©Le Lézard Noir 2010 Maruo
Album créé dans la bedetheque le 30/10/2010 (Dernière modification le 13/02/2021 à 18:16) par reg95
La chenille
Une BD de
Suehiro Maruo
- Le Lézard Noir
- 2010
Maruo, Suehiro
(Scénario)
Maruo, Suehiro
(Dessin)
<N&B>
(Couleurs)
Slocombe, Miyako
(Traduction)
Edogawa, Ranpo
(Adapté de)
Acheter l'album
Un partenariat 
En savoir plus ?
- Vendu et expédié par BDfugue
- Disponible d'occasion sur BDfugue.com
En savoir plus ?
Album indisponible chez
Cet album n'est pas encore (ou plus) disponible
chez notre partenaire.
Cet album n'est pas encore (ou plus) disponiblechez notre partenaire.
Disponible d'occasion sur BDfugue.com
Quand une histoire devient trop glauque ou bizarre, je n'aime pas forcément. En effet, j'ai été plutôt assez dégoûté par la lecture de ce manga. On ne peut pas être plus clair. Maintenant, je sais qu'il en faut pour tous les goûts en ce monde et tous les avis se respectent. Certes, la chenille a fait danser des générations de gens mais il faut vraiment aimer se tortiller.
Une femme fait l'amour à un homme chenille avec une grande dose de perversion. On peut y voir une forme d'art ou de vilenie morbide. Certes, le pauvre homme a des circonstances atténuantes puisqu'il a été blessé au combat. On peut voir également une forme de compassion chez cette femme qui se donne à fond.
Mais bon, il vrai qu'elle ira quand même jusqu'à commettre l'irréparable. Cela commence d'ailleurs par ce meurtre horrible. Puis, on observera tout le cheminement jusqu'au frontière du sadisme. C'est en effet assez glauque, plutôt trash, très malsain, avec un brin de violence. Au final, c'est assez dérangeant ! De toute façon, c'est à réservé à un public très averti.
Comme dit, je déconseille quand d'autres pourront toutefois y voir un délice. Pour les amateurs du genre. A vous de voir !
Maruo est presque un genre a lui seul dans le manga, celui de l'ero guro et cette histoire écrite à la base par Ranpo est un délice pour les amateurs du genre. On y ressent le dégout de la guerre comme dans les dessins d'Otto Dix . Maruo maitrise son art et c'est un indispensable.