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11/1995
46 pages Format normal 2205044605
5 à 10 euros 811
Campbell, écrivain de Denver et son adjoint Billy débarquent à Tombstone pour retranscrire les exploits de Blueberry. Celui-ci, devenu riche passe son temps à jouer au poker pendant que les frères Earp tentent de faire respecter la loi troublée par les Mac Laury et les Stanton.
Pour la première fois, Giraud est seul au scénario et au dessin et, à mon avis, il s’en sort très très bien. Certains ont pu critiquer l’évolution du personnage de Blueberry, le trouvant trop statique ; je trouve cela injustifié. Je pense même que cette évolution du personnage est très intéressante.
On redécouvre un Blueberry, environ dix ans après qu’il ait été blanchi dans l’affaire de l’or de Maximilien. Le personnage a changé, fini les grandes courses-poursuites, il s’est stabilisé à Tombstone, où il est devenu un joueur professionnel.
J’aime beaucoup cette approche du personnage, il ne bouge pas de sa table lors d’une partie de poker haletante. Pendant ce temps-là se joue ce qui deviendra le célèbre règlement de compte à OK Corral. Comme souvent, on est content de rencontrer des personnages ayant réellement existé comme les frères Earp, Doc Holiday ou les Clanton.
On a l’impression que Blueberry est plus spectateur des drames qui se déroulent dans la ville que véritable acteur. Certes, le récit de Giraud est moins limpide que celui de Charlier, puisqu’il multiplie les événements dans des narrations parallèles. Mais, cela permet de faire monter une forme de pression durant tout l’album et d’arriver à une chute finale impressionnante.
Un album exceptionnel à plus d’un titre puisqu’il permit de dénouer l’intrigue de la tentative d’assassinat de Grant, ainsi que celle de l’or de Maximilien.
Comme un dernier hommage, une grande partie du casting de Blueberry est présente : Mac Clure, Red Neck, Dodge, Angel Face, Alister, le président Grant en personne. Charlier conclut avec brio la longue aventure de Blueberry hors-la-loi. Ce sera d’ailleurs le dernier album qu’il supervisera intégralement.
Au dessin, Giraud est revenu à un style plus classique, moins moebusien. Les auteurs font planer l’idée d’une suite, puisqu’à la fin Blueberry part à la recherche de Pearl. Mais c’est une autre histoire.
Giraud revient seul avec un nouveau cycle du lieutenant… ou plutôt de Mister Blueberry. Et quelle claque !
Graphiquement, c’est toujours aussi bon. On retrouve le style d’Arizona Love, où l’auteur révèle toute la richesse de son art : rigueur du trait et profusion des détails, propres à la série, mais avec plus d’épure et une fougue esthétique, expérimentée sous son pseudonyme Moebius.
Giraud fait donc du neuf avec du vieux : après tout, c’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures confitures….
Et c’est bien le propos du livre : un ensemble de récits secondaires tourbillonnent autour d'un Blueberry âgé (il commence à avoir des cheveux blancs, comme son auteur…), posé le cul sur une chaise à faire des jeux de hasard.
Les thématiques sont toujours un peu les mêmes (en particulier le poker, les tireurs d’élite, l’ambiance de saloon, les Apaches, les outlaws…), tout comme les planches restent découpées en deux parties (A et B) dans leur largeur.
Comme ce fut le cas dans les précédents albums, certains personnages m'ont fait penser à des personnages réels ou fictifs : c’est Campbell, aussi boursouflé que Balzac, ou son secrétaire, au petit air de Little Némo mais adulte…
Dans les albums suivants ce seront aussi Bluch, Lucky Luke, Neige, Mac Donald's, Billy the Kid, Mickey, Harry Potter, le déjeuner de Monet et j'en passe... Des clins d’œil un peu lourdingues en réalité.
De fait, quoique Giraud a essayé de rester dans le cadre, le scénario contraste un peu avec ceux de Charlier auparavant. D'une dimension moebiusienne, il n'en demeure pas moins réussi.
J’ai été happé dès l’accroche, avec une mise en abîme où Campbell et son secrétaire venus de Boston, en bons pieds tendres, découvrent l’Ouest avec stupeur.
Le plus jeune, commençant à se faire des « films », son patron lui répond : « Billy, tu as trop lu d’histoires de cow boy »...
Et puis quelle tension, que ce soit autour des mises du poker, du bluff, des relations parfois tumultueuses entre les personnages… mais surtout de la ville toute entière, qui semble comme prise dans la folie d’un jeu dangereux.
