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On retrouve un scénario de meilleure qualité. L'Italie est divisée, et une sorte de secte conspire contre Venise, qui cherche à obtenir de l'or pour s'allier avec les turcs. Les dessins sont fins et précis, le rendu est superbe.
De ces 5 premiers tomes, celui ci est probablement le moins bon. Loin d'être mauvais, ce récit en Allemagne n'est pas vraiment passionnant, bien qu'il soit très fluide. D'autant plus que les scénarios de Chaillet sont généralement assez "lourds" en texte, ce qui n'aide pas vraiment... Le dessin et les décors sont un point fort indéniable de cette série.
Un bon album, auquel manquent probablement quelques éléments au scénario pour hisser ce tome un cran au dessus. Graphiquement rien à dire, c'est superbe.
La ville de Constantinople est assiégée par les gênois. Les vénitiens sont contraints d'envoyer un approvisionnement pour la ville... Un album avec une excellente immersion historique et un dessin toujours aussi réussi.
Le tribun Rienzo gagne en impopularité et un complot se trame pour le décredibiliser. Une très bonne BD historique, le personnage principal est plus développé que dans le tome précédent et le récit est très bien rythmé, hormis peut être la fin qui se conclue un peu trop rapidement. Le dessin est toujours aussi précis.
Premier album d'une série historique plutôt longue qui commence en Italie avec ce premier album, sur fond de propagation de la peste noire, où il sera notamment question de complots contre le pouvoir en place. Le récit est fluide et agrémenté d'une narration légère. Le dénouement des dernières planches est plutôt bien trouvé. Le dessin est fin, le rendu visuel avec les couleurs est très réussi.
Clap de fin pour l'adaptation BD de la compagnie des glaces. Ce quinzième tome n'offre pas une véritable conclusion, la série étant laissée à l'abandon. Les premiers albums étaient plutôt laborieux, mais la progression était en tout cas bien au rendez-vous au regard de la qualité de ceux qui ont suivi, et on était visiblement bien parti pour continuer sur cette lancée. Quel dommage ! Reste les romans de l'œuvre originale pour poursuivre cette aventure...
Peut être un cran en dessous des quelques derniers albums, mais ça reste excellent. Si on veut chercher les petits défauts, on peut relever le dessin peut être un peu moins régulier, et quelques passages qui auraient pu être mieux développés. Autrement, cet album révèle toute la noirceur et toute l'horreur de cet univers...
Le Gnome, désormais le Kid, se lance dans un projet fou à la tête de sa nouvelle compagnie. Lien Rag, toujours aux côtés de Lady Diana, est lui aussi à la tête d'un projet aussi pharamineux que controversé. Excellent, une fois terminé on a qu'une envie : lire la suite.
La compagnie des glaces continue d'épater avec ce douzième album, qui clôt le cycle du cabaret Miki. Lien va tenter de sauver Yeuse du train-bagne dans lequel elle est retenue, tandis que le Gnome assiste à la fin du Miki. On retrouve d'excellente idées, et le dessin est superbe. La couverture est splendide. Un deuxième cycle excellent, du début à la fin.
Première apparition de la si atypique Lady Diana. Lien Rag est exilé en Panamericaine où il espionne pour le compte de la zone occidentale. Il tente également d'obtenir des nouvelles du Miki et de son fils... Absolument passionnant, l'univers continue d'être développé avec succès.
Le cabaret Miki est tombé aux mains des sibériens, tandis que Lien Rag à été sauvé par Kurts le pirate. Le récit a totalement trouvé son rythme, c'est un vrai plaisir.
On aborde à nouveau dans cet album les rénovateur du soleil, des groupes d'individus qui tentent de faire revenir le soleil et provoquer ainsi la fin de la glaciation. On comprend que ces rénovateurs auront leur rôle à jouer parmi les intrigues de la série. Lien Rag, toujours contraint d'être plus ou moins caché, va rencontrer de sérieux ennuis. Une fois de plus, un superbe album.
Un album tourné autour du fils de Lien Rag et du cabaret Miki. On s'éloigne petit à petit du mystère des Roux et de leur origine pour se concentrer davantage sur les personnages. C'est tout aussi efficace. Une superbe lecture.
