Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2025 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 10/11/2025 à 23:13:51 en 0.1559 sec
Quand les petits démons inconscients deviennent réels et tentent de prendre le contrôle du monde… Voilà où se retrouve plongé notre héros, bien malgré lui, dans un univers peuplé de mecs célibataires en quête de conquêtes, de musique, de bières et d’une vie sans véritable but — jusqu’au jour où les obsessions de certains deviennent la réalité de tous.
C’est franchement bien écrit, fluide et souvent drôle. J’ai beaucoup aimé le style graphique : les traits acérés des personnages, la palette de couleurs percutante. Ce livre est un véritable ovni, et j’apprécie toujours de le relire.
Stéphanie, la petite duchesse qui clôture cette série de trois albums après Nathalie et Magalie. Cet album est beaucoup plus sage que les deux autres et aurait plutôt du s'appeler Linda !
L’histoire du XIXᵉ siècle revisitée à travers un superbe mélange de personnages réels et fictifs — Gavroche, Hugo, Napoléon III, Jules Verne, le fantôme de Paris… C’est remarquablement bien imaginé ! J’ai adoré cet univers où la révolution industrielle a vu naître d’immenses machines à vapeur de toutes sortes : on a vraiment l’impression de lire du Jules Verne.
L’aventure, le rythme et le découpage sont parfaitement maîtrisés, les transitions entre les scènes sont fluides, et les dessins… chapeau ! Il faut une sacrée dose d’imagination pour concevoir tous ces véhicules et accessoires.
Je commente ici surtout les deux premiers cycles, indispensables à toute bonne collection. En revanche, le troisième m’a un peu moins convaincu : une baisse d’intensité dans la narration, et peut-être aussi l’effet de surprise en moins.
Zep se lâche ! Les albums Happy Sex et Happy Girls sont vraiment très drôles, pleins de comiques de situation bien trouvés. Évidemment, certains gags font simplement sourire, mais d’autres m’ont fait éclater de rire !
En revanche, j’ai été beaucoup moins emballé par Happy Rock : on sent que Zep y raconte son vécu d’amateur de concerts, ce qui donne un ton très différent des trois autres albums.
A conserver bien au chaud dans sa bibliothèque… mais hors de portée des plus jeunes !
Une histoire intéressante où anciennes et nouvelles croyances s’affrontent à l’époque de Charlemagne. Ce dernier fait partie des protagonistes principaux, aux côtés des Vikings, des Saxons et des Francs, qui s’opposent ou s’allient selon les intérêts de chacun.
L’ensemble est bien écrit et bien rythmé.
Côté graphique, j’ai aimé les dessins, même si les personnages se ressemblent beaucoup, notamment parmi les Vikings.
J’ai tout d’abord acheté cet album car j'aime particulièrement le style graphique de Cyril Bonin, ainsi que de ses talents de scénariste.
L’homme qui n’existait pas surprend par sa narration : il n’y a ni gentils ni méchants, ni action à proprement parler. Il s’agit plutôt d’une tranche de vie où des personnages, isolés et en quête de sens, se détachent peu à peu de leur réalité jusqu’à ne plus pouvoir y accéder.
Une belle fable, où l’on tourne les pages les unes après les autres en se demandant comment nos deux célibataires vont s’en sortir, peut-être tout simplement en fusionnant leurs réalités.
Une lecture très agréable et empreinte de délicatesse.
Halloween Blues est, pour ma part, ce que je qualifierais de BD culte. Un scénario policier extrêmement bien construit, qui tient le lecteur en haleine jusqu’aux dernières pages.
Le dessin est magnifique et retranscrit à merveille l’ambiance des polars holywwodiens des années 50. Il est vrai que les “actrices” sont toutes superbes, mais les voitures, les rues et les bâtiments sont eux aussi incroyablement bien rendus.
C’est une BD dont je ne me lasse absolument pas — je la relis toujours avec le même plaisir. Une œuvre incontournable pour tous les amateurs d’ambiances polar et hollywoodiennes des années 50.
Un grand bravo aux auteurs pour ce polyptique pour lequel d'autres histoires ne m'auraient pas déplu.
Quel scénario ! On sent bien qu’il a influencé de nombreux auteurs par la suite. Pour une œuvre écrite dans les années 1980, le récit est incroyablement réfléchi, notamment dans sa façon d’aborder les voyages interstellaires et leurs conséquences sur les voyageurs comme sur la guerre elle-même — au point que les belligérants ne savent même plus qui a réellement déclenché le conflit.
Et malgré cette histoire se déroulant sur des siècles, une histoire d’amour naît, apportant une dimension humaine et touchante à cette fresque de science-fiction.
Les dessins, d’un style “vieille école”, conservent tout leur charme. Franchement, j’ai adoré ! Je les trouve même précurseurs dans la représentation graphique des vaisseaux.
Mis à part quelques dates désormais trop proches quand on la lit en 2025, cette bande dessinée n’a pas pris une ride.
Une œuvre qui mérite de figurer dans la bibliothèque de tout amateur de science-fiction.
Une belle histoire d’héroïque fantaisie qu'il m’est cependant difficile de considérer comme une œuvre exceptionnelle tant elle s’inspire des grands classiques — Tolkien, Kubrick, la Bible et bien d’autres.
Cela dit, c’est très bien écrit et j’ai vraiment apprécié la lecture.
Le dessin est magnifique, avec des cadrages superbement pensés. J’adore tout particulièrement les premières doubles pages présentant les protagonistes.
Que c’est beau !
Les dessins sont absolument remarquables : les angles et les « prises de vue » sont époustouflants, et le réalisme des avions est incroyable. C’est magnifiquement réalisé — un grand bravo au dessinateur !
Le scénario est plein de surprises. Je ne connaissais pas l’histoire de ces sorcières de la nuit russes, qui ont réellement existé. J’ai vraiment beaucoup aimé ce récit, qui met en scène la rencontre de deux personnes destinées à se haïr, mais qui s’avèrent, au fond, deux âmes sœurs, liées par leur vécu et leurs choix de vie. Super scénario.
Une très belle œuvre, à garder précieusement dans sa bibliothèque.
Bravo aux auteurs ! Le scénario est extrêmement bien pensé : nous avons ici une nouvelle histoire de Goldorak que l’on pourrait intituler « Que sont-ils devenus ? ». C’est vraiment bien fait et bien écrit.
On entre immédiatement dans l’histoire, dans un monde où, finalement, le temps semble avoir eu moins de prise sur les personnages que sur les lecteurs :-). C’est un vrai plaisir de retrouver les personnages, les navettes et le centre.
Les dessins sont tout simplement gigantesques : Goldorak n’a jamais paru aussi grand, imposant et impressionnant !
Malgré sa taille et sa puissance, il montre aussi des faiblesses, mais comme le héros de notre enfance, il finit toujours par triompher. Trop top !
On se dit qu’après la lecture, on va se refaire tous les épisodes de Goldorak. Mais finalement, les yeux d’enfants ne sont plus ceux d’aujourd’hui, et comme nous, on s’aperçoit qu’ils ont un peu vieilli.
On aimerait vraiment découvrir une nouvelle histoire tout aussi créative et bien imaginée
De belles aventures dans le “Far West”, sur fond d’une montre en or qui passe de main en main au fil des années.
L’idée est excellente, même si l’enchaînement entre certaines histoires peut parfois sembler un peu confus. Le style graphique, propre à chaque dessinateur, ne facilite pas toujours une première lecture fluide.
Un bon livre au final !
Les scénarios sont très bien ficelés — du moins pour l’époque, j’imagine. Bien que Gil Jourdan soit considéré comme une BD culte par de nombreux lecteurs, j’ai néanmoins trouvé certaines histoires interminables et parfois un peu ennuyeuses. Bref, difficile d’accrocher ; peut-être est-ce dû au style d’écriture, avec des jeux de mots très présents qui n’ont pas forcément bien vieilli.
Les dessins, quant à eux, sont magnifiques. Les véhicules, en particulier, sont superbement rendus, même s’ils tranchent peut-être un peu avec le style des personnages, un peu “à la Peyo”, dans les premiers albums. Ces derniers gagnent d’ailleurs en finesse au fil du temps, et c’est bien mieux ainsi.
Très belles intégrales Dupuis!
Les scénarios sont très bien ficelés — du moins pour l’époque, j’imagine. Bien que Gil Jourdan soit considéré comme une BD culte par de nombreux lecteurs, j’ai néanmoins trouvé certaines histoires interminables et parfois un peu ennuyeuses. Bref, difficile d’accrocher ; peut-être est-ce dû au style d’écriture, avec des jeux de mots très présents qui n’ont pas forcément bien vieilli.
Les dessins, quant à eux, sont magnifiques. Les véhicules, en particulier, sont superbement rendus, même s’ils tranchent peut-être un peu avec le style des personnages, un peu “à la Peyo”, dans les premiers albums. Ces derniers gagnent d’ailleurs en finesse au fil du temps, et c’est bien mieux ainsi.
