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Une bd en forme de cube très particulier, c'edt une sorte de jam session d'artiste qui se clash en développant de très courtes histoires.
Limite à 999 exemplaires uniques via un algorithmes faisant des dessins unique Actuellement en possession de deux cubes bleue, le n°428 que j'ai lu entièrement et le n°391.
Contrairement à son apparence sympa et gentille aux couleur bleue, blanc et rouges, les thèmes abordés sont très mâtures, on y évoque, le suicides, le sexe, l'incesme, la mort, la maladie mentale, la violence conjugal et domestique... Etc. J'en passes.
Cependant c'est abordé avec un humour très boire, très satyrique, absurde et drôle, malgres les thématiques, bd à ne pas mettre entre toute les mains et sensibilité, c'est ultra trash et c'est clairement voulu et sans limite, no censure.
C'est très underground comme approche, à la fois contemplatif, à la fois bizarre, à la fois absurde, à la fois différent et unique. Une expérience de lecture la plus déroutante, perturbante et drôle.
Hécatombes une société indépendante faisant de l'ultra expérimental nous offre peut être leur plus gros chef d'œuvre, et nous montre un univers barre invendable pour de grosse société comme delcourt ou d'autre. Un BD qui aurait pu et pourrait être ultra polémique en 2025 mais qui se fout littéralement de la bien pensance.
Des scènes explicites, des scènes grotesques, des délires chelou sous psychotropes s'enchaînent, on parle d'une séries de petites histoires parfois drôle, parfois macabre, parfois bizarre, parfois tellement abstrait qu'on en comprends rien ou pas grand chose, parfois avec du texte, parfois non, parfois l'Histoire c'est 3-4 pages, parfois c'est 10 pages.
Cette bd est lourdes en terme de contenue, on parles d'environs 90 histoires, pour environs 90 artistes, pour un totale d'environ 900 pages, il faut par contre adhérent à ce côté underground expérimental, étrange et bizarre, ce qui peut dérouter pas mal de personne, et c'est vraiment très spéciale.
Pour moi c'est une Masterclasse pour tous ceux recherchant de la bd expérimentale, différente et authentique qui se demarquera autant par son design, que par son style.
Narration décousu, destructuré, loufoque, c'est à la foie humour très noire, très absurdes, il faut pas chercher à comprendre le pourquoi du comment ou chercher à comprendre le sens de toutes choses, ici on participe à un question réponse de délire artistiques en tous genre, presque improvisé et relié et édité sur une bd cubique.
Lukasz Wojciechowski offre une bd assez complexe au final, courte mais complexe autant dans son message, que sa forme, que son histoire.
La bd raconte la banalité du quotidien d'une equipe d'architect dans un objectif commun celui de creer la nouvelle ville. Les anciennes villes ont ete detruit durant une guerre.
Le fait de ne pas indiquer ni quels guerre ni quels pays se deroule l'histoire permet au lecteur de s'approprier l'histoire d'un point de vue personnel, en gros de personnifier/personnaliser l'histoire, on peut penser a Paris avec les grande reconstructions post guerre, l'allemagne suite a sa destruction postguerre, aux pays de l'est comme la pologne avec la reconstruction sous l'ere communiste...
Cela peut etre tellement de pays tant la situation est finalement banal.
La force dans l'oeuvre "Ville Nouvelle" c'est qu'avec l'optimisme et l'ambition de creer la meilleur ville possible en terme de confort, de technologie, d'automatisation, on arrive finalement a creer une ville froide sans âme ou l'architecture sous couvert de modernisme meurt tranquillement.
L'architect au debut travaillait avec des stylo, crayon, regle, dessin a la mains et colorisation avec peinture, crayons de couleurs , ....etc.
L'architect commence par la suite a dessiner et developper ses plans avec l'ordinateur, donc on utilise l'automatisation des taches complexe a la machines.
Pour finir par l'apothéose, ou finalement l'architecture est entierement automatiser a travers l'ia et la machine, l'humain etait devenu remplaçable, et devenant remplacé par l'IA et les robots, les humains reparant et gerant les bugs, on y voit une mort de l'architecture aux sens propres comme philosophique.
On y evoque aussi alors au sens plus large, la mort de l'emploie dans le monde de la creation et creativite, chose ironique et assez drole quand on sait que la bd a ete developper sous logiciel artificiel CAD, donc sous la machine et non par la main.
Mais c'est ce qui fait le charme de Lukasj Wojciechowski, et notamment de ville nouvelle.