Lien est toujours désespérément à la recherche de Jdrou, tandis que Pietr ne pense qu'à se venger de sa femme. Le scénario reste assez fidèle à l'histoire originale. La différence avec les premiers albums est flagrante : c'est mieux en tout point. On a surtout des personnages qui sont bien plus cohérents et profonds. Le dessin est très réussi. Bref, vraiment excellent pour cette fin du premier cycle.
Lien Rag est désormais exilé et vit chez Pietr Hansen, pour qui il travaille dans une forêt sub-glacière. Les Roux sont chassés et exploités de toute part. Lien va se mettre à la poursuite de chasseurs qui auraient enlevés Jdrou... Un excellent album, où l'immersion dans l'univers de la Compagnie des Glaces est réussie.
C'est toujours très plaisant de lire une série qui se bonifie au fil des albums. C'est le cas ici, où on retrouve Lien Rag, Harl Mern et le lieutenant Skoll en train d'en découvrir beaucoup sur les Roux. Le scénario se renforce, le dessin aussi.
Enfin de véritables signes d'amélioration dans cette série ! Principalement autour du récit, beaucoup plus fluide et mieux construit. La lecture est par conséquent bien plus prenante. Même le dessin est sur la bonne voie et montre des progrès. En espérant que la suite se poursuive ainsi !
Floa Sadon est prise en otage par Kurts et son équipage. Lien va tenter de la sauver pour le gouverneur, en échange de renseignements inédits sur les Roux... L'histoire progresse bien et arrive à intéresser, mais rien de bien passionnant pour le moment. Ce n'est évidement pas le scénario qui est à remettre en cause, mais plutôt la manière dont le récit est amené.
Lien Rag commence à s'intéresser aux mystérieux Roux et à leurs origines. On retrouve dans cet album les mêmes défauts que dans le précédent : un rythme du récit largement perfectible et une qualité de dessin qui a du mal à convaincre, à l'exception de la couverture qui est splendide.
C'est un projet difficile que de s'attaquer à l'adaptation BD de la compagnie des glaces, une très longue série de romans SF débutée dans les années 1980. Mais après tout pourquoi pas ?
Ce premier album pose les bases de l'univers crée par G. J. Arnaud : la terre est recouverte de glaces, et c'est la suprématie du rail avec la toute puissance des compagnies ferroviaires. Il soulève également plusieurs mystères (les roux, la station F...). Sur le papier ça peut faire rêver, surtout quand on connaît l'étendue de l'œuvre originale. Mais ça s'avère globalement décevant pour cet album d'introduction : le dessin souffre d'irrégularités et est globalement assez moyen, (contrairement à la couverture qui est réussie) ; le récit manque de fluidité et de rythme par moment ; les personnages manquent de profondeur.
Un album qui conclut la série en beauté, de façon assez spectaculaire, et assez tragique il faut bien l'avouer. Les dernières planches, assez étonnantes, proposent une fin qui laisse volontiers place à l'interprétation. Et c'est plutôt normal, car la série n'est pas terminée : ces 14 tomes constituent le premier cycle de la série, les deux suivants ("The dark Tower : the Gunslinger" et "The Dark Tower : the Drawing of the Three") sont parus aux États-Unis entre 2010 et 2017. La traduction française n'a malheureusement pas suivie, et s'arrête à ce 14ème album, qui peut constituer une fin en soit. C'est dommage, quand on voit la qualité de l'univers, le rythme du récit et les graphismes qui retranscrivent à merveille ce monde bien étrange que celui des pistoleros. Heureusement, il reste la VO pour découvrir la suite ! C'est toujours mieux qu'une série purement et simplement à l'abandon...
Les années sont passées depuis la chute de Gilead et les quelques pistoleros restants vivent dans l'ombre. Le scénario, même si il surprend moins, continue d'être passionnant, et l'univers de la série s'enrichit également à travers ce saut dans le temps.
C'est l'affrontement de Gilead entre les pistoleros et les armées de Farson. On est un peu plus dans de la bataille pure et dure, mais ça reste évidemment excellent. C'est également le retour de la tour sombre, qui est au final assez peu évoquée depuis le début de la série.