Quelle série ! Bravo pour ce scénario d’une grande finesse, qui hisse cette œuvre parmi celles qu’il faut absolument posséder dans sa bibliothèque. C’est à la fois drôle et frais.
L’idéalisme – puis la déconvenue – de cette grenouille face aux êtres humains est particulièrement bien pensé et plein d’humour.
J’ai adoré l’inversion des rôles prince–grenouille entre le cycle 1 et le cycle 2. Finalement, l’un comme l’autre existent bel et bien.
Le dessin est superbe : les traits des personnages, qu’ils soient animaliers ou humains, et le soin apporté aux détails sur chaque planche sont magiques !
À lire et à relire, je ne m’en lasse pas. Bravo aux auteurs !
Toujours dans l’univers de Grandville, un préquel aux aventures de Lebrock à travers son mentor, dans une Angleterre bientôt indépendante de l’Empire français. Le style diffère de celui de Grandville, mais j’ai été captivé de bout en bout. Une mention très bien pour la qualité de l’ouvrage en lui-même. Bravo à l’éditeur !
J’ai eu du mal à accrocher aux personnages et au scénario de manière générale. Certaines explications sont vraiment longues, et la surenchère de monstres marins devient un peu lassante.
Les dessins, en revanche, sont réussis.
Dans cette suite de Valhalla Hotel, les dessins sont toujours aussi sublimes. Le scénario, qui était un peu trop linéaire et moins drôle dans le premier tome, reprend du poil de la bête dans le second. L’ensemble est vraiment bien réalisé, avec des cadrages et des plans incroyables. Bravo !
J'adore Tyler Cross !. Il faut reconnaître que le dessin m’a surpris au début, mais après quelques pages, j’ai trouvé cet univers graphique incroyable. La découpe en strips, les cadrages, les personnages aux traits épurés mais finalement très expressifs… franchement, tout est génial. Les couleurs sont superbes.
Le scénario du premier tome est excellent. J’aime beaucoup cette découpe en chapitres : c’est très bien vu. En revanche, j’ai parfois été un peu perdu dans la temporalité des événements, particulièrement dans le tome 3 où j’ai dû revenir en arrière pour bien comprendre. Ce n’est qu’un petit détail.
Dommage que la gent féminine ne joue pas de chance aux côtés de Tyler Cross et fasse souvent partie des dommages collatéraux. J’aimerais bien en voir une vraiment badass dans les prochaines histoires !
Les dessins de Christophe Bec sont toujours exceptionnels, d’un réalisme rare — je suis fan. À partir du tome 3/4, il passe le relais au dessinateur Raffaele. Le style est différent, mais reste très réussi.
Le scénario est vraiment captivant, avec des catastrophes toutes plus incroyables les unes que les autres, se déroulant simultanément aux quatre coins du globe. On y ressent clairement l’influence des films, séries télé et livres des années 80/90. Mon seul bémol : une certaine lenteur dans quelques albums.
Le premier cycle, composé de 13 tomes, constitue une histoire complète et suffisante en soi. La relance avec un deuxième cycle donne davantage l’impression d’une exploitation commerciale… Je ne le suivrai pas, d’autant qu’il reste tellement d'autre auteurs et histoire à découvrir.
J’ai beaucoup aimé le concept de cette série. Navis, la dernière représentante connue de la race humaine, voyage à travers l’espace à bord de Sillage, un convoi de vaisseaux réunissant de nombreuses races. Toutes sont télépathes, sauf notre jeune humaine qui demeure insondable pour les autres. Entre intrigues politiques, magouilles, espionnage et actions plus ou moins honorables selon les intérêts de chacun, Navis, qui idéalise l’humanité avec son petit côté syndicaliste, tente de réveiller certaines consciences endormies…
Le fil rouge du scénario est plaisant et j’aime beaucoup le principe d’une histoire unique par album. En revanche, les leçons de morale un peu simplistes qui reviennent dans la plupart des tomes ont fini par me lasser, si bien que j’ai arrêté la série.
Le dessin, quant à lui, est absolument remarquable. Quelle créativité ! Les mondes visités et les autres aliens rencontrés sont superbement représentés.
Une série que je découvre sur le tard.
En raison de sa longévité, je me suis dit qu’elle devait avoir un certain intérêt — et j’ai été agréablement surpris, tout d’abord par la qualité de la narration. Les histoires sont bien construites : de belles aventures de la marine marchande, avec son lot d’exotisme, de bagarreurs et de magouilleurs.
J'apprécie beaucoup les histoires en un album, c'est beaucoup plus intense.
Le dessin est vraiment superbe. Villes, bateaux, motos, voitures… tout est d’un réalisme incroyable, avec une richesse de détails impressionnante. Les visages des personnages sont eux aussi bien définis et facilement reconnaissables.
Avec Magali,, la copine de Natacha hôtesse de l'air, on change d’univers : cette fois, c’est l’infirmière espiègle de service qui mène l’enquête sur son chef de service. L’histoire est amusante, même si le scénario demeure un peu confus. Le dessin, en revanche, reste toujours soigné et plaisant.
Le fantasme de l’hôtesse de l’air prend ici les traits de Nathalie, une version coquine de Natacha. L’ensemble reste léger et gentillet, ponctué de quelques scènes coquines. Le dessin, dans un style très franco-belge, est agréable.
Quelle ambiance dans ce Londres du XIXᵉ siècle ! Les quatre cycles sont tous exceptionnels. Pour être honnête, c’est l’une des meilleures BD policières de ces vingt dernières années. Les scénarios et les personnages sont superbement bien construits, et l’on balade le lecteur jusqu’à des fins toujours très cohérentes. J'ai relu les albums plusieurs fois et je ne m’en lasse jamais. On a plaisir à retrouver certains protagonistes d’une histoire à l’autre : franchement génial.
Le dessin, quant à lui, est splendide. Je suis un grand fan du style de Bonin. Le graphisme de Fog illustre à merveille ce vieux Londres humide et un peu crasseux.
Je suis tellement déçu que cette série soit terminée.
J’ai beaucoup aimé ce scénario mêlant érotisme, ésotérisme et enquête policière dans le vieux Londres du XIXᵉ siècle. L’histoire des tomes 1 et 2 est bien construite, et les scènes coquines s’intègrent de manière très fluide à l’intrigue. En revanche, le tome 3 m’a semblé le moins réussi. On ne comprend pas bien le virage scénaristique amorcé dans les dernières pages, mais sans doute pour lancer un deuxième cycle.
Le dessin, quant à lui, est superbe : les personnages, tout en rondeurs, sont magnifiques. Malgré quelques scènes explicites, l’auteur ne tombe jamais dans le vulgaire.
Voilà un sujet qui me passionne : le voyage dans le temps.
Dans cette histoire aux dessins superbes, le héros hésite entre gagner des revenus confortables au détriment de sa vie de famille, ou être handicapé mais vivre heureux, tout en ayant moins de confort matériel. J’ai beaucoup aimé les rebondissements, et la fin est surprenante.
L’idée du one shot est peut-être un peu courte pour un tel scénario, mais qu’importe : c’est une très bonne BD. Je suis vraiment fan de l’univers graphique de Cyril Bonin.
Les Chroniques du Temps font revivre des événements historiques en lien avec des sites archéologiques encore visibles aujourd’hui. L’écriture est soignée et les dessins sont splendides. J’ai également beaucoup apprécié la préface d’Haroun Tazieff, qui apporte un éclairage supplémentaire et passionnant à l’ouvrage.
J’ai adoré les quatre premiers tomes de cette série. L’histoire est vraiment bien écrite, et l’époque m’a particulièrement plu : cette Russie en pleine transition, où Tsaristes, Trotskistes et Léninistes s’affrontent, certains soutenu par les puissances occidentales ou japonaises. L’histoire de ce capitaine, tiraillé entre sa fidélité au Tsar et son amour impossible pour une cantatrice russe, est vraiment bien pensée.
Les dessins des quatre premiers tomes sont également magnifiques : détaillés, précis, avec des visages expressifs, ce qui est d’autant plus remarquable que le scénario s’étend sur plusieurs périodes.
En revanche, pour le tome 5, Shanghai, je ne comprends pas vraiment l’intérêt. L’époque, le lieu et les personnages sont complètement différents, à l’exception du capitaine. Le scénario est brouillon, et le dessin n’est clairement pas à la hauteur des quatre premiers tomes. Dommage…
Cela reste malgré tout une très belle série.
Superbe bande dessinée ! Les deux premiers tomes sont vraiment excellents. La narration est prenante, j’ai été captivé du début à la fin. J’aime beaucoup ce genre de polar western où l’on se pose mille questions au fil de la lecture.