Giraud profite aussi de ce cycle pour développer, en creux, certaines réflexions contemporaines sur les Western voir la littérature.
D’un côté, il recycle les mythes de l’Ouest (Earp, Géronimo…), de l’autre il cherche à démontrer certaines de ses incohérences (garçons de vaches).
De la même manière, il semble faire un parallèle, pas si vaniteux, entre Homère et le mythe de l’Ouest, entre le théâtre et Blueberry…
Une manière de dire toute sa fierté, celle d'avoir contribué à une série marquante pour plusieurs générations.
Car oui, cette BD est exceptionnelle. Encore aujourd'hui, elle me fait passer par toutes les émotions : la peur, le rire, la joie, la surprise…
Ce seul volume justifie à lui seul le grand prix d'Angoulême, obtenu par Giraud 14 ans auparavant déjà.
Ce volume est le premier de la série à ne pas avoir été scénarisé par Charlier, qui était décédé cinq ans plus tôt. C'est le dessinateur Jean Giraud qui s'occupera dorénavant des scénarios de la série, qui pour le coup change de nom, pour devenir "Mister Blueberry". Ce dernier se trouve maintenant dans la ville de Tombstone, où sa principale occupation est de dépenser sa nouvelle fortune au poker. Il ne quittera d'ailleurs la table de jeu qu'en fin de volume, ce qui permet de mettre en lumière les nouveaux personnages secondaires de la série, dont certains se trouvent être de vraies légendes de l'Ouest, comme Wyatt Earp ou encore Geronimo. Si le scénario de ce volume n'a en soi rien d'exceptionnel, il est largement compensé par la dernière planche, un coup de théâtre mémorable.
retour de plus cèlèbre ex militaire de la bd, un album de rodage pour redèmarrer la grande aventure, l album n est pas le meilleur mais il fallait ça aprèt cinq ans d arrèt blueberry devenue joueur de poker avec son pognon se trouve a tombstone peux de temp avant le trop fameux duel. gir n assume pas la couleur mais celle ci issue d une nouvelle technique reste correct; la nouvelle compagne de blueberry est elle aussi brune comme isabelle sacrè giraud
Le plus bel épisode de la série sans aucun doute.
Ici c'est l'ouest sauvage mais résumé dans un saloon et grâce à une galerie de personnages touchant parfois ridicules parfois stéréotypé mais tous profondément humains.
Clin d'oeil à Tombstone et à Wyatt Earp en plus.
Une fin d'album sublime et une couverture d'anthologie.
Que du bonheur.
9/10.
L'un des sommets de l'oeuvre de Jean Giraud! Une maîtrise exceptionnelle du dessin (certaines cases mériteraient d'être tirées en posters grand format). Des personnages vivants, suintants et tout simplement réalistes. Le dessinateur/scanériste a vieilli, son héros aussi, et la maturité venant tout devient plus calme et "réfléchi". Empreint de nostalgie d'un temps (la jeunesse?) qui s'efface, ce Mister Blueberry séduira les amateurs de graphismes d'exception et de subtilité psychologique. Pendant tout cet épisode, notre lieutenant favori ne fait que jouer au poker pendant que le destin de son monde se noue autour de lui. Et quand il se lève de table, ce n'est que pour se faire tirer dans le dos. Bref, une magnifique parabole de la vie d'un aventurier qui nous a fait rêver pendant cinq décennies. A déconseiller formellement aux adolescents boutonneux et aux fans de "boum-boum, bang-bang". A noter que la suite de ce cycle qui s'achève avec Dust est du même calibre et constitue un superbe point final pour cette série de référence.
Me voiçi donc à lire cet album que j'ai pu acheter en EO.
Me diriez vous pourquoi?, tous simplement car en se moment j'ai envie de découvrir des nouvelle séries meme si je ne les aient pas toujours apprécié par le passé.
Içi, l'histoire est sympatique, mais est assez longue, le dessin de Giraud est correct et moyen par moment.
Pour ma part c'est loin d'etre le meilleur western, mais je suis content de m'étre réconcilié avec la série.
Je viens de renouer avec mon vieux pote le lieutenant grâce à ce cycle dessiné par GIRAUD. Quel plaisir de retrouver le vrai Blkueberry dont j'ai lu et relu toutes les aventures depuis fort Navajo jusqu'à Arizona love.
