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08/2020
(04 septembre 2020)54 pages Format normal 9782800169552401529
Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ? Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans... Lire la suite
Un album qui revisite les années 50-60, l'âge d’or de Spirou mais aussi les années guerre froide. Longtemps après Tintin, Spirou et Fantasio partent à leur tour au pays des Soviets pour des aventures très rythmées qui s’achèvent en fable qui compare communisme et capitalisme avec humour. On sent que les auteurs se sont régalés à faire cet album neo-vintage. Une petite étoile supplémentaire pour le passage goulag avec la très sexy et dominatrice femme du directeur, en manque de frites belges.
Un très bon cru, avec une critique sociale évidente. Preuve qu'il est encore possible de faire un bon Spirou, sans avoir les habituels méchants........Zantafio ou Zorglub
j'ai retrouvé dans cet album l'esprit propre à... Goscinny avec ses Astérix et leurs doubles ou triples niveaux de lecture. Beaucoup de clins d'oeil culturels tout en privilégiant une histoire efficace, tout comme les dessins. Les codes de Spirou & Fantasio sont repris mais sans basculer dans la succession de clichés. Un très bon cru.
J'ai l'impression de lire un album Spirou pour adulte. Même si il y a beaucoup de référence, j'ai aussi quelques hésitations sur le communisme vs le capitalisme. Cela m'a fait sourire, j'ai eu l'impression que c'était une parodie. Est-ce un album pour enfant jeune ou pour vieux resté jeune.
Un excellent cru ! On a vraiment l’impression de remonter le temps dans tous les sens du terme : l'époque choisie et l’histoire avec un scénario plein de références et de clins d'oeil à la BD franco-belge de la grande époque, les gags et bien sûr le style du dessin de Tarrin qui nous fait replonger dans les albums de Franquin !
Contrairement à mes respectés co-lecteur, cet album restera dans ma co-llection simplement parce que j'ai tous les autres...
Je n'ai pas particulièrement aimé cet opus qui manque d'originalité par rapport aux autres albums proposés dans la série "Spirou vu par..." Même si quelques gags sont sourires, j'avais trop souvent l'impression de lire un "femme en blanc" de Bercovici (trop de raccourcis rapide comme si le gag devait se terminer en fin de page.
De plus, le traitement communisme vs capitalisme est stéréotypé et sans profondeur: sans intérêt si on le met dans les mains des enfants et sans réflexion dans nos mains d'adultes...
Allez, vivement le prochain!
C'est dynamique et les dialogues très bons. Le côté cliché assumé par les auteurs apporte, je trouve, une bonne dose d'humour. Et les personnages secondaires sont bien trouvés (Pour ma part mention spéciale à Natalia la guide). Bref, j'ai beaucoup aimé et je pense que cet album peut susciter un intérêt pour les fans du Spirou version Franquin; Fantasio retrouve même ses aspirations d'inventeur avec le Fantaboussole, objet qui m'a bien fait rire (pauvre Spip!).
Ce Spirou chez les soviets est une aventure très agréable à suivre, replongeant le lecteur dans le courant des années 60 en pleine guerre froide mais surtout en pleine période Franquin. Les dialogues sont vifs, le dessin alerte et le plaisir de lecture est là.
Comme Herve26 j'ai savouré cet album. bien sûr l'histoire est un peu cliché mais c'est ce qui est drôle justement. Les multiples références aux albums de Franquin. Le dessin particulièrement soigné de Tarrin (grand coup de chapeau), le rythme et les dialogues sont excellents.
Pour ma part j'ai aimé l'album du début à la fin (ce qui est rare). Un régal.
Bonne dégustation
Un "Spirou" très vintage, que ce soit au niveau du dessin (stylé Franquin), du contexte de l'intrigue (la Guerre Froide, soit les années 50-60, considérées souvent comme celles de l'âge d'or de la série), du déroulement du scénario (avec énormément d'action rocambolesque, le tout saupoudré d'humour).
Bref, ça ressemble au vrai, ça a l'odeur du vrai, ça a presque le goût du vrai … mais ce n'est pas le vrai.