Les dessins de Marini sont magnifiques, avec des visages très expressifs et détaillés. Une belle surprise trouvée dans un magasin d’occasion… ils n’avaient visiblement pas vu que les deux premiers tomes étaient cotés ! Une vraie affaire.
Les préquels, c’est-à-dire les tomes 3 et 4, m’ont un peu moins convaincu. J’ai eu du mal à raccrocher les wagons avec l’histoire principale. Cela reste intéressant, mais moins intense que les premiers tomes.
Les dessins de Van der Zuiden sont superbes, Margot y est sublimée ! Les personnages, de manière générale, ainsi que les véhicules, sont très soignés.
À partir du troisième album, Callixte reprend le dessin : les personnages deviennent alors moins expressifs, presque sans vie à mon goût. En revanche, les véhicules et les décors restent très réalistes.
Dans le cinquième album, c’est le scénariste qui passe au dessin… et malheureusement, les personnages ont l’apparence de Playmobils, très figés. Dommage !
Côté scénario, le tome 2 reste pour moi le meilleur, suivi des tomes 1 et 3. Le tome 4 est assez moyen, et le cinquième clairement en dessous, avec une Margot de plus en plus mal dessinée.
J’ai malgré tout apprécié le concept de cette BD, qui mêle voitures mythiques et petites enquêtes policières dans l’ambiance des années 50/60.
Un scénario original : un monde post-apocalyptique où le seul genre humain restant est la femme.
L’intrigue se déroule 200 ans après un drame mondial, dans un univers où les reliques de l’ancien monde sont dissimulées au grand public. Une société secrète remet en question cette réalité et émet l’hypothèse qu’un autre genre humain aurait existé. Franchement, c’est plutôt bien pensé !
Le dessin, très crayonné, a un style qui me plaît. Le Paris partiellement détruit, avec ses nouveaux moyens de locomotion, est particulièrement bien imaginé.
J’aimerais vraiment voir une suite à cet album.
Un dessin magnifique porté par une héroïne superbe !
J’ai beaucoup apprécié cette aventure dépaysante à l’autre bout du monde. De nombreux sujets s’entremêlent et s’éloignent parfois du fil conducteur principal : la recherche de son frère.
Le premier cycle de cinq albums se conclut plutôt bien, mais cela ne m’a pas vraiment donné envie de poursuivre avec le deuxième.
Les premières pages rappelleront à beaucoup Le Nom de la Rose, version druidique. Le maître a un air de Sean Connery, et les scènes initiales, avec les meurtres de moines, évoquent un peu le film. Mais la comparaison s’arrête là.
J’ai trouvé les deux cycles extrêmement bien écrits. On est transporté à une époque où Rome et ses prêtres cherchent à faire disparaître les druides et les légendes qui leur sont associées. Mais s’agit-il vraiment de simples légendes ?
J’ai été captivé par ces deux récits, superbement bien documentés.
Le dessin, quant à lui, est magnifique. Les personnages sont superbement réalisés, tout comme les paysages et les cités celtiques. L’enchaînement et la découpe des cases rendent le récit très dynamique.
Une BD culte, en ce qui me concerne. L’univers des Celtes et leurs légendes m’ont beaucoup plu.
une belle aventure mêlant ésotérisme et érotisme au début du 20ᵉ siècle. Le scénario est bien construit, alternant entre l’histoire passée d’une Djinn impitoyable qui tombe amoureuse et celle de sa petite-fille qui essaie de retrouver ses traces. C’est fluide et plaisant, et l’histoire se déroule dans un contexte géopolitique complexe : les tensions qui précèdent la Première Guerre mondiale, la présence des harems et des sultans en Turquie, et une révolution qui gronde.
Le dessin est, quant à lui, superbe : les corps sont magnifiquement mis en valeur avec quelques scènes érotiques qui ne tombent jamais dans le vulgaire. On remonte le temps dans ce voyage en Orient au début des années 1900.
Dieu ne sait pas toujours comment venir en aide à certaines personnes, alors il fait appel à des personnalités célèbres décédées, qui mènent une vie plutôt tranquille au Paradis — ou parfois au Purgatoire ! En échange d’un petit service divin, elles redescendent sur Terre pour tenter de régler quelques situations.
Les histoires se lisent facilement : elles sont courtes, peu moralisatrices, mais deviennent un peu répétitives à la longue. J’ai trouvé le tome 1 plus réussi et plus accrocheur que le tome 2.
Côté dessin, rien à redire : c’est propre et soigné.
C’est principalement parce que nous avions visité la prison des Templiers lors de nos vacances dans le Périgord, que je me suis intéressé à cet album.
J’ai eu droit à une belle dédicace sur le marché de Sarlat, ce qui en fait un joli souvenir. Cela dit, l’histoire manque de profondeur et le scénario est assez maladroit. Quant aux dessins, ils peuvent piquer les yeux.
En somme un beau souvenir de vacances !
J’ai globalement bien apprécié les quatre premiers tomes de cette série. Les allers-retours entre passé et présent sont bien construits et donnent du rythme à l’intrigue. Les personnages sont intéressants, notamment l’héroïne, archéologue qui se retrouve mêlée à une série d’énigmes dans un esprit proche du Da Vinci Code. Le scénario n’est pas particulièrement original, mais il fonctionne bien et offre une lecture très agréable. J’ai passé un très bon moment avec ce premier cycle.
Le dessin est réussit, les personnages, les lieux et les véhicules sont superbement réalisés, avec un soin du détail remarquable.
En revanche, le deuxième cycle m’a nettement moins séduit. Le changement de dessinateur n’a pas aidé, et je n’ai pas accroché avec le scénario, dans un style, différent. Dommage.
Pour ma part, je préfère en rester au premier cycle.
Probablement la BD érotique de Manara dont on m’a le plus parlé.
Je me suis donc lancé dans la lecture des premiers tomes de cette trilogie. Que dire… Les dessins sont, bien évidemment, somptueux — c’est du Manara, après tout. En revanche, côté scénario… si le premier tome peut éveiller quelques fantasmes, les tomes 2 et 3 sont un peu creux.
A lire au moins une fois dans sa vie
Une aventure pour le moins originale, où de jolis "fruits poussent" sur un arbre à l'occasion d'un concours du fruit le plus doux. Le scénario est plutôt bien pensé, avec plusieurs personnages qui semblent avoir différentes facettes. Il y a évidemment de belles fleurs ainsi que de belles planches, mais rien ne tombe dans le glauque ou le vulgaire.
Les dessins, quant à eux, sont magnifiques. Les décors, tout comme les personnages, sont très travaillés. Cet album donne envie de lire la suite, autant pour son histoire que pour la qualité de son dessin.
Quelle belle histoire ! Évidemment, on ne peut s’empêcher de penser au film Gladiator à la lecture des premières pages, mais cette impression s’estompe assez rapidement. On sent un beau travail de recherche sur les gladiateurs de la Rome antique, agrémenté de quelques explications en bas de page ; c’est bien fait.
Il s’agit d’une histoire d’amour entre deux êtres qui ne peuvent pas s’aimer dans ce monde antique où l’homme romain détient tous les pouvoirs. Trahisons et subterfuges sont au rendez‑vous. Les quelques planches érotiques s’intègrent parfaitement au récit et, à aucun moment, on ne bascule dans le vulgaire. C’est très bien réalisé.
Le dessin, quant à lui, est très réussi. Les décors sont magnifiques et les personnages tout autant : c’est précis et beau. Une belle BD !
De Cape et de Crocs, c’est LA bande dessinée culte que tout amateur du neuvième art devrait avoir dans sa bibliothèque. C’est un concentré d’aventure, d’amour, d’humour, de génie, de panache, de poésie, de fantastique… et j’en oublie ! Tout est savamment orchestré : les dialogues sont brillants, les séquences s’enchaînent avec une fluidité remarquable, et chaque page réserve son lot de surprises.
Mais au-delà de la narration, le dessin constitue le second pilier de cette œuvre. Quel trait ! Les faciès de nos protagonistes venus du monde animal sont superbement réalisés. Leurs expressions sont d’une justesse incroyable : tout passe par un regard, un sourire en coin, une moue exaspérée… Un vrai régal visuel.
Cette œuvre ne se contente pas de faire vibrer : elle fait aussi rire, et souvent aux éclats. Franchement, c’est un pur bijou. Génial, tout simplement.
Je pense l'avoir relue plus de cinq fois et je ne m'en lasse pas.
Dracula superbement revisité par Ayroles le scénariste de De Cape et de Crocs ! Comme pour les autres œuvres, l’humour est toujours amené subtilement. J’adore les interactions humoristiques des personnages au sein d’une même case : quelques mots, les bonnes expressions sur les visages… et vous souriez.
L’intrigue est très bien menée dans le tome 1, tout en restant plutôt conventionnelle pour une histoire de Dracula. Les tomes 2 et 3 créent un peu la surprise avec l’arrivée de nouveaux personnages. Qui est vraiment le méchant ? Pas facile à deviner.