À chaque album la situation se complexifie pour Gilead, où c'est désormais l'hécatombe. Mais le récit tient en haleine et l'aventure pour affronter John Farson continue. Les dessins sont à leur plus haut niveau. Bref, encore un épisode incontournable dans cette superbe série.
Le récit se poursuit, aussi dramatique soit-il, à l'image de la couverture de l'album très réussie. Aucune pitié pour nos héros qui sont malmenés à chaque album. Un scénario qui maintient sa qualité en offrant toujours de bons rebondissements, comme la scène de clôture de ce dixième tome.
Une première partie où on assiste à des événements passés mais perçus par Marten Largecape et son camp. Une seconde où Steven Deschain découvre les manigances de sa femme, et où Cort pense trouver un indice qui pourrait changer l'issue de la guerre contre Farson. Tout tourne de près ou de loin autour du Pomélo, objet magique aux nombreuses convoitises.
Absolument excellent. Le récit est d'une fluidité irréprochable, les personnages continuent d'être profonds et cohérents. Un superbe album.
La célébration des pistoleros commence à Gilead, tandis que les traitres au service de Farson commencent à faire surface. Un album bluffant où l'horreur est de retour, ainsi que de nombreux rebondissements pour servir un scénario toujours aussi passionnant.
Même si le récit est un peu plus lent depuis deux albums ça reste excellent, grâce à l'originalité de l'univers et surtout au dessin splendide auquel on a droit depuis le début de la série. Aussitôt terminé, on veut découvrir la suite !
Roland est de retour à Gilead. De nouveaux personnages font leur apparition, et les pères des jeunes pistoleros sont également de retour. Le récit ne faiblit pas et l'immersion dans ce monde autant mystérieux que dangereux reste réussie.
Encore du très bon pour ce 5ème album de "La tour sombre". Cuthbert et Alain tentent de venir en aide à Roland, sous l'emprise du pomélo de Maerlyn. On apprécie la place que commence à pendre Sheemie dans cette aventure. Les graphismes sont toujours aussi réussis.
Un album au récit passionnant, parfois effrayant, et superbement dessiné et mis en couleurs. Nos pistoleros sont en fuite et la partie semble loin d'être gagnée. On retrouve de bonnes idées pour enrichir le récit, rempli de mystère et parfaitement rythmé. Vraiment excellent.
La lutte continue entre les hommes de John Farson et les pistoleros. Ces albums ont quelque chose d'assez fascinant, tant dans le scénario que dans le dessin, où l'originalité de l'univers est de mise. Le récit est rythmé et captivant.
Le récit s'installe, on cerne mieux ces différents personnages, tout en étant très intrigué par l'univers proposé qui donne toujours envie d'en savoir un peu plus. L'aspect visuel est superbe, même avec peu de décors les ambiances sont parfaitement retranscrites.
Une introduction à un univers qui semble bien mystérieux et dont on ne sait encore que peu de choses. Malgré cela, une narration fluide nous guide afin de ne pas perdre le lecteur en cours de route. Le récit s'installe doucement, mais sûrement, et la suite semble prometteuse.
Dernier album d'une série qui s'est étalée sur plus de 30 ans. Les 15 premiers albums sont extras, et il est d'ailleurs préférable de s'arrêter au tome 15, qui offre une bonne fin. Quel dommage pour les albums suivants, où le scénario baissera en qualité jusqu'au dernier tome, et finira par s'essouffler complètement.
On suit dans cet album deux intrigues : Mahaut qui a une relation controversée à Crozenc, et Sigwald qui se retrouve au milieu d'un conflit entre deux familles. C'est vraiment ennuyeux, et même les dessins ont du mal à suivre.
Dernier album de Jessica Blandy ! C'est un peu mieux que le tome précédent, mais on reste tout de même assez proche de la moyenne. Une série qui n'est pas un incontournable mais qui contient de nombreux tomes qui méritent la lecture, dont une poignée vraiment réussis. On pourrait peut être regretter le manque de régularité dans la qualité du scénario, contrairement au dessin qui ne cessera pas de s'améliorer.
Depuis quelques tomes le scénario commence vraiment à tirer vers le bas. Ça manque de cohérence et ça frise parfois le "n'importe quoi", ce qui rend le récit pas vraiment passionnant.