Je vous conseilles absolument, cependant quelques precautions : il est inscrit bd en couleurs, alors oui et non, ce n'est pas colorié ou en couleur au sens propre, en fat c'est tres minimaliste comme loin de paris mais les lignes sont beiges/dorees c'est tous simplement "monochrome beige/doree et blanc" d'ou le terme colorié
Deuxiement, et globalement la bd a assez peut de texte au final, bien moindre que loin de paris, et c'est a vous d'imaginez, de creer mentalement l'histoire a travers simplement cette base avec peu de texte et une direction artistique tres minimaliste, simpliste sous CAD.
Lukasj Wjociechowski nous presente une masterclasse selon moi mais pas adapter à tous, il faut etre assez ouvert d'esprit sur la bd dans le sens ouvrir l'esprit sur ce qu'on definit comme bd/roman graphique, car ici nous avons une bd/roman graphique extrement original et surtout experimental, cependant cette bd est moins marquante et moins emotionnellement forte que loins de paris mais on est dans deux style profondement different.
Soleil mécanique est une histoire se déroulant dans une ville Tchèque durant les années 1930-1950. On y poursuit l'histoire d'un architecte promouvant totalement et uniquement l'architecture moderniste, haussant et vouant une haine pour les architectures anciennes.
De base, cet architecte vouent une haine aux nazis, mais sa femme naïve ne voit pas Hitler comme une menace contrairement à notre architecte. Cependant la balance va changer quand les nazi vont lui offrir et parasiter le cerveau via la propagande et un médicament.
Vous vous en doutez bien, le médicament est le pervitin alias metamphetamine. En vérité l'architecte est drogué à son insu et manipuler par les nazis, sa femme deviendra aveugle suit à tous ceci. L'architecte devient fou, et collabore sous l'effet du pervitin, sa psyché se détruit, la drogue fait au fur et à mesure jusqu'à l'apothéose.
Voilà pour le résumer de l'histoire, maintenant l'œuvre est assez simple à comprendre et appréhender par rapport à d'autre comme ville nouvelle. Ici, nous avons une critique profonde de l'architecture moderniste et surtout de l'architecture nazi, qui est une architecture fonctionnelle basé sur la peur et la mort, et la folie humaine.
Comment est elle parodié, tous simplement par le fait que dans l'histoire cette architecture est développé sous la drogue : le "pervertin" qui rend l'architecte incompréhensible dans son délire, ambitieux jusqu'aux paroxysme de créer un amphithéâtre sous la forme d'une sphère chauffer par le corps des "ennemis" liée au four crematoire, pour illustrer la puissance du 3ieme appelé cela "le soleil mécanique" d'où le titre de la bd.
Cette sphère est même critiquer par un général nazi à cause du coût pendant la guerre et vu comme une trahison. Ce qui est un comble puisque censé être vu comme la gloire d'un troisième reich que lui même trouve le projet absurde et cher. Y a une sorte d'humour absurde noire subtile dans la situation. Ceci étant c'est une bd hyper intéressante et un peu psychotropique en même temps c'est ultra cohérent puisque l'esprit de l'architecte est sous l'emprise du "perverti".
La bd est coincé dans cette aspect psychotropique tous et nous bloque, nous lecteur dans la folie et l'idée, le paroxysme des idées architecturales d'un architectes fou. Quand on lit on a un peu l'impression d'être sous substance hallucinogène, comme si nous subissions nous même le pervertin, chose qui créer et influence notre expérience de lecture.
Avec sa direction artistique sous auto cas, je trouves que c'est extrêment calibré et surtout super beau paradoxalement du au fait que c'est ultra minimaliste. C'est aussi extrêment inventif comme direction artistique à mes yeux un coups de cœur, une pépite encore une fois, plongé sous la bd façon lukasz wojciechowski est une expérience magnifique et unique en son genre qui fera fortement appelle a votre imaginaire et aussi à vos émotions.
De plus l'immersion avec cette bd est étrangement énorme avec des images réels en noire et blanc servant d'illustre la narration, ce qui est très efficace, encore plus avec cette direction artistique.
Forbans est une bd déjanté, ou peut même en dire que c'est une bd sous cocaïne vu le rythme effreiner et sans aucune pause ou moment de repit, ça bombarde tous le temps, toujours, le tous saupoudré d'un humour loufoque absurde et idiot mais dans le meilleurs sens possible.
Forbans est une bd à la reliure suisse, ce qui en fait un bel objet globalement originale et un peu experimental, ceci étant on va parler de la direction artistique.
J'adores ce dessins très enfantins mais très identitaire et authentique, forban ! On reconnaît le dessin de loin, forban ! Ne peut être qu'assimiler à forban au vu de la prise de risque et de la grosse personnalité qu'offre la bd, elle arrive à développer sa propre identité visuel et même de sa reliure.
Chaque chapitre offre globalement une couleur assimiler par chapitre ou un dérivé de couleurs, ce qui donne un peu la sensation d'être dans une aventure un peu psychotropiques et sous influences de drogues, on passe d'un chapitre rouge, à bleue, à vert, sans vraiment logique, disons que c'est un nombreux délire artistique.