J’ai autant apprécié la lecture que les dessins de Maïorana. Les personnages sont tous magnifiques et illustrent parfaitement leur caractère. Les scènes d’action sont également bien menées.
Je ne me suis pas ennuyé une seconde. Une belle œuvre. Une suite ou une autre histoire avec Drake m’aurait plu !
Quelle œuvre sublime ! Qui ne rêverait pas de retourner à l’adolescence tout en ayant la conscience d’un adulte ? Maîtriser toutes les disciplines scolaires, épater la plus jolie fille du collège — celle qui ne vous a jamais vraiment regardé à l’époque. Et pourquoi ne pas, aussi, mettre au jour des secrets de famille, redécouvrir des personnes du passé avec un regard d’adulte ? Wow, c’est le rêve absolu.
Taniguchi Jirō nous fait voyager dans cet univers avec ses dessins sublimes. Tout est en douceur, mais j’ai dévoré les pages frénétiquement. Vraiment magnifique.
Très bon scénario. Le premier tome s'intitule "Ouverture", et après lecture, cela semble être l'introduction à un très bon space opera. Nous avons ici un grand mystère : ces immenses sphères qui ont disparu, un personnage qui semble capable de les ressentir et un autre dont l'existence se résume à les retrouver.
En revanche, l'intrigue principale semble diluée par une seconde trame mettant en scène des cultes intégristes "à la Léo". Pour être honnête, cela m'a un peu agacé, car cela donne un sentiment de déjà-vu. J'espère que l'auteur proposera quelque chose de plus surprenant pour les antagonistes dans les albums suivants.
Le dessin, quant à lui, est magnifique. La grande ville sur Terre, avec son ambiance Blade Runner, est superbement réussie, l'immensité de l'espace est bien retranscrite, et l'atmosphère sur la lune de Jupiter m'a fait penser à la colonie dans Aliens. Les personnages sont splendides. Un très beau travail graphique.
Je suis impatient de lire la suite
J'ai vraiment adoré cet univers. Au travers de ces six albums, on voit évoluer cette jeune princesse, qui semble d'abord plutôt légère et peu respectueuse des traditions, en une femme posée. Ses nombreuses aventures trépidantes et ses rencontres sur des mondes étranges à travers le temps transforment ce personnage. On s'y attache du début à la fin.
Les mondes visités par Cyann sont superbement détaillés. Le dessin est juste magnifique, qu'il s'agisse des personnages, du bestiaire, des paysages ou des villes. Quelle recherche et quelle imagination !
C'est un très beau récit, et Le Cycle de Cyann fait partie de mes œuvres cultes, à conserver dans toute bonne bibliothèque digne de ce nom.
À quand une nouvelle histoire de Curiosity Shop ?
J’ai beaucoup aimé ce scénario. On pourrait le comparer à une version féminine du jeune Indiana Jones. Le choix de l’époque, juste avant le début de la guerre, est parfait. Il y a de l’action, de l’amour, des trahisons et beaucoup de mystère autour de certains personnages. J’ai également apprécié que l’intrigue se déroule en Espagne. Ça change un peu !
Les quêtes sont plutôt intéressantes, mise à part peut-être dans le troisième album ou j’ai trouvé le fil conducteur légèrement confus.
Les dessins sont superbes, j’adore ce style épuré. Les villes sont magnifiquement représentées, témoignant d’un beau travail de recherche. Les personnages et leurs tenues sont également très réussis.
Quel dessin ! Bravo ! J'ai adoré l'ambiance de fin de guerre, superbement bien retranscrite. La ville de Bruxelles, dans le tome 2, avec toutes ses lumières et ses grands magasins, est vraiment magnifique.
J'ai beaucoup aimé le style graphique. Pour le Marsupilami, on est loin du côté peluche de Franquin : ici, c'est vraiment LA BETE.
Le scénario est également bien pensé. J'ai beaucoup aimé les retournements de situation des personnages dits "méchants", qui ne le sont finalement pas tant que ça. J'ai trouvé intéressant de mêler des faits historiques entre adultes — qui se sont sûrement déroulés dans de nombreuses villes à la fin de la guerre — avec ce personnage de fiction totalement hors contexte. Bravo pour la ménagerie, le cheval alcoolo m'a vraiment fait rire !
Enfin, bravo à l'éditeur pour ces magnifiques livres. Quel plaisir de les lire !
Une belle histoire de science-fiction avec un style graphique plutôt impressionnant : les détails apportés aux décors et aux divers engins sont superbes. La mise en couleur « orange » des deux premiers albums est surprenante, mais on s’y habitue.
Côté scénario, bien que la trame principale soit intéressante, j’ai trouvé certains albums un peu difficiles à lire. L’histoire peut paraitre confuse, on passe d’une situation à l'autre très rapidement.
Cela reste une bonne BD de SF.
Les cosmonautes du futur sont-ils vraiment à leur place ? Est-ce que le monde qui les entoure est réel ?
C'est déjanté, cela part dans tous les sens et cela fait sourire. Les auteurs ont de l’imagination, c’est certain. Les dessins sont un peu spéciaux, ce n’est pas trop mon style, mais au final, très adaptés au scénario.
Je suis fan d’histoires de science-fiction, de conquêtes spatiales et de paradoxes temporels. L’intrigue de cette histoire m’a immédiatement captivé. J’ai beaucoup apprécié le scénario développé sur les trois albums, véritablement palpitant, avec une tension qui monte au fil de la lecture. Je pense qu’un album supplémentaire avant le retour sur Terre aurait été bénéfique, notamment pour apporter davantage d’explications sur cette immense navette perdue dans l’espace. La fin est un peu précipitée, mais c’est un choix assumé des auteurs.
À noter qu’il n’y a aucun lien avec le film Interstellar, celui-ci étant sorti bien après la bande dessinée.
Mon principal reproche sur le scénario concerne le personnage de la fillette, dont les dialogues paraissent bien trop matures pour son âge. Cela ne colle pas vraiment et devient même un peu pesant.
Le dessin, quant à lui, est surprenant et demande un temps d’adaptation. Il est magnifique, froid et résolument réaliste. J’ai particulièrement apprécié la représentation des navettes, des installations martiennes et d’autres éléments du décor, tous superbement réalisés.
Une très belle œuvre, à conserver précieusement dans sa bibliothèque pour les amateurs de science-fiction.
Mon avis porte sur le premier cycle de neuf albums.
J'ai trouvé cette histoire se déroulant dans un domaine à Margaux très sympathique L’interconnexion des personnages fictifs aux réels, comme cela a été fait dans Les Gouttes de Dieu, donne plus de réalisme. Les auteurs s’attachent à nous faire part des difficultés autour de la gestion d’un vignoble, saupoudrée d’histoires de famille qui entravent le redémarrage du domaine. Le scénario est assez bien mené et la lecture fluide.
J’ai eu un peu de mal avec les dessins des deux premiers albums, le style un peu figé des personnages m’a dérangé, mais cela s’améliore sur les albums suivants.
Un bon premier cycle. Je n'ai pas continué sur la suite, il y a tellement d'autres bons crus de BD à découvrir. :-)
J’aime beaucoup l’histoire originale en quatre tomes. Nos personnages se connaissent pour la plupart, et le lecteur comprend qu’ils ont déjà vécu de grandes aventures. Les voilà réunis à nouveau pour une dernière quête : la quête de l’oiseau du temps. Le scénario est vraiment bien pensé, plongeant le lecteur dans une intrigue passionnante avec une fin à la fois très surprenante et parfaitement maîtrisée.
La "suite" de La quête de l’oiseau du temps, qui est en réalité un préquel, nous permet de retrouver nos héros plus jeunes et de découvrir enfin les circonstances de leur rencontre. J’ai beaucoup aimé cette partie, même si certains albums, notamment L’emprise et Kryll, m’ont semblé un peu vides. À mon avis, regrouper ces deux albums en un seul aurait rendu l’ensemble plus intense.
Le dessin est magnifique, avec un style graphique qui m'a beaucoup plu. Une très belle œuvre à conserver précieusement dans sa bibliothèque.
Un beau scénario d’un beau road trip à travers la France. J’ai vraiment apprécié l’histoire de ces deux types qui plaquent du jour au lendemain leur petite vie bien rangée à Paris, pour descendre dans leur vieille BM sur les terres de leur enfance à Biaritz.
Franchement, je n’avais pas vu venir la fin, donc bravo pour l’écriture.
J’ai beaucoup aimé le dessin, et j’ai adoré les pages de garde des chapitres en noir et blanc. Les planches sont superbes.
Une BD qui se laisse lire et relire avec plaisir.
Depuis Fog, j’adore le dessin de Bonin ! Son style, notamment les personnages, est juste magnifique. L’ambiance du début du 20ᵉ est très bien retranscrite avec une superbe mise en couleur.
