part, le détective cherche à résoudre un mystère. Il manque sûrement un peu de profondeur au récit, un Batman moins "carré", plus torturé ou perfectible. Il se pose beaucoup de questions certes, mais il y a un manque de nuances qui ferait de ce récit un grand classique. Je fais un peu la fine bouche, car le reste est vraiment de qualité. Le dessin est excellent, la mise en page est de qualité, avec notamment le passage dans le labyrinthe où le sens se renverse progressivement. De plus, le récit est facile à attaquer sans être un expert de Batman. Oui il y a quelques personnages dans la "famille" de Batman (et pas juste le simple Batman / Robin / Alfred), mais il n'est pas nécessaire de bien les connaître pour profiter du récit. C'est un ticket d'entrée de qualité dans les Comics récents de Batman donc, sans tourner encore et toujours sur les mêmes adversaires.
Une réécriture des origines de Superman, débutant en Afrique alors qu'il a 25 ans. Un récit résolument moderne, agréable à suivre mais pas superficiel pour autant, drôle parfois sans être potache, le dessin est de bonne qualité, le rythme est bon sur plus de 300 pages. Ça n'en fera pas forcément un classique, il n'y a pas d'éléments forcément très originaux ici. On est plutôt sur le terrain du respect du personnage, sans verser sans le fan service trop facile ou partir dans tous les sens. Solide donc, un bon 3,5/5.
Un enchaînement de sept petites histoires de Clark enfant à sa révélation à Metropolis. Les styles et tons varient, c'est souvent drôle, parfois plus sérieux et même violent. J'aime rarement les changements de tons et de dessinateurs sur un même récit, mais ici l'enchaînement se fait bien, plus en mode mini histoire suivant un fil rouge que récit homogène. Certains clins d’œil sont assez drôles (Clark qui est confondu avec Bruce Wayne et débute sa carrière en utilisant la cape de Batman), le dessin est souvent de très bonne qualité et colle bien au ton de chaque histoire. Mention spéciale à l'histoire de la rencontre avec Batman, les derniers dessins sont splendides.
Cela ne fait pas de American Alien nécessairement un achat ou une lecture obligatoire, mais c'est une bonne lecture.
Magnifique. Le dessin est splendide, l'histoire sort des sentiers battus et les deux se marient parfaitement pour un récit très intimiste et réfléchi. Je n'ai pas d'affection particulière pour le personnage de Superman, trop fort et parfait le plus souvent. Il reste fort et parfait ici aussi quelque part, mais sans chercher le côté spectaculaire du super héros. L'approche beaucoup plus "humaine" et intimiste en fait la force, car tout extraordinaire que soit l'identité secrète en question, les questionnements de Clark parlent quelque part à toutes et à tous. Et soulignons à nouveau la qualité du dessin, c'est souvent sublime.
Homeworld fait partie des BDs qui partageront assurément de part leur style graphique. C'est très loin des styles habituels, et cela ne peut pas plaire à tout le monde. La façon dont les Predators sont dessinés les rends moins massifs, moins effrayants. Le style n'est pas réaliste du tout, la violence n'est pas choquante.
Mais le coeur du récit n'est pas là, et suit deux personnes interrogées sur leur rencontre avec plusieurs Predator. Pas tant d'action, ou en tout cas en alternance permanente avec les interrogatoires et le quetionnement des personnages. Personnellement, je suis très fan du récit, on sort des schémas souvent assez redondants de pas mal de BDs de l'univers Aliens/Predator.
Prey to Heavens fait partie du "reboot" de Dark Horse au début des années 2010, après environ 10 ans sans nouveaux récits. Plusieurs histoires des universe Alien / Predator & AvP s'intersectent dans ce reboot ambitieux. Ce n'était hélas pas le succès escompté, avec un dessin bien plus "pop" qu'auparavant, que j'appelle souvent "numérique". C'est propre, c'est coloré, c'est net et facile à lire. Mais cela manque aussi pas mal de caractère. L'histoire de ce Prey to Heavens est hélas du même acabit : c'est classique, convenu, efficace mais sans prendre aucun risque. Ça sent le blockbuster à la Hollywood dans ce qu'ils ont de pire.
Le segment AvP de ce reboot, Three World War, est mon plaisir coupable, j'ai beaucoup aimé les récits avec Machiko, et son retour dans un récit qui joue clairement à fond la carte du toujours plus (avec des Predators qui ont "dressé" des Aliens...) nous donne un blockbuster peu passionnant au niveau dramaturgie, mais au moins divertissant. La partie Alien n'était pas aussi fun, facile à lire mais pas marquant du tout.
