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Un second tome dans la directe continuité du précédent en tous points.
Il reste aussi déstabilisant que 20th century boy, ce manga, voire plus…
Parce qu’il est tout et son contraire…
A la fois, il part dans tous les sens, il y a des ellipses qui tombent comme un cheveu sur la soupe sans comprendre pourquoi on change de scènes parce que ça ne paraissait pas fini, des dialogues un peu partout et des phrases sorties de nulle part (comme la mangaka qui met d’un coup dans les marges qu’elle a de la fièvre…).
Et en même temps, ça donne un côté vivant, nature, qui fonctionne bien.
A la fois, ça promet une histoire assez intéressante, des gens qui se transforment en animaux, un grand chef à qui on obéit mais sans plus d’envie, on dirait qu’il va y avoir un combat pour une place ou on sait pas, un truc assez vaste.
Et en même temps, tout est super anecdotique entre le repas, la vaisselle ou la fête de l’école…
A la fois, y’a plein de gens qui débarquent – forcément, il doit y avoir 12 personnes – sans qu’on comprennent bien qui est qui, il arrive, il repart, et l’autre a eu une copine mais non, en plus c’est le pote du copain qui avait…
Et en même temps, quand on ferme le livre tout est assez clair et cohérent…
C’est donc une sorte de joyeux bazar pas désagréable quand on l’a lu mais un peu laborieux parfois quand on le lit…
Un second tome dans la directe continuité du précédent en tous points.
Il reste aussi déstabilisant que 20th century boy, ce manga, voire plus…
Parce qu’il est tout et son contraire…
A la fois, il part dans tous les sens, il y a des ellipses qui tombent comme un cheveu sur la soupe sans comprendre pourquoi on change de scènes parce que ça ne paraissait pas fini, des dialogues un peu partout et des phrases sorties de nulle part (comme la mangaka qui met d’un coup dans les marges qu’elle a de la fièvre…).
Et en même temps, ça donne un côté vivant, nature, qui fonctionne bien.
A la fois, ça promet une histoire assez intéressante, des gens qui se transforment en animaux, un grand chef à qui on obéit mais sans plus d’envie, on dirait qu’il va y avoir un combat pour une place ou on sait pas, un truc assez vaste.
Et en même temps, tout est super anecdotique entre le repas, la vaisselle ou la fête de l’école…
A la fois, y’a plein de gens qui débarquent – forcément, il doit y avoir 12 personnes – sans qu’on comprennent bien qui est qui, il arrive, il repart, et l’autre a eu une copine mais non, en plus c’est le pote du copain qui avait…
Et en même temps, quand on ferme le livre tout est assez clair et cohérent…
C’est donc une sorte de joyeux bazar pas désagréable quand on l’a lu mais un peu laborieux parfois quand on le lit…