Pour le scénario, nous sommes dans un style Agatha Christie (sans meurtres) ou plutôt Arsène Lupin : un vol suspect, une famille, une aventurière, un policier tenace et un mystère transgénérationnel. L’intrigue est vraiment bien amenée et, malgré plusieurs relectures, je me replonge dans ces deux tomes avec toujours autant de plaisir !
Les livres sont de belle qualité avec une belle couverture, bravo à l’éditeur.
Je regrette qu'il n'y ait pas eu une autre histoire.
Franchement, une très belle réussite cette histoire en 5 tomes. Tout ce qui reste de l’humanité est en quête de leur nouvelle planète, Vera, repérée il y a 400 ans depuis la Terre.
Le scénario est très bien écrit et je ne me suis pas ennuyé une seconde. C’est addictif. J’aurais aimé que l’histoire de l’ancienne civilisation et son interaction passée avec les humains soient plus détaillées, mais peut-être que cela sera pour un spin-off.
Les décors, les cadrages, l’ambiance sur la planète Vera sont vraiment super, par contre, un petit bémol sur le rendu de certains personnages, notamment dans les premières pages du T1, les positions , visages et attitudes font figés, voire dispropotionnés. Cela est corrigé dans les albums suivants, tout du moins cela ne m’a plus choqué.
J’ai beaucoup aimé, je continuerai sur le prochain cycle.
Une histoire qui se situerait entre un Blade Runner, un Mad Max et un iRobot.
Le dessin est vraiment superbe, bravo pour les grandes planches, le dessin des robots et les décors. Les tons sont bien choisis et en accord avec le titre de cet album.
J’ai trouvé le scénario bien amené, mais un peu convenu. J’aurais aimé être plus surpris, pourquoi pas un second fil conducteur au-delà de l’intrigue principale qui donne un peu plus de consistance au scénario ?
Cela se laisse néanmoins très bien lire et je suis impatient de lire la suite de cette héroïne et de son acolyte humanoïde.
J’ai beaucoup aimé ce thriller où l’on découvre au fur et à mesure les 4 assassins de Cassio. Le scénario est plutôt bien écrit, avec un déroulement plutôt fluide de l’intrigue. Les coupables sont amenés de façons différentes : parfois, il faut attendre les dernières pages pour connaitre leur identité, et pour d'autres, le déroulé de leurs motivations se fait à visage découvert. Le petit bémol serait l’histoire de l’archéologue au 20ᵉ siècle qui manque un peu de teneur avec une intrigue plutôt légère.
J’ai beaucoup aimé les dessins et la mise en couleur. Certes un peu classique dans le style, mais correspond bien à l’histoire.
Les 4 premiers albums concluent de manière correcte le premier cycle.
J’ai vraiment adoré. N’étant pas un grand fan en règle générale de faits historiques adaptés en BD, je trouve cette série "Charlotte Impératrice" magnifiquement écrite avec un dosage entre faits réels, suppositions et imaginaire extrêmement bien dosés. Les albums se lisent goulument sans pouvoir les reposer avant leur dernière page. Les personnages sont très bien travaillés avec une Charlotte qui va devenir une femme forte tout en restant fragile dans sa vie sentimentale et amoureuse.
Le style graphique est parfait. On est dans l’ambiance du XIXe siècle. Le dessinateur maitrise toutes les facettes du dessin, que ce soit les villes européennes, les tenues vestimentaires et le côté aride et pauvre du Mexique. La mise en couleur aide beaucoup, et graphiquement, c’est une belle réussite.
Vivement le dernier opus.
Une très bonne histoire pleine de suspense où des monstres marins pourtant supposés avoir disparu depuis des milliers d’années refont surface. Une confrontation entre la technologie humaine et ses animaux venus d’un autre temps.
J’ai trouvé les dessins vraiment superbes sur ses 5 premiers tomes. Surtout les mégalodons ! Les pleines pages sont vraiment magnifiques.
Côté scénario, on sait quand on commence une histoire de M. Bec, par contre, on ne sait pas de combien d’albums ou d’années il nous faudra attendre pour avoir une conclusion. Bien que l’intrigue soit intéressante au début, l’histoire principale piétinne, d’autres fils rouges sont amenés et, honnêtement, cela part dans tous les sens. Enfin, bref, il semble évident que dans une vingtaine d’albums, on se demandera encore le pourquoi du comment.
Personnellement, j’arrête cette série aux deux premiers cycles jusqu’au tome 5.
Une nouvelle histoire d’Ayroles sur un beau grand format. J’ai acheté sans hésiter.
La mise en page et le dessin sont vraiment superbes. La trame scénaristique est plutôt originale. Je dois avouer que la lecture du premier tome m’a été assez difficile. La double narration sur chaque page avec les correspondances de lettres n’est pas très fluide. Il faut se rappeler à mi-page à qui la lettre est adressée et par qui elle a été écrite. Une deuxième lecture avec un peu de concentration m’a vraiment permis d’apprécier ce premier volet.
Le deuxième tome est, quant à lui, beaucoup plus fluide. J’ai beaucoup aimé le changement de cadre et ce départ pour la belle province. Les personnages sont creusés et les décors un prétexte pour nous faire découvrir la vie des premiers habitants de la Nouvelle-France aux côtés des Indiens.
Dans l'attente du troisième tome !
La petite BD fantastique que j’ai aimée lire quand j’avais 8 ans. Je trouvais ces histoires de voyages dans le temps et de monde surnaturel vraiment géniales.
Aujourd'hui, à la relecture avec des yeux de grands, on se rend compte que le scénario est vraiment très enfantin. J'ai eu beaucoup de mal à raccrocher avec l’univers de Bob et Bobette, probablement parce qu’il n'y a pas de relecture au second degré pour les adultes.
La petite BD fantastique que j’ai aimée lire quand j’avais 8 ans. Je trouvais ces histoires de voyages dans le temps et de monde surnaturel vraiment géniales.
Aujourd'hui, à la relecture avec des yeux de grands, on se rend compte que le scénario est vraiment très enfantin. J'ai eu beaucoup de mal à raccrocher avec l’univers de Bob et Bobette, probablement parce qu’il n'y a pas de relecture au second degré pour les adultes.
La petite BD fantastique que j’ai aimée lire quand j’avais 8 ans. Je trouvais ces histoires de voyages dans le temps et de monde surnaturel vraiment géniales.
Aujourd'hui, à la relecture avec des yeux de grands, on se rend compte que le scénario est vraiment très enfantin. J'ai eu beaucoup de mal à raccrocher avec l’univers de Bob et Bobette, probablement parce qu’il n'y a pas de relecture au second degré pour les adultes.
Blake et Mortimer, ce n’est pas qu’une BD, c’est presque aussi un roman. Chaque album contient tellement de texte que l’on a presque 3 BD en une, donc chaque lecteur en aura pour son argent.
Ensuite, les thèmes abordés sont tellement addictifs : technologie, science-fiction, fantastique, mais aussi espionnage et action. Les scénarios sont intenses, les histoires bien documentées ainsi que les lieux où se déroulent les actions.... Blake et Mortimer existent-ils vraiment ?
Mister Jacobs nous a laissé une œuvre incroyable et je suis admiratif du talent de ces scénaristes et dessinateurs qui arrivent à reprendre à la quasi perfection le style de Jabobs
Blake et Mortimer c’est un BD culte et je suis toujours impatient de découvrir un nouvel abum.
Que c'est bon de revoir toute la bande du Capitaine Flam !
Les dessins sont superbement réussis dans l'esprit du dessin animé. J'ai trouvé appréciable que Johann ait un style graphique un peu plus tranché mettant en avant son caractère de femme forte.
Côté scénario, j'ai apprécié retrouver les mots, les scènes qui composent le générique du Capitaine Flam, bien que l’histoire reste une reprise. Même si les auteurs collent à l'histoire originale, une intrigue un peu plus poussée ne m’aurait pas déplu. Tout ce qui ne pouvait être dit ou écrit dans les années 80 par exemple, des interactions plus fortes entre les personnages, pourquoi pas un début de romance entre le capitaine et Johann, ou quelques questions de Crag et Mala sur leur identité par rapport aux humains et aux autres espèces de l’histoire.
Au final, c’est une très bonne histoire, très fidèle, mais qui manque d’une petite touche d’extravagance ou de nouveauté par rapport au dessin animé.
Super les Bidochon ! Que de fou rire en lisant certains albums. Évidemment, chaque album peut toucher un point sensible des uns ou des autres, et pendant l’espace d’une case, on se retrouve un peu à la place d’un des Bidochons. Ils sont finalement à l’image de personne, mais de tout le monde à la fois. J’aime particulièrement les situations où les Bidochon sont entre amis. Coté dessins, c’est plutôt minimaliste, mais l’expression des visages est tellement réussie ainsi que la typographie.
