Lucky Luke
57. Nitroglycérine
Une BD de Hartog Van Banda, Lo et Morris - Dargaud - 1987
Lucky Luke est chargé par la Central Pacific de veiller à la sécurité du chantier de construction de la voie ferrée qui doit relier la côte Ouest à la côte Est. Car la concurrence est rude entre les deux compagnies ! Tous les moyens sont bons pour retarder la partie adverse. Lucky Luke devra affronter des saboteurs, les Dalton et d’autres bandits mais aussi un adversaire inattendu : la nitroglycérine !
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Poche1 -

Poche2






Cet épisode de Lucky Luke est sans doute l’un des plus originaux de la série. Il s’éloigne de tout ce qu’on avait pu voir jusqu’à présent. Morris fait appel pour la deuxième fois à l’auteur néerlandais Lo Hartog Van Banda. Celui-ci livre un album où le burlesque domine constamment.
L’histoire rappelle bien évidemment des rails sur la prairie et la lutte entre l’Union Pacific et la Central qui sont aussi un des thèmes de Blueberry avec le cycle du cheval de fer. Mais cette fois au lieu d’évoquer toute la construction du chemin de fer, les auteurs s’intéressent au transport d’une caisse de nitroglycérine sur un train. Deux groupes de bandits (dont les Dalton qui reviennent encore une fois en faire-valoir) veulent s’accaparer la caisse. Les Dalton sont même persuadés que le train convoie de l’or.
Cela donne lieu à une course-poursuite effrénée, mais qui n’est pas dans le style du trajet à embuches. On est plus dans l’univers des dessins animés de la Warner Bros. Et c’est sans doute là que le bas blesse. On ne reconnaît plus vraiment le Lucky Luke des années Goscinny. Comme dans le bandit manchot, ou Fingers, on est dans le grand-guignol. Le train est emmené par un capitaine de navire qui ressemble au Capitaine Haddock avec un perroquet qui assène des jurons à la pelle. Le personnage est sympathique, mais en devient presque caricatural. Les Dalton et Lucky Luke semblent se courir après dans un éternel jeu du chat et de la souris qui tourne littéralement en rond et finit par lasser. Le dessin de Morris reste bon, mais on sent comme une fin d’époque...
Ce n'est pas le meilleur album mais je le trouve très bien je vous conseille de le lire car vous passerez un bon moment
Pas mal. Lucky Luke a à faire dans cet album à deux gangs de "méchants" : les Dalton et ceux à la solde de l'Union Pacific. Le running-gag du chef de gare est très bon. Ce n'est certes pas l'album du siècle, mais il se lit bien.