Le segment Predator en question est le plus faible des trois. C'est convenu, avec des militaires face à des Predators, certes scindés en deux groupes opposés, mais sans que cette opposition soit vraiment utilisée ou assez creusée. Graphiquement, c'est propre et facile à lire, mais j'ai du mal à accrocher ou en tout cas. Le lieu, sur terre dans une ville en Afrique, l'époque, de nos jours visiblement, n'aident pas à donner de l'originalité à ce récit. Sans parler d'une conclusion qui manque cruellement de mordant, et qui ne donne même pas vraiment envie de lire la suite. Décevant, forcément. Surtout que dix ans auparavant, les comics Predator s'étaient achevés avec deux excellents récits, Hell Come A Walkin' & Homeworld. Certes, des récits qui partageront bien plus, mais qui avaient le mérite de tenter autre chose, dans un univers Predator Dark Horse qui est celui qui m'a semblé le moins convainquant des trois. Prey to Heavens est hélas un reboot très très consensuel et sans saveur.
Liens avec autres BDs : Nemesis (Londres colonial), une des "chasseuses" est la petite fille du personnage principal, et on retrouve l'indien. Tout le début est très classique, un commando très badass, la chasse au Predator qui se retourne évidemment contre eux. C'est un peu trop classique pendant quatre tomes sur cinq. Surtout que les personnages sont assez mono dimensionnels et un peu trop similaires. Tous forts, grands et beaux. Rien de vraiment passionnant ou attachant dans aucun d'entre eux.
Heureusement, ça bouge un peu plus sur le dernier tome et l'histoire se termine de manière plus intéressante. Ça ne fera pas de ce Hunter premier du nom un récit Predator très marquant pour autant, surtout que ça arrive vraiment très tard ! Graphiquement par contre, pour un récit récent au style très numérique, c'est tout de même très soigné et agréable, notamment en version électronique, où les contrastes et détails sont très appréciables. Donc plutôt haut du panier à ce niveau.
Récit simple, sans fioritures, très noir et désespéré. Il n'y a rien de fondamentalement nouveau dans Dust to Dust, la Weyland, une colonie, un "accident". Le récit prend le point de vue d'un enfant qui cherche à fuir la colonie avec sa mère. Si au niveau de l'histoire, on oubliera donc toute originalité, la qualité du dessin et la noirceur du récit mettent cette histoire assez courte (une centaine de pages) dans le haut du panier des récits Aliens de Dark Horse. Le style graphique très détaillé de Gabriel Hardman (également auteur du scénario) rappelle un peu Tristan Jones, un de mes dessinateurs préférés des BDs Aliens.
La nouvelle aventure du groupe de Hunters, cette fois en Afghanistan. Le Predator a un rôle encore moins important que dans le premier récit.
L'accent est beaucoup plus sur les personnages de l'équipe, mais sans qu'on cherche beaucoup à les creuser. Ne cherchez pas une histoire profonde ou originale ici. Il y a bien sûr la quête de rédemption du personnage de Swain et l'histoire de l'enfant. Pas de quoi gagner un prix du meilleur scénario, mais au moins l'histoire arrête de vouloir montrer les personnages comme une team de badass très cools.
Le dessin est vraiment détaillé et de qualité. Après une première histoire qui était déjà agréable graphiquement, je trouve que cela monte encore d'un cran. C'est le plus beau dessin de la série des Hunters pour moi.
C'est donc mitigé comme bilan, c'est très beau, mais n'apporte rien sur le Predator, c'est un récit d'action assez classique.
La nouvelle aventure du groupe de Hunters, cette fois en Afghanistan. Le Predator a un rôle encore moins important que dans le premier récit.
L'accent est beaucoup plus sur les personnages de l'équipe, mais sans qu'on cherche beaucoup à les creuser. Ne cherchez pas une histoire profonde ou originale ici. Il y a bien sûr la quête de rédemption du personnage de Swain et l'histoire de l'enfant. Pas de quoi gagner un prix du meilleur scénario, mais au moins l'histoire arrête de vouloir montrer les personnages comme une team de badass très cools.
Le dessin est vraiment détaillé et de qualité. Après une première histoire qui était déjà agréable graphiquement, je trouve que cela monte encore d'un cran. C'est le plus beau dessin de la série des Hunters pour moi.
C'est donc mitigé comme bilan, c'est très beau, mais n'apporte rien sur le Predator, c'est un récit d'action assez classique.
La nouvelle aventure du groupe de Hunters, cette fois en Afghanistan. Le Predator a un rôle encore moins important que dans le premier récit.
L'accent est beaucoup plus sur les personnages de l'équipe, mais sans qu'on cherche beaucoup à les creuser. Ne cherchez pas une histoire profonde ou originale ici. Il y a bien sûr la quête de rédemption du personnage de Swain et l'histoire de l'enfant. Pas de quoi gagner un prix du meilleur scénario, mais au moins l'histoire arrête de vouloir montrer les personnages comme une team de badass très cools.
Le dessin est vraiment détaillé et de qualité. Après une première histoire qui était déjà agréable graphiquement, je trouve que cela monte encore d'un cran. C'est le plus beau dessin de la série des Hunters pour moi.
C'est donc mitigé comme bilan, c'est très beau, mais n'apporte rien sur le Predator, c'est un récit d'action assez classique.