Cela fait des années que j'ai cessé d'acheter et de lire les albums de la série mère, vu la médiocrité des dessins lorsque je parcourais ces opus en librairie. Quant aux aventures de "Spirou & Frantasio vu par....", je les ai tous revendu car contrairement aux albums dessinés par Franquin, je ne les avais pas relu depuis leur achat. Je n'ai conservé que les aventures de Spirou réalisées par Franquin, évidemment, mais aussi par Fournier qui en fin de compte n'étaient pas si mal que cela malgré les critiques de l'époque et quelques albums signés Tome & Janry qui , rétrospectivement ont marqués l'histoire de Spirou et Fantasio.
Alors pourquoi avoir craqué pour cet album précis?
Tout d'abord, il faut saluer les éditions Dupuis d'avoir proposé une édition de qualité avec dos rond , à un prix très abordable. Nostalgique de cette époque, cela m'a attiré.
Et puis, l'époque de la guerre froide, thème de cet opus, m'intéressait. Et puis, même si le scénario pour "le tombeau des Champignac" ne m'avait guère emballé, j'avais souligné la qualité du dessin de Fabrice Tarrin à l'époque.
Avec "Spirou chez les Soviets" Tarrin & Neidhardt nous offrent un album de qualité qui ravira, je l'espère, les lecteurs de "Spirou" canal historique. J'ai particulièrement apprécié la première partie de l'album, avec le château de Champignac, les bureaux des éditions Dupuis (avec l'apparition plus que furtive d'un Gaston Lagaffe égal à lui-même, un Monsieur Boulier toujours aussi tatillon et d'autres personnages de la rédaction, bref que du bonheur !
Contrairement à certains, je n'ai pas trouvé une baisse de régime avec la partie se déroulant sur sol soviétique. C'est assez drôle, bien enlevé et je ne me suis pas ennuyé une seconde.
Bref, pour la première fois, depuis une dizaine d'année, j'ai pris un plaisir fou à lire un album de "Spirou et Fantasio" (je passe sous silence volontairement les albums d'Emile Bravo, d'une qualité remarquables à tout point de vue, mais que j'ai du mal à placer dans la série des "Spirou et Fantasio").
Un dessin qui lorgne vers les albums historiques, un scénario qui tient la route, le tout enrobé d''un travail éditorial d'une grande qualité pour le format "dos rond", que demander de plus?
Rien, sinon de continuer dans cette voie pour que les vieux lecteurs comme moi de "Spirou et Fantasio" (que je lis depuis mes 7/8 ans, j'en ai 51 aujourd'hui) reprennent enfin la lecture d'une série qu'adorait mon père, et , que faute de ligne éditoriale claire, j'ai arrêté de suivre et que je n'arrive pas à faire apprécier de mes enfants.
Une histoire sympathique, bourrée de références aux autres albums de Spirou et de Gaston.
Les débuts à Champignac et en Belgique sont très bons, pleins d’humour et bien rythmés. Mais l’arrivée en URSS m’a déçu, comme globalement toute la fin de l’histoire.
Le rythme est moins fluide, il y a trop de clichés un peu lourdingues et pas toujours drôles sur le communisme et le capitalisme. Ça a fait grincer mes dents d’enseignant d’histoire...
Dommage : les dessins sont bons, en particulier les décors « à la Franquin ».
Info édition : Édition spéciale grand format, dos rond.
Nouvelle colorisation par rapport au TL et couverture légèrement modifiée (pas de butée de rails ...).
Noté R. 10/2020.
Info édition : SPIROU CHEZ LES SOVIETS version Krayonnée
Limité à 500 exemplaires
Neidhardt (scénario)
Tarrin (dessin)
Un album de 88 pages,
Cette édition limitée reproduit l’intégralité des planches de Fabrice Tarrin dans leur version crayonnée !
format 23,5 × 31 cm, numéroté et
signé par Fabrice TARRIN et Fred NEIDHARDT !
Contenant :
– L’intégralité de l’album SPIROU CHEZ LES SOVIETS, entièrement en facsimilé de planches originales dans leur version crayonnée !
– Les planches sont présentées dans leur première étape, sans remontage.
– Certaines planches existent en plusieurs versions, elles sont à découvrir en vis à vis.
– Ce travail préparatoire permet d’apprécier le processus créatif effectué en amont par les auteurs.
L’album est au même format que l’édition classique Dupuis à dos rond afin de pouvoir le ranger soigneusement à côté.