Tous les albums ne sont pas égaux en matière de situation comique, mais cela reste une série que je peux relire plusieurs fois avec toujours autant de plaisir. Une BD culte.
Absolument génial ! Quel scénario, franchement bravo aux auteurs. De l’action, de l’humour bien dosé et surtout, que de rebondissements. Je ne me suis pas ennuyé une minute sur le triptyque Valhalla Hotel. Il y a de la créativité et une mise en scène aux petits oignons :-)
J’ai beaucoup ri sur le premier tome. Le deuxième est beaucoup plus centré sur certains personnages et le déballage de la grosse artillerie. Pour le troisième, on renoue avec l'humour du premier avec toujours beaucoup d'action.
Le dessin est incroyable, c’est un storyboard complet et achevé pour une trilogie au cinéma. C’est fluide, c’est beau avec des personnages aux caractères bien trempés . Les cadrages sont parfaits et les véhicules… que de réalisme. Les pickups, muscle cars et hélicoptères sont superbes.
Une sacrée découverte et c’est une BD que j’ai pris vraiment plaisir à relire. On espère voir plus d’œuvres créant la surprise comme celle-ci.
J’ai beaucoup aimé le style graphique. Le dessin et la mise en couleur sont magnifiques, on ressent toute la noirceur de ce New York sale et malfamé. Le découpage est incroyable. Chaque album a une petite intro, juste avant le titre principal. Très cinematographique. Les personnages sont superbes et clairement reconnaissables à chaque moment de leur vie.
Le scénario est incroyable. La claque. Le tome 3 est une surprise totale. Le tome 1 et 2 sont le pile ou face d’une pièce avec le point de vue de la composante de ce couple qui se hait. Une histoire de fait divers superbement bien réalisée qui vous tiendra en haleine jusqu'au bout. À relire.
L’intégrale est superbe avec un beau cahier graphique.
Quel style graphique. En France, à Paris, dans les quartiers chauds… Oui, pour une fois, une histoire qui se déroule chez nous. Des mafieux, des petites frappes, des mauvais bougres sans mauvais fond côtoyant de très mauvais bougres avec un très mauvais fond. Toutes les nationalités se confondent dans un monde qui ne semble fait que de violence. Une sorte de Blade Runner au présent. J’ai vraiment adoré ! C’est bien écrit, c’est fluide.
Le dessin, quant à lui, est intéressant. Je ne pourrai pas dire que c’est mon style, le trait est fuyant, pas très détaillé, mais au final, cela colle avec l’histoire.
Une bonne BD qui fait partie d’une collection digne de ce nom !
Une préface du maître Barjam, le roi de la SF, j’achète directement. Une histoire sur des personnages téléportés, par le biais d’orages temporels depuis différentes époques, et qui atterrissent sur une planète en apparence inconnue, ça semble être pas mal.
Dans le tome 1, l’énigme est posée sur ces phénomènes. Malgré tout, les personnages restent peu approfondis : beaucoup d’époques se mélangent, mais finalement aucun d’entre eux n’a un caractère qui reflète leur époque. C’est trop lisse, trop convenu, même au niveau du langage. Dommage.
Tome 2, on espère un peu plus d’explications sur ces phénomènes, le pourquoi du comment, j’avais espoir que l’intrigue se développe sur ces anomalies temporelles, mais au lieu de ça, on nous fait un remake de Mad Max d’arrière-cours avec un super méchant doté d’un masque qui veut prendre le camp des gentils… Complètement hors propos, où est passé le Topic initial ? Décevant.
À voir le tome 3. En espérant que le tome 2 ait une utilité, mais pour l’instant, cela semble être un raté scénaristique. Aucune cohérence dans ce scénario qui semblait pourtant très prometteur.
Le seul point positif est le dessin ! Bravo.
J’aime énormément le style graphique de Berthet que j’ai découvert dans la série Pin-up. C’est vraiment très beau, j’adore le trait des personnages.
Je trouve que le tome 3 est le plus abouti au niveau graphique.
Côté scénario, le premier et le deuxième tome sont un peu trop
hachés. J’ai eu cette sensation d’avoir oublié de lire des cases. Il y a un certain manque de fluidité dans la narration. Par contre, le tome 3 est beaucoup mieux écrit. Une même enquête pour deux enquêteurs avec la secrétaire de notre privé qui prend des airs de Betty, notre future Pin-up.
Pour le tome 3 et les tirages limités en grand format noir et blanc qui font la part belle au dessin, c’est une BD à conserver dans sa
bibliothèque
C’est franchement super drôle et très bien écrit. J’ai tout particulièrement aimé les albums 2,3 et 4. Le scénariste a été très inspiré. Les blagues sont à toutes les pages et, pour beaucoup, c’est une franche rigolade. La relation Sherlock – Watson est vraiment bien vue, avec un Watson qui a plus de notoriété que son comparse au grand dam de Holmes. Ils ne se ménagent pas l’un et l’autre. Les personnages de Lestrade et de la gouvernante apportent beaucoup d’humour, surtout lors du voyage en Inde.
Le dessin est vraiment bien et les expressions des personnages sont excellentes. Encore une fois, j’ai trouvé les albums 2, 3 et 4 au-dessus des deux autres graphiquement.
Une très bonne série !
Quel Western ! ! ! J’ai adoré ! Étrangement, c’est une BD qui ne m’avait pas interpellée à sa sortie, mais quelle découverte.
Tout d’abord, le style graphique est époustouflant. Les personnages sont superbement réalisés, les décors sont magnifiques , et tous les détails apportés aux objets, aux villes sont incroyables, etc. Je suis rentré dans cette œuvre aisément pour tourner la dernière page du T4 avec le regret que cela soit déjà terminé.
Le scénario est quant à lui bien maitrisé. Le premier tome nous met tout de suite dans le cœur de l’action, le tome 2 nous explique le pourquoi du comment et finalement les T3 et T4 déroulent l’histoire. Monsieur Hoggaard avec son "Sooolope" m’a trop fait rire.
J’aurais plaisir à retrouver ces personnages ! C’est déjà une BD culte en ce qui me concerne.
Lire "L’autre Monde", c’est comme regarder une version plus poétique du Truman Show. Dans "l’autre monde", le ciel finit par tomber et une expédition est mise sur place afin d’en connaître la raison. Les aventures de notre équipe nous transportent au travers des quatre saisons de l’année, tout en croisant des sirènes, des lutins, cigognes et autres Pères Noëls…
Le dessin est vraiment magnifique avec un crayonné superbe. L’hiver et l’automne sont magnifiques.
À lire et à relire, vraiment génial.
Une belle histoire dans l’histoire. C’est un beau conte dans la Bretagne du 19e siècle, là où la vie d’un village de pêche avec sa conserverie de poisson se confond avec les légendes. J’ai été captivé par ces 3 tomes tout au long, bien que la fin soit à mon sens un peu surprenante. Cela sort du contexte breton, mais c’est le choix des auteurs.
Les dessins sont superbes, il y a un peu de Loisel, je trouve. Les couleurs sont douces et les personnages magnifiques. J’ai beaucoup aimé.
Quelle découverte ! Il y beaucoup de dynamisme dans la narration, je ne me suis pas ennuyé une seule fois sur les 5 premiers tomes. Beaucoup d’action et de suspense avec des coupables révélés que dans les toutes dernières pages. Notre blaireau d’inspecteur et son rat d’adjoint forment une équipe hors pair.
Le dessin des personnages, du faciès de ces animaux-humains est superbe, mais aussi cette uchronie steampunk dans laquelle ils évoluent : Grandville. Grandville, c’est la capitale d’un empire où Napoléon a conquis toute l’Europe, et cela offre bien des possibilités à notre auteur pour captiver le lecteur.
J’ai aussi beaucoup apprécié toutes les références subtiles à d’autres œuvres. Il y en a pour tout le monde, mais heureusement qu’elles sont expliquées à la fin de chaque tome.
Grandville est une BD à lire et à relire.
Le graphisme est absolument sublime, que ce soit les dessins, la mise en couleur et le cadrage, tout est parfait. Les personnages donnent l’impression d’avoir existé et Marie, l’élue de nos deux pilotes, est magnifique.
J’ai beaucoup aimé cette histoire d'amitié, de rivalité et de passion au début de l’âge d’or de l'aviation.
Franchement digne de toute bonne bibliothèque !
Quelle écriture vraiment, bravo au scénariste. J’ai trouvé ces petites histoires de meurtres ultra captivantes ! L’intrigue est condensée en quelques pages, avec souvent des dénouements surprenants, mais qui tiennent la route. Quelle créativité. J’ai vraiment adoré. À mon sens, les deux premiers albums sont largement au dessus du 3e tome en terme d’histoires.
Le dessin est vraiment très bien. J’ai peut-être été un peu déconcerté par les époques. Tout est basé sur la même gamme de couleurs, que ce soit présent ou passé. D’autres tons pour le présent aurait été sympa. Cela tient du détail, évidemment.
