
Jeremiah
12. Julius & Roméa
Une BD de Hermann - Novedi - 1986
Jeremiah et Kurdy, à nouveau sur la piste d'un soi disant bon plan pour gagner de l'argent, se font engager comme hommes d'entretien dans une ville privée, leur boulot consistant à nettoyer les rues et surtout de jamais s'adresser aux habitants... Pendant ce temps se nouent d'autres petites intrigues comme, par exemple, l'incessante mélodie que chante Julius le pouilleux pour communiquer avec Romea, la fille du président de la cité. Nos deux héros vont aussi vite découvrir que derrière ces murs se jouent d'étranges courses de taureau. Dans quelle... Lire la suite
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Tome 40 -
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Ça manque beaucoup d'unité dans cet album ; l'ange noir apparaît et disparait sans intérêt pour l'histoire ; et la colorisation Hermann n'est pas la hauteur de la précédente.
Dans ce douzième volume de la série Jeremiah, Hermann propose une intrigue riche en action et rebondissements, mais dont la construction narrative me paraît parfois confuse. Selon moi, l'auteur semble hésiter entre plusieurs pistes scénaristiques, ce qui donne l'impression qu'il se disperse un peu trop, rendant certains éléments narratifs inutiles.
Concernant Julius et Roméa, leurs rôles dans l'histoire ne sont pas très clairs. Peut-être qu'Hermann souhaitait simplement démontrer que l'amour romantique pouvait encore exister dans un univers post-apocalyptique, mais leur présence me paraît parfois artificielle. De même, je ne comprends pas très bien la présence mystérieuse de l'homme noir : son rôle demeure inexpliqué et paraît superflu dans le déroulement du récit.
Côté graphique, Hermann innove en réalisant lui-même la colorisation, livrant ainsi des planches magnifiques et dynamiques. Son trait expressif et ses décors travaillés renforcent efficacement l'atmosphère unique de la série. Malgré cette réussite visuelle indéniable, les lecteurs fidèles pourraient ressentir une légère impression de répétition par rapport à des intrigues précédentes.
Ce tome est riche en action et visuellement réussi, mais j'aurais préféré une narration plus cohérente et une meilleure intégration des personnages secondaires. Il reste néanmoins incontournable pour les fans inconditionnels de la série Jeremiah.
Jeremiah et Kurdy vont atterrir dans une ville nouvelle où apparemment les traitements sont différents d’un individu à un autre. Les travails pour ceux qui arrivent de l’extérieur sont plutôt pénibles, sauf pour Jeremiah, qui lui a droit à un traitement de faveur. Je trouve l’histoire très originale et l’image de fin me plaît énormément.
On pourrait l'appeler la parodie de Roméo et Juliette.
Dans une ville trop propre et trop disipliné, un homme masqué séme la zizanie.
On en entendra que très peu parler, par contre plus le coté caché de cette soit disante ville tranquille.
Une pure merveille, que du bonheur, cet album comme les autres d'ailleurd.