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Une purge. Le scénario pioche sans discernement dans tous les symboles de la série (la vraie, celle de Jacobs puis van Hamme): onde psychique, base secrète, rayon de la mort etc. Sans parler du pauvre Olrik qui replonge - avec une docilité qu'on ne soupçonnait pas - dans l'expérience maudite du vol de son cerveau. On a ainsi un peu de Marque jaune - sans le suspense jacobsien, un peu de Secret de l'espadon - sans espadon, un peu de Mystère de la grande pyramide, bref une suite d'avatars égrenés dans une narration qui part dans tous les sens et qui oublie l'essentiel: raconter une histoire. Et ce n'est pas l'appropriation de la jeunesse de nos 2 héros (on est en droit de se demander de quel ... droit) qui sauve le récit. Heureusement, il y a le dessin de Juillard
En confiant le scénario à Lewis Tronfheim, il fallait s'attendre à quelques bouleversements. L'histoire est un huis-clos, quasi unique dans la série (La peur au bout du fil). Spip ? absent. Le marsupilami ? ... gardons la surprise et lisez l'album. Il reste deux incontournables de la série: Fantasio un peu naïf dans sa course au scoop; et Sceccotine, toujours la parfaite emm... (mais qui a souvent raison). Le dessin est d'un très honnête classique. Et, ah: ne vous précipitez pas sur la dernière page.
Un petit bijou.
L'histoire: un duo improbable (on pense à des Tif & tondu naïfs) perdu dans le temps et l''espace à la recherche du Graal qui sauvera le monde: une source perdue au-delà du pôle sud. Le dessin est ligne claire post-moderne, le style de narration, totalement impromptu n'aurait pas été renié par Chaland lui-même (voir Adolfus Claar).
Et surtout, surtout, ne vous précipitez pas sur la dernière page ...
Autant on pouvait sauver les derniers épisodes (merci, Ferry) autant celui-ci est le banquet des erreurs. Scénario inexistant, honteusement recopié de 2 épisodes de Gosciny (inutile de préciser lesquels, n'est-ce pas), fin en queue de poisson et surtout une avalanche de hem calembours pénibles, enchaînés jusqu'à la nausée. Autant Gosciny était un maître en la matière, distillant ses gags avec parcimonie (1 voire 2 par album) mais innoubliables ('Cest un Alexandrin', 'Obélix sert un demi', 'Mes gaulois sont dans la pleine' etc) autant ici on a droit à de véritables crues du Nil (un fléau). Quant à la lourde, lourde scène du TGV qui s'étire sur plusieurs pages au cas où le lecteur n'aurait pas compris ...: vae victis !