Info édition : Limité à 350 exemplaires
Un album de 104 pages,
Cette édition limitée reproduit l’intégralité des planches originales de Fabrice TARRIN.
format 30×42 cm, numéroté et
signé par Fabrice TARRIN et Fred NEIDHARDT !
Contenant :
– L’intégralité de l’album SPIROU CHEZ LES SOVIETS, entièrement en facsimilé de planches originales à leur taille réelle !
– 20 pages de cahier graphique couleur LE DOSSIER DES SOVIETS reprenant des illustrations, des recherches, les premières versions abandonnées de l’histoire et bien plus encore.
– 25 pages LE PORTFOLIO de Fabrice TARRIN reprenant les histoires courtes : La jeunesse Héroïque de Fantasio, le conte du Champignap ainsi que divers hommages,
– Un luxueux Tiré à part réalisé aux encres pigmentaires. Il est signé par Fabrice TARRIN, format 14 x 36 cm,
– Un Frontispice justificatif de tirage inséré dans la reliure et signé par les auteurs et tamponné manuellement par le Politburo.
couverture cartonnée,
Dos rond avec marquage à chaud du titre en OR sur le dos, la couverture et le 4ème de couverture, tranchefile or.
Imprimé sur papier Beau papier Munken 170g.
Un album qui revisite les années 50-60, l'âge d’or de Spirou mais aussi les années guerre froide. Longtemps après Tintin, Spirou et Fantasio partent à leur tour au pays des Soviets pour des aventures très rythmées qui s’achèvent en fable qui compare communisme et capitalisme avec humour. On sent que les auteurs se sont régalés à faire cet album neo-vintage. Une petite étoile supplémentaire pour le passage goulag avec la très sexy et dominatrice femme du directeur, en manque de frites belges.
Un très bon cru, avec une critique sociale évidente. Preuve qu'il est encore possible de faire un bon Spirou, sans avoir les habituels méchants........Zantafio ou Zorglub
j'ai retrouvé dans cet album l'esprit propre à... Goscinny avec ses Astérix et leurs doubles ou triples niveaux de lecture. Beaucoup de clins d'oeil culturels tout en privilégiant une histoire efficace, tout comme les dessins. Les codes de Spirou & Fantasio sont repris mais sans basculer dans la succession de clichés. Un très bon cru.
J'ai l'impression de lire un album Spirou pour adulte. Même si il y a beaucoup de référence, j'ai aussi quelques hésitations sur le communisme vs le capitalisme. Cela m'a fait sourire, j'ai eu l'impression que c'était une parodie. Est-ce un album pour enfant jeune ou pour vieux resté jeune.
Un excellent cru ! On a vraiment l’impression de remonter le temps dans tous les sens du terme : l'époque choisie et l’histoire avec un scénario plein de références et de clins d'oeil à la BD franco-belge de la grande époque, les gags et bien sûr le style du dessin de Tarrin qui nous fait replonger dans les albums de Franquin !
Contrairement à mes respectés co-lecteur, cet album restera dans ma co-llection simplement parce que j'ai tous les autres...
Je n'ai pas particulièrement aimé cet opus qui manque d'originalité par rapport aux autres albums proposés dans la série "Spirou vu par..." Même si quelques gags sont sourires, j'avais trop souvent l'impression de lire un "femme en blanc" de Bercovici (trop de raccourcis rapide comme si le gag devait se terminer en fin de page.
De plus, le traitement communisme vs capitalisme est stéréotypé et sans profondeur: sans intérêt si on le met dans les mains des enfants et sans réflexion dans nos mains d'adultes...
Allez, vivement le prochain!
C'est dynamique et les dialogues très bons. Le côté cliché assumé par les auteurs apporte, je trouve, une bonne dose d'humour. Et les personnages secondaires sont bien trouvés (Pour ma part mention spéciale à Natalia la guide). Bref, j'ai beaucoup aimé et je pense que cet album peut susciter un intérêt pour les fans du Spirou version Franquin; Fantasio retrouve même ses aspirations d'inventeur avec le Fantaboussole, objet qui m'a bien fait rire (pauvre Spip!).
Formidable.
J'ai l'impression de lire une BD de mon adolescence (1975),
revu et corrigé avec les gouts, infos et idées de 2020.
