
Julie Wood
7. Ouragan sur Daytona
Une BD de Jean Graton - EDI-3 - 1980
Julie se rend à la semaine de la moto de Daytona, en Floride. Lors de cette grand messe de la moto, elle va participer à l’épreuve de cross pour l’équipe Honda.
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7. Ouragan sur Daytona | PHILGUZZ | Très bon état | 9.00€ | |
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Info édition : DL: 2ème trimestre 1980
Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Balade en brocante et, hop, quelques albums achetés à quelques euros et me voici avec un "Julie Wood", spin of dans les années 70 de la série Michel Vaillant.
Bon, ici, rien n'est bon. Julie Wood qui est logiquement le personnage principal est inexistante. Inexistante comme le Jeannot, qui, à part Julie Wood, ne dessine rien d'autres. Oui, cela se voit sur les visages, les corps, les paysages et les engins si différents de la plume de Graton. L'histoire est tout aussi insignifiante. Les cases sont immenses pour étirer l'histoire, racontée en voix off, pour atteindre les 46 planches nécessaires. Et l'histoire, en plus, n'a aucun enjeu et même n'a ni corps, ni tête.
Reste l'ambiance grise, orageuse, sombre qui est joliment drapée. Il y a là une certaine idée du moment autour du circuit de Daytona qui rend la lecture nostalgique et surannée. Nostalgique aussi de lire un album d'une maison d'édition qui n'existe plus.
Bref, malgré un vide certain, la mélancolie nous prend. même les pages jaunes ont cette odeur si caractéristique du temps qui passe...Sympa
Si l'intrigue est vraiment minimaliste et se résume à quelques scènes de courses et à une improbable bagarre de motard, l'étude des personnages (à part Julie of course) est quant à elle carrément inexistante !
Pourtant cela ravive un certain plaisir de lecture à ceux, comme moi, pour qui Julie évoque des souvenirs de jeunes lecteurs !