Cet album est le premier tome d'un diptyque, qui prendra fin dans le dernier album de la série.
Un homme bien mystérieux abat des individus et semble disparaître de la mémoire de ceux qui croisent sont visage. Comme pour le précédent album, malgré un récit fluide avec un bon sens du suspens, on regrette l'absence d'éléments de réponse. Une lecture plutôt bonne.
Un véritable plaisir pour les yeux, tant pour les dessins que pour les couleurs. En revanche, en ce qui concerne le scénario, c'est décevant. Jessica et son copain flic vont enquêter sur une disparition assez étrange, qui semble liée à la disparition du père du flic en question. L'enquête en elle-même est plutôt bonne, avec une bonne dose de mystère. Après tout pourquoi pas, encore faut-il que le dénouement donne un minimum de cohérence et d'explications vis-à-vis de ces mystères. Ce n'est pas le cas pour cet album.
Un scénario qui a un peu de mal à décoller et qui est loin d'être le meilleur de la série. La relation Jessica/Robbie est intéressante. Pour le dessin et de la couleur, c'est absolument superbe !
Des meurtres en série dont les victimes sont toutes d'anciennes modèles d'un peintre. Un bon album, avec une intrigue qui manque peut être d'un peu de complexité. Superbe couverture.
Jessica est traquée après avoir rassemblé des informations compromettantes sur Robby, un flic "pourri" déjà aperçu de nombreuses fois dans divers albums de la série. Un récit dynamique, et très bien rythmé.
Un albim avec pas mal de références sur de précédentes aventures de Jessica, et où elle intègre un groupe pour suivre une sorte de thérapie assez particulière. Un récit bien mené mais qui n'arrive pas véritablement à surprendre le lecteur. C'est plaisant, mais pas beaucoup plus.
Un récit sur un prisonnier évadé, activement recherché, et qui ait l'objet d'un règlement de compte. Beaucoup de mystère, globalement un bon album sans être un indispensable de la série. Le dénouement est assez décevant.
Un récit plein de mystères dans une petite ville où il se passe des choses assez étranges... On apprécie comme d'habitudes les différents protagonistes qui ont chacun un rôle à jouer. Excellente lecture.
Je suis passé complètement à côté de cette histoire qui se déroule sur Cuba. Le récit n'est pas passionnant, et ne m'a pas semblé toujours très clair. Reste le superbe dessin de Renaud.
On retrouve Gus, avec qui Jessica était brouillée, au cœur d'un règlement de compte entre deux familles, et malheureux témoin du visage de Konobo, tueur qui ne laisse pas grand chose sur son passage. L'intrigue est bien menée, avec un dénouement réussi. On apprécie grandement les ambiances qu'on retrouve dans la plupart des albums de cette série.
Parmi les 12 premiers albums de la série, il s'agit incontestablement du meilleur. Une série de meurtres qui impactera directement Jessica... Un scénario parfaitement maîtrisé avec son lot de détails qui finissent par avoir leur importance. Le dessin est superbe.
Excellent album où on en apprend plus sur la vie personnelle de notre héroïne. L'intrigue repose sur l'éventuel rachat d'un cimetière par un homme d'affaire qui veut y construire des entrepôts, et le projet ne met évidemment pas tout le monde d'accord. Un récit très bien mené, où on pourra apprécier la diversité des personnages.
Une formidable aventure qui prend la forme d'une chasse au trésor passionnante, sans antagoniste, avec une bonne dose d'humour toujours merveilleusement dosée. C'est aussi la première apparition du professeur Tournesol, qui aura son rôle à jouer dans cet album.
Une formidable aventure, qui prendra fin dans l'album suivant, et où on a une première apparition du fameux château de Moulinsart et de Nestor. L'intrigue est passionnante du début à la fin.
Suite et fin du diptyque, avec un scénario qui oscille entre le bon et le "n'importe quoi", pour un résultat qui ne peut qu'être décevant.
Première partie d'un diptyque où Jessica et sur les traces de deux pasteurs qui seraient liés à des vagues de suicide. Il est préférable d'avoir lu le tome 3 "Le diable à l'aube" avant de lire cet album, qui a inexplicablement quelque chose d'assez fascinant.