Attention, gros morceau. C'est dense, c'est serré, c'est torturé, je ne dirais pas difficile à lire, mais assurément pas un divertissement pour enfant qu'on lit vite en zig-zaguant entre les images. Mais c'est aussi et surtout une BD à lire et qui fait se poser des questions lors qu'on atteint sa conclusion. Oeuvre majeure, à n'en pas douter.
Graphiquement, top. Très sombre et de qualité. Au niveau du scénario, j'ai un peu plus de mal, je trouve qu'il y a un déséquilibre entre les différentes parties de l'histoire. Le récit suit principalement le "club" de vente d'objets saisis par la police, pour revenir au final au fils du commissaire Gordon. Le passage éclair du Joker me paraît superflu, alors qu'il apparaît sur la couverture de l'édition Nomad. La qualité du dessin en fait tout de même un bon album et on ne reboote pas qu'un énième méchant, il y a une vraie modernisation dans le scénario, l'intention est bonne. Mais du même scénariste (Scott Snyder), je trouve la Cour des Hiboux nettement plus réussi sur son rythme et la tension du récit.
Superbe couverture, mais dessin ensuite un peu trop "blockbuster" et coloré. L'histoire est assez fun, on retrouve Ripley version Ressurection & Call (Winona Rider dans le film), qui se retrouvent à combattre des terminators hybrides (mixé avec des bouts d'aliens...), avec l'aide de Predators. On retrouve même John Connor dans un passage ! Bref, c'est bien barré et du bon fan service. Il manque un style graphique plus sec, des Terminators hybrides plus impressionnants et un récit un peu plus développé pour en faire un vrai classique des BDs Aliens / Predators. Disons que pour les fans des franchises en question, c'est un mélange qui n'est pas le plus déconnant de tous. Plutôt fun donc, à défaut d'être vraiment marquant.
Probablement ma BD Aliens préférée. Defiance est une histoire assez simple, centrée sur ses personnages, peu nombreux. C'est une histoire de solitude et d'épreuves, qui ne cherche pas à répondre à trop de questions sur les origines de l'univers. On retrouve ici une ambiance bien plus proche d'Alien que d'Aliens, notamment via le dessin très réaliste et sombre de Tristan Jones. J'ai toujours un peu de mal avec les changements de dessinateurs, surtout sur une histoire unique comme Defiance. L'ensemble garde une cohérence, mais il est difficile d'abandonner les dessins très précis des débuts pour un trait moins fin sur la deuxième moitié.
C'est un des seuls reproches que je peux faire à ce récit un peu désespéré, avec une nouvelle héroïne féminine, Zula, qui ne rappelle pas vraiment Ripley. Il y a beaucoup de personnages féminins forts dans les récits de Dark Horse. La plupart sont intéressants et évitent de faire du fan service en nous servant une photocopie de Ripley. Zula en fait assurément partie, elle paraît moins forte que Ripley mais son combat permanent pour tenir le coup est prenant. Face à elle, un androïde qui veut devenir plus, passant du trait glacial de Tristan Jones au début à un personnage plus humain. C'est la même chose que pour Zula : des androïdes, il y en a dans tous les récits, mais Davis est ici aussi un personnage attachant.
Le cocktail Defiance est donc gagnant, avec une ambiance stressante, un dessin de très grande qualité, des personnages attachants, et un récit pas forcément très original, mais dramatique et pesant. C'est un peu long, mais la longueur vient justement renforcer le poids des épreuves qui pèse sur Zula.
Probablement ma BD Aliens préférée. Defiance est une histoire assez simple, centrée sur ses personnages, peu nombreux. C'est une histoire de solitude et d'épreuves, qui ne cherche pas à répondre à trop de questions sur les origines de l'univers. On retrouve ici une ambiance bien plus proche d'Alien que d'Aliens, notamment via le dessin très réaliste et sombre de Tristan Jones. J'ai toujours un peu de mal avec les changements de dessinateurs, surtout sur une histoire unique comme Defiance. L'ensemble garde une cohérence, mais il est difficile d'abandonner les dessins très précis des débuts pour un trait moins fin sur la deuxième moitié.
C'est un des seuls reproches que je peux faire à ce récit un peu désespéré, avec une nouvelle héroïne féminine, Zula, qui ne rappelle pas vraiment Ripley. Il y a beaucoup de personnages féminins forts dans les récits de Dark Horse. La plupart sont intéressants et évitent de faire du fan service en nous servant une photocopie de Ripley. Zula en fait assurément partie, elle paraît moins forte que Ripley mais son combat permanent pour tenir le coup est prenant. Face à elle, un androïde qui veut devenir plus, passant du trait glacial de Tristan Jones au début à un personnage plus humain. C'est la même chose que pour Zula : des androïdes, il y en a dans tous les récits, mais Davis est ici aussi un personnage attachant.
Le cocktail Defiance est donc gagnant, avec une ambiance stressante, un dessin de très grande qualité, des personnages attachants, et un récit pas forcément très original, mais dramatique et pesant. C'est un peu long, mais la longueur vient justement renforcer le poids des épreuves qui pèse sur Zula.