Œuvre à conserver et à relire !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire les deux premiers albums. L’intrigue est plutôt classique avec une histoire d’échange d’âmes contre la gloire. J’ai moins aimé le dessin, surtout les personnages.
Les tomes 3 & 4 nous renvoient au Chant des Srtyges, une autre série du scénariste. Dommage, car cela ne colle pas du tout avec l’univers de la sorcellerie.
Quel dessin ! J’ai adoré ! L’ambiance 60ies édulcorée et pop, avec un soupçon d’art déco, vraiment magnifique ! Les traits des personnages sont supers, ils ont un petit air qui me rappelle les vieux scoubidou. C’est sûrement les lunettes de Kim qui donnent cette impression.
L’histoire du premier tome est très prenante ; le scénariste brouille les pistes, pour notre plus grand plaisir. L’histoire du baron Yeval et de son manoir est vraiment bien calée dans l’intrigue. Le tome 2 est quant à lui beaucoup plus linéaire. Dommage. On va directement à la fin de l’histoire en espérant un petit sursaut scénaristique de dernière minute, mais non.
C’est une excellente BD, j’espère qu’il y aura d’autres albums, car j’ai très envie de revoir ses personnages.
Que c’est drôle ! Bravo pour l’originalité du scénario. J’ai beaucoup aimé le côté décalé de cette BD avec la rivalité Franssois vs Anglois, les histoires de langue et de compréhension, l’astro-régulateur, la ceinture de chasteté et autre coquinerie. La fin se termine un peu
vite, cela dit, j’aurais presque aimé un 4e album.
Le dessin peut paraître enfantin, notamment les traits d’Alzeor, qui m’ont un peu dérangé, mais dans l’ensemble, cela colle bien avec l’histoire.
En bref, c’est très marrant.
Le whisky japonais étant l'un de mes préférés, cette bande dessinée m'a tout de suite attirée.
J'ai beaucoup aimé le dessin, vraiment bravo. La double page du passage de l'enfance à l'âge adulte avec l’arbre est vraiment très belle. Les dessins du Japon de l’époque sont très réussis.
Le scénario est sympa. J’ai aimé que le concours du meilleur whisky casse le côté linéaire de l’histoire de Masaka. Cela dynamise le récit. Il y a quelques passages qui m'ont fait penser aux gouttes de Dieu… notamment la capacité de Masataka à reconnaitre tous les arômes d'un whisky d'une façon qui épate la galerie.
J'ai passé un bon moment à lire cet album. J'ai appris pas mal de choses sur ce nectar Japonais.
Une œuvre que j’ai découverte sur le tard, j’ai flashé avec la couverture de l’album 4 avec la 205 Rallye. Achat instinctif, et je me retrouve avec la première intégrale dans les mains. Malheureusement, j’ai trouvé les scénarios guère prenants : j’ai eu beaucoup de mal à accrocher avec les trois premières histoires très décousues. Heureusement qu’il y a le dessin, les voitures et les bâtiments sont superbes.
Quelle série, quel scénario et quel dessin ! Franchement, Bravo aux auteurs. J’ai lu les cinq albums d’une traite.
La trame scénérastique est incroyablement fluide et les quelques va-et-vient dans le passé sont idéalement placés. On rentre dans cet univers très facilement pour en resortir avec un « Zut, c’était la dernière page ! ». Côté ambiance, on est dans un mélange de Blade Runner, du Prix du danger (Running Man) et de Her, avec une histoire vraiment atypique et captivante. J’ai juste trouvé qu’il manquait un petit quelque chose à ce qui arrive à la petite sœur avant d’arriver à la ville de "Monplaisir".
Coté dessin, cet epoustouflant. Le dessinateur a su recréer un univers fait de néons, de larges écrans dans une ville qui voit tout et entend tout. Malgré leur multitude, les personnages sont tous clairement identifiables, même à différentes périodes de leur vie. Les décors sont absolument sublimes.
J’ai adoré. Une excellente BD. À garder et à relire !
Quelle série, quel scénario et quel dessin ! Franchement, Bravo aux auteurs. J’ai lu les cinq albums d’une traite.
La trame scénérastique est incroyablement fluide et les quelques va-et-vient dans le passé sont idéalement placés. On rentre dans cet univers très facilement pour en resortir avec un « Zut, c’était la dernière page ! ». Côté ambiance, on est dans un mélange de Blade Runner, du Prix du danger (Running Man) et de Her, avec une histoire vraiment atypique et captivante. J’ai juste trouvé qu’il manquait un petit quelque chose à ce qui arrive à la petite sœur avant son arrivée dans la ville de "Monplaisir".
Coté dessin, cet epoustouflant. Le dessinateur a su recréer un univers fait de néons, de larges écrans dans une ville qui voit tout et entend tout. Malgré leur multitude, les personnages sont tous clairement identifiables, même à différentes périodes de leur vie. Les décors sont absolument sublimes.
J’ai adoré. Une excellente BD. À garder et à relire !
Les mondes d’Aldébaran, quelle saga incroyable. Quelle imagination ! La faune et la flore de ces planètes sont tout simplement incroyables. Leo, l’auteur, aime particulièrement les femmes jeunes, belles et fortes. C’est sympa, mais à certains moments, on a l’impression de regarder une série TV qui pourrait s’intituler "Kim et les garçons". Aussi, le thème des fanatiques religieux ou de moralité, qui revient en permanence, est plutôt lassant. Il y a tellement d’autres possibilités de méchants personnages dans de tels mondes.
La série "Aldébaran" est l’une de mes préférées avec la découverte de la Mantrisse, "Betelgueuse" est la mise en place de Kim en tant que leader, "Antares" le contact intensifié avec les extra-terrestres. "Les survivants" sont pour moi l’une des meilleures séries où il y a un renouveau du contexte et des personnages, et enfin "Le retour sur Aldébaran" qui, quelque part, fusionne toutes les séries de cette belle saga. La série "Bellatrix" retombe encore sur une histoire de fanatique religieux rétrograde. Pas intéressant du tout. Dommage.
En conclusion, c’est vraiment excellent, jusqu’au "Retour sur Aldébaran" qui clôt cette saga d’une très belle manière.
Les mondes d’Aldébaran, quelle saga incroyable. Quelle imagination ! La faune et la flore de ces planètes sont tout simplement incroyables. Leo, l’auteur, aime particulièrement les femmes jeunes, belles et fortes. C’est sympa, mais à certains moments, on a l’impression de regarder une série TV qui pourrait s’intituler "Kim et les garçons". Aussi, le thème des fanatiques religieux ou de moralité, qui revient en permanence, est plutôt lassant. Il y a tellement d’autres possibilités de méchants personnages dans de tels mondes.
La série "Aldébaran" est l’une de mes préférées avec la découverte de la Mantrisse, "Betelgueuse" est la mise en place de Kim en tant que leader, "Antares" le contact intensifié avec les extra-terrestres. "Les survivants" sont pour moi l’une des meilleures séries où il y a un renouveau du contexte et des personnages, et enfin "Le retour sur Aldébaran" qui, quelque part, fusionne toutes les séries de cette belle saga. La série "Bellatrix" retombe encore sur une histoire de fanatique religieux rétrograde. Pas intéressant du tout. Dommage.
En conclusion, c’est vraiment excellent, jusqu’au "Retour sur Aldébaran" qui clôt cette saga d’une très belle manière.
Les mondes d’Aldébaran, quelle saga incroyable. Quelle imagination ! La faune et la flore de ces planètes sont tout simplement incroyables. Leo, l’auteur, aime particulièrement les femmes jeunes, belles et fortes. C’est sympa, mais à certains moments, on a l’impression de regarder une série TV qui pourrait s’intituler "Kim et les garçons". Aussi, le thème des fanatiques religieux ou de moralité, qui revient en permanence, est plutôt lassant. Il y a tellement d’autres possibilités de méchants personnages dans de tels mondes.
La série "Aldébaran" est l’une de mes préférées avec la découverte de la Mantrisse, "Betelgueuse" est la mise en place de Kim en tant que leader, "Antares" le contact intensifié avec les extra-terrestres. "Les survivants" sont pour moi l’une des meilleures séries où il y a un renouveau du contexte et des personnages, et enfin "Le retour sur Aldébaran" qui, quelque part, fusionne toutes les séries de cette belle saga. La série "Bellatrix" retombe encore sur une histoire de fanatique religieux rétrograde. Pas intéressant du tout. Dommage.
En conclusion, c’est vraiment excellent, jusqu’au "Retour sur Aldébaran" qui clôt cette saga d’une très belle manière.