Un récit bien rythmé avec la dose de suspens habituelle qu'on retrouve dans cette série, une bonne narration, et un dénouement réussi. On commence à apprécier les quelques personnages principaux de la série. Très bonne lecture.
Un album où Jessica se met à tuer..! Ses précédentes aventures au Mexique n'y sont peut être pas pour rien. Une intrigue plutôt simple mais très plaisante. La couverture est superbe.
Une bonne lecture, avec des passages parfois assez sordides il faut bien l'avouer. Le dessin est réussi. Il manque peut être au récit quelques éléments pour hisser cet album au niveau supérieur.
Un bon album sur une affaire de meurtres assez classique, du moins au premier abord. On pourra apprécier le trait fin de Renaud, et les ambiances bien retranscrites.
Mahaut, accusée de sorcellerie, est condamnée au bûcher. Sigwald va tout tenter pour s'adresser au roi et faire délivrer sa sœur. Globalement, c'est un peu mieux que les précédents tomes, ce qui n'est pas vraiment compliqué. On trouve un récit un peu plus construit, avec quelques bonnes idées. Mais on est encore bien bien loin d'avoir une bonne bande dessinée entre les mains..!
Un album du même niveau que les précédents, et qui souffre donc des mêmes défauts. Scénario faible, intrigues sans intérêt, personnages sans reliefs, dessins qui sont loin de ceux que nous avions pendant l'âge d'or de la série.
Légèrement mieux que le tome précédent, mais ça reste vraiment faible au niveau du scénario. L'intrigue est dénuée d'intérêt et la manière dont elle se termine (Aubert qui fait irruption d'on ne sait où pour sauver Sigwald) est à l'image des problèmes scénaristiques que la série rencontre depuis quelques tomes. Des personnages sans reliefs, des dialogues creux, des intrigues et des situations peu intéressantes ou peu crédibles.
La route entre Crozenc et le château de Cuzion est-elle si dangereuse qu'elle viendrait à bout d'Hughes et de Nolwenn ? Je ne comprends pas qu'on puisse donner une telle mort aux deux personnages les plus importants de la série. Le scénario est d'une platitude déconcertante. Mais où est passé l'esprit de cette série extraordinaire pendant 15 albums ? Et, le comble, le changement de format de l'album qui a des dimensions différentes de tous les précédents...
Sigwald va tout faire pour prouver l'innocence d'un homme rencontré par hasard alors qu'il allait être pendu. L'album prend la forme d'une enquête, où, aussi incroyable que ça puisse paraître, rétablir la vérité concernant cet inconnu va primer sur la recherche de Nolwenn qui est portée disparue..! C'est ennuyeux et sans grand intérêt.
Les albums se suivent et l'ennui se prolonge. La série manque vraiment d'un véritable scénario. Nolwenn n'est plus que l'ombre d'elle même ; on se débarrasse de Conan comme si c'était un figurant ; Sigwald est la définition même du héros pour lequel on éprouve aucune ampathie. Cette intrigue de complot contre le roi sonne creux. Même les dessins sont en baisse. Bref, il n'y a plus grand chose qui va !
Après Mahaut dans le tome 20, Sigwald dans le tome 21, c'est au tour du père d'être délivré dans ce 22ème album. Une intrigue qui commence un peu à tourner en rond et qui manque cruellement de profondeur. Même le final avec Al Mansour laisse indifférent..!
Alors qu'on se demande encore comment Al Mansour a pu échapper à Hugues de Crozenc dans le tome précédent, Sigwald, qui s'est lancé à sa poursuite entre temps, termine captif des armées du roi en plein siège du château de Noirlac, aux mains d'un seigneur illégitime. L'intrigue n'est pas convaincante, et globalement plutôt ennuyeuse. Certaines scènes sont mêmes étonnamment ridicules... La colorisation est également moins bonne. Les dessins restent plutôt bons.
Mahaut est enlevée par de mystérieux cavaliers, Hughes et Sigwald de son côté vont tout faire pour la retrouver. C'est divertissant, mais ça ne va pas tellement plus loin. Sinon, la couverture est superbe.