Forbans ! est une histoire de pirate aussi con que l'équipe des zinzins de l'espace ou qu'oggy et les cafards mais dans le délire pirates. C'est les pirate les plus débiles et les plus nuls qui puissent exister, de vrai looser stupide se prenant pour des supers intellos et c'est complètement voulu par les auteurs. Ces pirates interviennent pour empêcher le mariage d'Éric fils de barbe en tas.
Barbe en tas va tenté en vain de faire de son fils, un forbans et un pirate mais il va refusé et tous faire pour l'en empêcher, et suite à un incident détruisant le navire des dents d'la mer, et d'un navire ennemis les birdlandais. Ils vont alors devoir survivre sur l'île mystérieuse de gekoko à la recherche de la perle de gekoko, une perle devant les rendre riches sauf qu'il va se passe plein de choses bizarre et délirante sur cette île.
Forbans ! a cependant des défauts comme la lourdeur au niveau des blagues qui peuvent rendre la lecture lourdingue du à son rythme de blagues et de vannes sans aucun répit et moment de pause, ça débite de jeux de mots pourris ou de gag h24,
Le second défaut est le rythme qui est fatiguant, car c'est beaucoup trop rythme, pas de moment de pause, presque fatiguant.
En revanche, c'est un coups de cœur car c'est une bd qui fait du bien, qui détend et permet d'avoir un peu de douceur. C'est fun, pas prise de tête, et bien foutu, j'ai beaucoup aimé et touché par cette bd qui a du charme et qui est tres attachante malgrés ces défauts que je passes au dessus, c'est un super cadeau de Noël pour un fan de bd, ou une super bd pour ceux ayant l'intention de lire un truc plus joyeux, ça fait du bien d'avoir une pause notamment quand on lit des bd dure et brutale avec des thématiques lourdes, cette bd est un bon divertissement et de merveilleux gags, permettent un peu de douceur, une bd qui fait du bien en soit.
Je conseils fortement.
C'est une super bd/roman graphique, une histoire plutôt psychologique et voyage intérieur sur les souvenir d'un homme malade condamné par la maladie mais qui va vivre une vie imaginaire basé sur le voyage, c'est très contemplatif et le dessin est magnifique.
Les personnages sont plutôt attachant pour la plupart, mais globalement et cela c'est une super histoire, ce fut un coups de cœur,
Super histoire, super petite bd pas trop cher, et intéressant dans un bdtheque.
Je l'a trouves très attachante avec en prime quelques références littéraire comme
20 milles lieux au dessus du ciel de Jules Envers => 20 milles lieux sous la mer de jule vernes
Daudet et le moulin => Alphonse Daudet
Marcel => Marcel pagnol
Bémol deux fautes d'orthographes : oreinter à la place d'orienter, liverté a la place de liberté
Loin de Paris est une œuvre extrêment intimiste Et contrairement à l'avis du chroniqueur ayant passé complètement à côté de son sujet. Le. Côté personnel et très intimiste, c'est tous à fait le principe même de l'œuvre.
Ça ne cherche pas à embarquer le lecteur mais à témoigner aux lecteurs d'une époque certe révolue mais pas totalement désuet, il faut aussi derrière avoir une grille de lecture différente cette situation est encore actuel dans pas mal de pays, contexte historique différents.
On retrace cette jeune femme aimé de son marié mais qui se sent prisonnière de sa vie, à cause de son propre pays et des communistes de l'est.
Et qui n'a que pour s'évader de sa vie maurose du communisme polonais, les lettres de sa sœurs vivant à Paris, lui envoyant des ouvrages, des disques.
Pouvoir aussi ressentir du point de vue des habitants du blocs de l'est cette relation étrange presque bizarre d'avoir une mère en état de choque devant un vinyle en mode oh que c'edt beau,
C'est la que le bouquin nous rappelle par quelques petites finesses l'écart presque multidimensionnelle entre le blocs de l'ouest, et le bloc de l'est, comme deux monde parallèle qui se côtoies.
Chose qu'aujourd'hui on a plus tellement, et qu'on oublie trop souvent ça.
Le livre est aussi profondément triste dans son approche mais arrive avec certaines fulgurances à rendre le tous léger avec une finesses d'as l'écriture par certains trait humoristiques allegeant bien l'œuvre, ça rend plus de légèreté et c'est plutôt bien dosé.
Apres, la direction artistique est celons moi fabuleuse et une prise de risque assez phénoménal, et très atypique et expérimental dans un certains sens, c'est peut être un bon roman graphique qu'on pourrait lire en complément de la couleur des choses, flatland par exemple, dans cette continuité de roman graphique expérimentale ou délirante.