Les mondes d’Aldébaran, quelle saga incroyable. Quelle imagination ! La faune et la flore de ces planètes sont tout simplement incroyables. Leo, l’auteur, aime particulièrement les femmes jeunes, belles et fortes. C’est sympa, mais à certains moments, on a l’impression de regarder une série TV qui pourrait s’intituler "Kim et les garçons". Aussi, le thème des fanatiques religieux ou de moralité, qui revient en permanence, est plutôt lassant. Il y a tellement d’autres possibilités de méchants personnages dans de tels mondes.
La série "Aldébaran" est l’une de mes préférées avec la découverte de la Mantrisse, "Betelgueuse" est la mise en place de Kim en tant que leader, "Antares" le contact intensifié avec les extra-terrestres. "Les survivants" sont pour moi l’une des meilleures séries où il y a un renouveau du contexte et des personnages, et enfin "Le retour sur Aldébaran" qui, quelque part, fusionne toutes les séries de cette belle saga. La série "Bellatrix" retombe encore sur une histoire de fanatique religieux rétrograde. Pas intéressant du tout. Dommage.
En conclusion, c’est vraiment excellent, jusqu’au "Retour sur Aldébaran" qui clôt cette saga d’une très belle manière.
Les mondes d’Aldébaran, quelle saga incroyable. Quelle imagination ! La faune et la flore de ces planètes sont tout simplement incroyables. Leo, l’auteur, aime particulièrement les femmes jeunes, belles et fortes. C’est sympa, mais à certains moments, on a l’impression de regarder une série TV qui pourrait s’intituler "Kim et les garçons". Aussi, le thème des fanatiques religieux ou de moralité, qui revient en permanence, est plutôt lassant. Il y a tellement d’autres possibilités de méchants personnages dans de tels mondes.
La série "Aldébaran" est l’une de mes préférées avec la découverte de la Mantrisse, "Betelgueuse" est la mise en place de Kim en tant que leader, "Antares" le contact intensifié avec les extra-terrestres. "Les survivants" sont pour moi l’une des meilleures séries où il y a un renouveau du contexte et des personnages, et enfin "Le retour sur Aldébaran" qui, quelque part, fusionne toutes les séries de cette belle saga. La série "Bellatrix" retombe encore sur une histoire de fanatique religieux rétrograde. Pas intéressant du tout. Dommage.
En conclusion, c’est vraiment excellent, jusqu’au "Retour sur Aldébaran" qui clôt cette saga d’une très belle manière.
Quel scénario ! À sa création en 2000, cette BD pouvait être considérée comme une œuvre d’anticipation. Aujourd’hui, entre les IA et la réalité virtuelle, les aventures d’Alvin Norge sont devenues quasiment notre quotidien. Félicitations pour cet auteur visionnaire qu’est Chris Lamquet.
Les albums sont intenses, dynamiques et riches en rebondissements avec des personnages hauts en couleurs :-). Le graphisme est vraiment magnifique, les traits des personnages sont clairs et précis.
Alors oui, le dernier album n’a pas (encore ?) vu le jour, mais le tome 5 ne se finit pas trop mal non plus. C’est certain que l’on aimerait en savoir un peu plus et revoir les jolies Kimberley et Jennifer.
Une BD que je qualifierai de culte, tellement le scénario était/est avant-gardiste. Elle restera dans ma bibliothèque avec les autres séries indispensables.
C’est entre mythes et réalités qu’Algernon Woodcock, ce « petit » médecin de par sa taille, mais très grand de par son raisonnement, va devoir résoudre certains mystères.
Le graphisme est très beau, mais après quelques planches, ce côté sombre et les traits gras deviennent fatigants.
Le scénario, quant à lui, m’a moyennement plus, j’ai trouvé que cela un peu confus et sans grande surprise.
J’aime beaucoup l’approche graphique du Paris début 20e, cela ne parait pas au premier abord, mais c’est en fait très réaliste. Très beaux dessins et couleurs.
Pour ce qui est des scénarios, les 4 premiers albums sont vraiment supers, jusqu’aux momies. Certains passages m’ont beaucoup fait rire.
Par contre, les albums suivants, c’est du sans queue ni tête. J’ai complètement décroché, je les ai lu sans jamais pouvoir rentrer dans l’histoire. Plus que bof, c’est l’ennui total. En plus, ces personnages farfelus qui sont là juste pour dire qu’ils détestent Adèle, j’ai trouvé ça bizarre et inutile. Au final, le film de Luc Besson est une très belle synthèse de la bande dessinée.
A lire au moins une fois dans sa vie.
Une histoire fantastique qui se déroule juste avant la première mondiale. Elle aurait pu être écrite par un Jules Verne ou par un Merian C. Cooper (King Kong). Il y a de la tension, du suspense, une équipe de marins avec des expertises uniques et la découverte d’un monde de l’étrange. Cela manque de présence féminine, cela étant dit. Le scénario subit parfois quelques raccourcis un peu trop rapides entre les protagonistes se trouvant très éloignés les uns des autres.
Le dessin est quant à lui sublime. Entre le roman photoréaliste et le style peinture du début du siècle.
Une très belle histoire et un premier tome qui est maintenant coté.
J’ai trouvé le dessin et la mise en couleur exceptionnels. La découpe des planches est très bien pensée. Le dessin des personnages et les grandes étendues sauvages sont superbes.
Par contre, côté scénario, je suis un peu moins emballé. On nous laisse à penser que les minorités indiennes pour se faire valoir devaient être ultraviolentes… C’est vraiment cet aspect de violence gratuite, voire quelquefois gore, qui m’a plutôt déçu. Non pas que les dessins m’ont choqué, mais l’inutilité de mettre cette violence autant en valeur. Les personnages sont à la fois héros et antihéros, évidemment, ce n’est pas tout rouge ou tout blanc, mais les Blancs sont presque tous les gros méchants...
Un bon gros one shot de plus de 200 planches qui mérite d’être lu, mais pour ma part, je ne le garderai pas dans ma collection.
J’ai beaucoup aimé l’univers d’Aquablue, qui n’est pas sans rappeler le film "Avatar". Il y a tellement de similitudes, notamment sur le premier cycle, qu’il est évident que James Cameron a eu les albums entre les mains. Un peuple de pécheurs / chasseurs vivant dans une totale harmonie avec leur environnement paradisiaque, les méchants humains qui veulent s’approprier les ressources de la planète, l’humain sauveur qui s’intègre aux indigènes, la bataille de robots méca. Enfin, bref, beaucoup de références prises à Aquablue par M. Cameron.
Quoiqu’il en soit, le scénario est très dense sur les 5 premiers albums. Le deuxième cycle avec l’épave m’a plu également. C’est original, mis à part le fanatique religieux, thème, un peu trop récurrent dans les BD de l’époque. Le troisième cycle composé de deux albums est quant à lui intéressant, mais reste une histoire qui n’apporte pas vraiment grand-chose à l’univers Aquablue.
Côté dessin, le premier cycle m’a beaucoup plu. Le style des personnages et de Nao est dans le contexte de l’histoire. Sur les cycles suivants, le héros se transforme en une sorte de mec super balaise qui tranche avec le début.
Je n’ai pas continué sur les cycles suivants, ayant trouvé que le cycle 3 était une bonne conclusion à la saga.
Une de mes premières bandes dessinées de cape et d'épée. Les dessins sont superbes. J'ai beaucoup aimé cette intrigue se déroulant sous les règnes d'Henri IV et Louis XIII. Complots, traitises, justiciers masqués, hérétiques, fanatiques, sorciers et sorcières plantent le décor de cette œuvre. Les personnages sont bien travaillés. L'histoire est attelante.
Cette intégrale numéro 1 correspond aux premiers albums de 1 à 7, le premier cycle publié jusqu'en 1991. Elle comprend à la fin une lettre de Gabriel de Troil à Ariane et au début un supplément de 16 pages de croquis et de dessins signés A. Juillard.
Les auteurs ont repris la série à partir de 2014 pour deux nouveaux cycles. Je n'ai pas continué, je suis resté sur la série originale.
Magnifique, ces grands formats ! Dommage que la réédition des 24 premiers albums soit si longue ! La partie création de l'œuvre est vraiment très intéressante. Impressionnant de voir tous les détails que Goscinny fournissait à Uderzo sur chaque planche et incroyable la façon dont Uderzo était capable de les retranscrire sous forme de dessin. Vraiment une très belle édition.
J’adore ! Ce qui est formidable avec Astérix, c’est que même 30 ans, 40 ans après, les scénarios restent toujours d’actualité. Les sujets abordés sont toujours aussi proches de notre vie quotidienne.
La grande force du duo Goscinny-Uderzo est la double lecture des albums et le dessin aux cadrages parfaits : je ne m'en lasse toujours pas, même après des dizaines de relectures.
Mes albums préférés sont chez les 24 premiers de notre duo mythique. J’ai lu certains des albums post-Goscinny, mais les histoires manquent de consistance, dommage. J’ai donc arrêté ma collection Astérix chez les Belges.
Une BD cultissime !