Le jugement de Sigwald qui est le sujet d'une bonne partie de l'album est plus ennuyeux qu'autre chose. Seul le récit d'Hughes sur sa captivité est intéressant, dommage qu'il soit simplement narré, et non l'objet d'un propre cycle par exemple. On se demande d'ailleurs toujours comment Hughes peut, tout d'abord survivre à sa chute, et ensuite mettre plus de dix ans avant de donner signe de vie. Les albums suivants donneront peut être davantage d'éléments de réponse. Bref, un album plutôt moyen, sans être véritablement mauvais pour autant.
En soit un bon album, mais qui déçoit forcément un peu en comparaison de ce qu'on a pu voir précédemment dans la série. Le scénario manque de profondeur, les couleurs sont moins bonnes. La fin de l'album laisse place à un grand suspens, à voir les explications qui sont données dans les albums suivants, mais on est pas loin de l'absurdité. Le cadre historique et les ambiances font tout de même de cet album une lecture plaisante. A préciser tout de même, la mort à la fin du tome précédent d'un des antagonistes les plus importants de la série, à savoir Ravenaud, sans la moindre information ni explication..!
Sigwald est envoyé à Angoulême pour devenir chevalier. Mahaut est capturée par Ravenaud et ses bandits alors qu'elle se rendait à l'abbaye de Fontgombault. Un bon album, on commence malgré tout à s'éloigner des intrigues qui ont fait la réussite de la série. C'est moins profond, et par conséquent moins passionnant.
Cet album marqué le début d'un nouveau cycle qui se déroule dix ans après le cycle précédent en Terre Sainte. Sigwald et Mahaut, les deux enfants d'Hughes, se livrent un combat sans merci. En parallèle, un mystérieux individu déclenche des feux dans des champs de la région. Si les deux enfants en eux-mêmes ne sont pas vraiment attachants, la lutte autour du trône de Crozenc, où Nolwenn joue un rôle important, continue d'animer l'intérêt pour cette série. Les dessins sont superbes.
Lusignan est mort. Son bâtard Geoffroy va tout faire pour éliminer Hughes. Les croisés prennent Damiette, laissée à l'abandon.
Une fin de cycle absolument tragique pour la plupart de nos héros, qui semble marquer un véritable tournant dans la série. Un album cruel, où les coups bas et les trahisons sont de vigueur. C'est impressionnant de réussir à maintenir une telle qualité au bout de 15 albums !
Nouveau changement d'auteur dans cette série : Arnoux remplace Kraehn au scénario et s'en sort très bien. Al Mansour s'est échappé, et les croisés vont voguer vers Damiette. Hugues est opposé à Robert le frère du roi et à Lusignan, qui vouent une certaine haine et jalousie envers le seigneur de Crozenc. Les dernières planches laissent place à un grand suspens pour la suite. Excellent, comme d'habitude.
Hughes va se retrouver une fois de plus dans une situation bien compliquée, accusé à tort d'un meurtre. Entre mensonges et ambitions personnelles, faire rétablir la vérité ne sera pas simple. Toujours aussi prenant, toujours aussi passionnant. La couverture est magnifique !
Hugues est arrivé en Terre Sainte aux côtés du roi et d'Henri de Lusignan, qui ne le porte pas dans son cœur. On fait la connaissance de plusieurs nouveaux personnages qui auront, on l'imagine bien, des rôles important à jouer dans ce cycle. Encore un album de très bonne qualité tant sur le scénario que sur le dessin.
Une histoire complète à propos d'un mystérieux loup qui terrorise Crozenc. L'album est très bon, mais comparé aux récits des précédents albums, l'intrigue est peut être moins intéressante. On devine vers où va nous emmener le prochain cycle...
Fin du 3ème cycle, et fin de manière générale sur l'intrigue de l'héritier de Crozenc, initiée dès le premier album de la série. Hugues va se retrouver dans des situations plus que compliquées et va devoir tout mettre en œuvre pour éviter que Ravenaud et Roger l'accusent d'imposture a Poitiers. Le récit est comme d'habitude très bien mené : c'est excellent.
