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Raspoutine, d'Hugo Pratt en couverture ?
Hallucinant !
on ne me fera pas croire que cette ressemblance est fortuite...
Comment un éditeur peut-il laisser passer ça ?
Et quelle bonne idée d''avoir caricaturé les journalistes actuels , avec notamment Yves Calvi, Hervé Praud, Yann Barthez moustachu.....
Oui, c'est dur !
Oui, c'est éprouvant !
Oui, c'est la réalité, telle que l'a vécue la journaliste kurde qui raconte, au moyen de dessins, l'enfer de cette prison.
Sa démarche est la même que ce dessinateur anonyme à Auschwitz, qui a réussi malgré les tortionnaires nazis à dessiner et à faire passer des croquis eux aussi parfois insoutenables, délivrant ainsi un témoignage "visuel" de ce qui s'est passé. (Il n'existe que trois photos prises à Auschwitz, des clichés pris à la hâte (on comprend pourquoi), et donc très difficiles à exploiter...)
Il existe un carnet de ces dessins édités par le musée du camp.
Zehra Dogan raconte, en journaliste incarcérée qu'elle est.
Son témoignage est poignant, bouleversant.
Elle nous décrit l'indescriptible et tellement réelle situation de la prison N°5.
Ses dessins, imprimés sur un papier rappelant le kraft, sont autant de coups de poing en pleine figure.
Un livre indispensable !
Jacques Lamontagne a décidément un problème avec les chapeaux.
Sur les deux couvertures, les deux personnages ont un chapeau qui semble posé bien trop haut sur la tête...
Ou alors, ces deux-là ont délibérément choisi un couvre-chef trop petit...
On l'attendait de pied ferme !
Le résultat, exceptionnel, est à la hauteur de cette attente.
C'est magnifique, c'est grandiose, c'est fascinant.
Ce diptyque restera dans les annales de la bande dessinée.
Cet album est un manifeste et un éloge du boboïsme.
La première chose que le personnage fait, dans son jardin, est de détruire des plantes, des arbres, pour remettre des espèces plus à son goût.
Comme si la nature devait obéir à un "code de bonne conduite".
J'ai fait lire cet album à un jardinier seine-et-marnais professionnel, qui n'utilise aucun pesticide, aucun engrais, aucun produit pétro-chimique, et qui m'a confirmé cette caricature...
Excellent album. Ce premier tome donne vraiment envie de lire la suite !
Avec pourtant un énorme anachronisme, page 63.
En 1864, il est rigoureusement impossible qu'un projecteur de poursuite et son faisceau lumineux éclaire une cantatrice sur la scène de l'Opéra de Paris...
Il faut attendre l'incendie de 1887 pour que l'Opéra passe à l'électricité. Et même à cette époque, la poursuite n'existe pas.
Ceci n'enlève évidemment rien à la qualité de l'album.
Un chef d'œuvre, tout simplement.
Une mise en abyme incroyable et impitoyable de la guerre et de ses horreurs, avec la tragique condition féminine.
Le tout dans une maîtrise scénaristique et graphique magistrales !
IN-DIS-PEN-SA-BLE !
Il y a le fond, il y a la forme....
Le fond, c'est cette vie qui démarre sur la perte des êtres aimés, et qui continue, dans une saga magistrale.
Il y a la forme....
Quand le minimalisme devient maximaliste....
C'est une BD où le regard du lecteur est constamment mis à l'épreuve, où il faut mériter chaque pleine page dessinée....
C'est fort. C'est beau.
Un livre indispensable !
Le sujet délicat du suicide et de ses conséquences est abordé de façon délicate et intelligente.
J'ai été totalement séduit par le mécanisme narratif, qui pourtant démarre sur un parti-pris assez "casse gueule" : l'héroïne sera totalement nue durant la majeure partie de l'album.
Tout ceci fonctionne à la perfection, la nudité est bien vite oubliée, et nous suivons les aventures de Catalina avec beaucoup d'intérêt.