Ce Spirou chez les soviets est une aventure très agréable à suivre, replongeant le lecteur dans le courant des années 60 en pleine guerre froide mais surtout en pleine période Franquin. Les dialogues sont vifs, le dessin alerte et le plaisir de lecture est là.
note3,5/5
Comme Herve26 j'ai savouré cet album. bien sûr l'histoire est un peu cliché mais c'est ce qui est drôle justement. Les multiples références aux albums de Franquin. Le dessin particulièrement soigné de Tarrin (grand coup de chapeau), le rythme et les dialogues sont excellents.
Pour ma part j'ai aimé l'album du début à la fin (ce qui est rare). Un régal.
Bonne dégustation
Un "Spirou" très vintage, que ce soit au niveau du dessin (stylé Franquin), du contexte de l'intrigue (la Guerre Froide, soit les années 50-60, considérées souvent comme celles de l'âge d'or de la série), du déroulement du scénario (avec énormément d'action rocambolesque, le tout saupoudré d'humour).
Bref, ça ressemble au vrai, ça a l'odeur du vrai, ça a presque le goût du vrai … mais ce n'est pas le vrai.
Cela fait des années que j'ai cessé d'acheter et de lire les albums de la série mère, vu la médiocrité des dessins lorsque je parcourais ces opus en librairie. Quant aux aventures de "Spirou & Frantasio vu par....", je les ai tous revendu car contrairement aux albums dessinés par Franquin, je ne les avais pas relu depuis leur achat. Je n'ai conservé que les aventures de Spirou réalisées par Franquin, évidemment, mais aussi par Fournier qui en fin de compte n'étaient pas si mal que cela malgré les critiques de l'époque et quelques albums signés Tome & Janry qui , rétrospectivement ont marqués l'histoire de Spirou et Fantasio.
Alors pourquoi avoir craqué pour cet album précis?
Tout d'abord, il faut saluer les éditions Dupuis d'avoir proposé une édition de qualité avec dos rond , à un prix très abordable. Nostalgique de cette époque, cela m'a attiré.
Et puis, l'époque de la guerre froide, thème de cet opus, m'intéressait. Et puis, même si le scénario pour "le tombeau des Champignac" ne m'avait guère emballé, j'avais souligné la qualité du dessin de Fabrice Tarrin à l'époque.
Avec "Spirou chez les Soviets" Tarrin & Neidhardt nous offrent un album de qualité qui ravira, je l'espère, les lecteurs de "Spirou" canal historique. J'ai particulièrement apprécié la première partie de l'album, avec le château de Champignac, les bureaux des éditions Dupuis (avec l'apparition plus que furtive d'un Gaston Lagaffe égal à lui-même, un Monsieur Boulier toujours aussi tatillon et d'autres personnages de la rédaction, bref que du bonheur !
Contrairement à certains, je n'ai pas trouvé une baisse de régime avec la partie se déroulant sur sol soviétique. C'est assez drôle, bien enlevé et je ne me suis pas ennuyé une seconde.
Bref, pour la première fois, depuis une dizaine d'année, j'ai pris un plaisir fou à lire un album de "Spirou et Fantasio" (je passe sous silence volontairement les albums d'Emile Bravo, d'une qualité remarquables à tout point de vue, mais que j'ai du mal à placer dans la série des "Spirou et Fantasio").
Un dessin qui lorgne vers les albums historiques, un scénario qui tient la route, le tout enrobé d''un travail éditorial d'une grande qualité pour le format "dos rond", que demander de plus?
Rien, sinon de continuer dans cette voie pour que les vieux lecteurs comme moi de "Spirou et Fantasio" (que je lis depuis mes 7/8 ans, j'en ai 51 aujourd'hui) reprennent enfin la lecture d'une série qu'adorait mon père, et , que faute de ligne éditoriale claire, j'ai arrêté de suivre et que je n'arrive pas à faire apprécier de mes enfants.
Une histoire sympathique, bourrée de références aux autres albums de Spirou et de Gaston.
Les débuts à Champignac et en Belgique sont très bons, pleins d’humour et bien rythmés. Mais l’arrivée en URSS m’a déçu, comme globalement toute la fin de l’histoire.
Le rythme est moins fluide, il y a trop de clichés un peu lourdingues et pas toujours drôles sur le communisme et le capitalisme. Ça a fait grincer mes dents d’enseignant d’histoire...
Dommage : les dessins sont bons, en particulier les décors « à la Franquin ».