L'histoire se poursuit d'une façon remarquable, des alliances sont faites et sont défaites tout aussi rapidement, les rebondissements sont nombreux. On reconnaît bien là tout le talent de Kraehn au scénario qui arrive à maintenir les différentes intrigues à un très haut niveau. Les personnages principaux, et les conflits qui les opposent, continuent d'être le gros point fort de la série. Les dessins sont toujours aussi réussis.
La série se poursuit sur sa superbe lancée. Hugues va tenter de reconquérir Cuzion, où Ravenaud a fait son retour. Depuis le début de la série, les personnages sont très bien développés (Alix, Hugues, Nolwenn, Ravenaud, Enguerran etc.) ce qui renforce le scénario et la qualité de lecture. Les dessins sont superbes.
Excellent album aux dessins et aux couleurs superbes. Hughes va tenter de libérer Alix de son donjon. On a également droit à la véritable trahison de Ravenaud et quelques révélations. La fin de l'album est déchirante..! Un scénario complètement maîtrisé.
Alix, dont on a eu aucune nouvelle dans les deux tomes précédents, est retenue captive par son oncle qui va tendre un piège à Hugues. C'est le début de la rivalité entre Alix et Nolwenn. Le véritable visage de Ravenaud est révélé. Entre complots et quête du pouvoir de Crozenc, le récit est toujours aussi bien mené. Les dessins sont réussis.
Fin du cycle de Saint-Malo, le deuxième de la série. Pierret prend en charge le dessin en cours d'album, la transition est réussie. Le récit est parfaitement ficelé, l'histoire passionnante. Le personnage de Nolwenn est particulièrement intéressant.
Hugues et Sigwald, qui ont quitté Crozenc pour se rendre au Mont Saint-Michel, sont pris dans une tempête alors qu'il sont à bord d'une nef direction Saint-Malo. L'embarcation va se fracasser sur des rochers, et nos héros vont être fait prisonniers par des naufrageurs. Le récit est toujours excellent et ce second cycle s'annonce très bon. Les quelques notes historiques sont très appréciables. Kraehn prend la suite au scénario, après le départ de Pellerin.
Un nouvel album passionnant qui conclut ce premier cycle sans faiblir. Hughes est en phase de guérison à Fontgombault, tandis que Lusignan et ses alliés sont en marche pour affronter le roi et son frère Alphonse. La relation qui lie Hughes à Sigwald est un des points majeurs de ce premier cycle. Le récit est maîtrisé et très prenant. Vraiment excellent !
Enguerran est à la recherche d'Hughes qui s'est échappé du puits des fous, et de Sigwald qui a disparu. Alix prépare un voyage pour rejoindre l'épouse d'Alphonse à Poitiers. Un scénario brillamment ficelé, et un final riche en révélations. Du même niveau que le premier tome, à savoir le top de la BD historique !
Un sans faute pour ce premier album des Aigles Décapitées ! Complots, luttes de pouvoirs, trahisons... Tout y est, dans un cadre historique merveilleusement retranscrit. Par ailleurs la multiplicité des personnages renforce considérablement l'intrigue, sans l'allourdir. C'est passionnant et sans le moindre temps mort. Indispensable !
Excellent album, dont une grande partie se déroule dans les Everglades. On retrouve Jessica en mauvaise posture dès le début de l'album. Le récit tiendra en haleine jusqu'à la fin. Les dessins de Renaud sont superbes, principalement les décors et les environnements.
Un bon album, suite directe et fin de l'histoire initiée dans le premier tome. Le mystère qui résidait derrière "Enola Gay" est dévoilé. La lecture est fluide et plaisante, mais l'album n'a pas grand chose d'exceptionnel ; le scénario reste assez classique et a du mal à surprendre.
Pour ce premier album, l'histoire s'installe progressivement et on la suit avec grand intérêt. C'est du policier assez classique où les informations ne sont distribuées qu'à petites doses, et même en clôturant l'album on peut encore se demander de quoi il s'agit lorsque le tueur fait référence à "Enola Gay". Un récit qui tient en haleine donc, et qui est très fluide. Le dessin est bon, la couleur pourrait être meilleure.
Trentième et dernier album d'une série qui s'est étalée sur près de 40 ans ! L'âge d'or de la série est désormais passé depuis quelques tomes, mais on retrouve dans ce
n°30 quelques gags qui font bien sourire.
Une série avec un humour intelligent qui a su plutôt bien se renouveler au fil de tous ces albums, qui sont pour une grande partie vraiment excellents !
Du mieux dans ce sixième volume, on retrouve un récit plus fluide, mieux construit et plus intéressant. Il faut préciser également que les graphismes sont très réussis et restent un point fort de la série. "Extinctions" devait initialement être en 3 actes. Finalement le 3ème acte (qui aurait dû être le septième et dernier tome de la série) ne sortira pas, la faute à un nombre de ventes insuffisant. Ce 6ème tome se termine donc pas une fin qui n'en est pas véritablement une.
Au fil des albums, l'univers de la série s'est un peu éloigné de son idée originale (un train qu'on ne peut arrêter, la lutte des classes à bord etc). Il y aurait, en tout cas, matière à continuer de le développer...
Ce 5ème album est concentré sur la montée de groupes terroristes-écolos, ainsi que sur le créateur du Transperceneige. Il se déroule donc avant le premier tome de la série. Un album dans la moyenne, globalement décevant quand on voit le potentiel qu'a cet univers. Le récit manque d'originalité et contient son lot d'événements assez absurdes.
Quinze ans après le tome 3 paraît ce tome 4, qui en est la suite directe. Rochette nous propose des planches bien sombres, avec quelques légères pointes de couleurs, et c'est bien ça la grande force de cet album. Le récit nous livre parfois d'excellentes idées, mais également des choses plus surprenantes ou qui peuvent sembler incohérentes. Dans tous les cas, les ambiances post-apocalyptiques sublimées par Rochette réussissent à captiver l'attention, et le suspens omniprésent du récit tiendra en haleine jusqu'aux dernières planches.
Un album autour de la moyenne, suite directe du tome 2, et également le moins bon volume de la série parmi ces 3 premiers tomes. Le récit s'essouffle au fil des planches, et les ambiances retranscrites n'ont pas l'effet escompté. De plus, le dessin n'aide pas toujours à comprendre ce qui est représenté et gagnerait à être plus lisible.
Cette suite paraît 15 ans après le premier tome, qui était à lui seul une histoire complète. Il faut croire qu'il restait des choses à dire sur cet univers glacé pour relancer cette série.
Cette suite est bonne, sans être exceptionnelle, et n'atteint évidement pas le niveau de l'histoire originale. Rochette est toujours au dessin, mais le style est complètement différent ; cela reste réussi. Le récit me semble un peu faible : les personnages laissent plutôt indifférent ce qui n'est jamais très bon signe, et ce qui semblait important dans le premier opus (comme la vie dans le train et les différences entre les wagons de tête et de queue) passe au second plan pour laisser place à une histoire moins prenante.
Le transperceneige est un train traversant des étendues glacées sans interruption, avec à son bord ce qui reste de l'humanité. Le début de l'album contient quelques longueurs, mais on se retrouve finalement embarqué dans une histoire passionnante et assez sombre. Le dessin retranscrit très bien cette ambiance froide qui semble omniprésente. Un récit qui plaira à tout amateur d'anticipation.
Une œuvre dérangente sur tous les aspects : scénario, dessins, et couleurs. Rares sont les BD qui arrivent à susciter à ce point ce genre de sensations. Difficile de s'interrompre avant d'avoir terminé tellement l'album est prenant! Une histoire à la frontière entre le réel et l'irréel où l'originalité est de mise.
Nous retrouvons Marc Dacier pour la 3ème et dernière partie de son tour du monde, qui se déroule aux États-Unis. Marc, parfait sosie d'un terrible gangster qui doit être mis en sécurité pour faire des révélations, va se faire passer pour ce dernier.
Enfin on retrouve un véritable scénario comme Charlier a l'habitude de nous en livrer ! Le récit est très bien construit et les rebondissements sont nombreux, aucun temps mort du début à la fin. Une amélioration indéniable par rapport aux deux premiers tomes. Excellente lecture !
Les aventures de Marc se poursuivent, dans le même genre que pour le premier album, et donc avec les mêmes défauts. La lecture reste plaisante.