Info édition : 2° page : "Dépôt légal : mai 2003".
4° de couverture : Dernier titre paru "Geronimo l'apache", dernier Marshal paru "Frontière sanglante", dernier Jeunesse paru le 13 "Il faut tuer Lincoln", à paraître "Le boucher de Cincinnati"
Info édition : Logo Dargaud sur fond orange. Au 4e plat, 28 titres Blueberry, 3 titres Marshall Blueberry, 13 titres La jeunesse de Blueberry et 1 à paraître, et 3 titres Hors collection.
Info édition : Encart de 4 pages en tête d'album :
p1 : affichage de Blueberry type "Wanted" ;
p2 et 3 : chronologie des albums du "Lieutenant", du "Marshal" et de la "Jeunesse" ;
p4 : biographie des 2 auteurs, Charlier et Giraud + bande-annonce du film.
Info édition : Très grand format : 30 x 40 cm. Noté "Première édition". Cette édition en noir et blanc reprend les planches originales de Jean Giraud. Celles-ci ont été entièrement rescannées afin que le maximum de détails - finesse des traits, grisés, densité des aplats de noir, précision des arrière-plans, et les quelques repentir de l'auteur - puissent être vus. Cinq cases sont reprises pleine page et insérées en hors-texte.
Pour la première fois, Giraud est seul au scénario et au dessin et, à mon avis, il s’en sort très très bien. Certains ont pu critiquer l’évolution du personnage de Blueberry, le trouvant trop statique ; je trouve cela injustifié. Je pense même que cette évolution du personnage est très intéressante.
On redécouvre un Blueberry, environ dix ans après qu’il ait été blanchi dans l’affaire de l’or de Maximilien. Le personnage a changé, fini les grandes courses-poursuites, il s’est stabilisé à Tombstone, où il est devenu un joueur professionnel.
J’aime beaucoup cette approche du personnage, il ne bouge pas de sa table lors d’une partie de poker haletante. Pendant ce temps-là se joue ce qui deviendra le célèbre règlement de compte à OK Corral. Comme souvent, on est content de rencontrer des personnages ayant réellement existé comme les frères Earp, Doc Holiday ou les Clanton.
On a l’impression que Blueberry est plus spectateur des drames qui se déroulent dans la ville que véritable acteur. Certes, le récit de Giraud est moins limpide que celui de Charlier, puisqu’il multiplie les événements dans des narrations parallèles. Mais, cela permet de faire monter une forme de pression durant tout l’album et d’arriver à une chute finale impressionnante.
Un album exceptionnel à plus d’un titre puisqu’il permit de dénouer l’intrigue de la tentative d’assassinat de Grant, ainsi que celle de l’or de Maximilien.
Comme un dernier hommage, une grande partie du casting de Blueberry est présente : Mac Clure, Red Neck, Dodge, Angel Face, Alister, le président Grant en personne. Charlier conclut avec brio la longue aventure de Blueberry hors-la-loi. Ce sera d’ailleurs le dernier album qu’il supervisera intégralement.
Au dessin, Giraud est revenu à un style plus classique, moins moebusien. Les auteurs font planer l’idée d’une suite, puisqu’à la fin Blueberry part à la recherche de Pearl. Mais c’est une autre histoire.
Wahou…
Giraud revient seul avec un nouveau cycle du lieutenant… ou plutôt de Mister Blueberry. Et quelle claque !
Graphiquement, c’est toujours aussi bon. On retrouve le style d’Arizona Love, où l’auteur révèle toute la richesse de son art : rigueur du trait et profusion des détails, propres à la série, mais avec plus d’épure et une fougue esthétique, expérimentée sous son pseudonyme Moebius.
Giraud fait donc du neuf avec du vieux : après tout, c’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures confitures….
Et c’est bien le propos du livre : un ensemble de récits secondaires tourbillonnent autour d'un Blueberry âgé (il commence à avoir des cheveux blancs, comme son auteur…), posé le cul sur une chaise à faire des jeux de hasard.
Les thématiques sont toujours un peu les mêmes (en particulier le poker, les tireurs d’élite, l’ambiance de saloon, les Apaches, les outlaws…), tout comme les planches restent découpées en deux parties (A et B) dans leur largeur.
Comme ce fut le cas dans les précédents albums, certains personnages m'ont fait penser à des personnages réels ou fictifs : c’est Campbell, aussi boursouflé que Balzac, ou son secrétaire, au petit air de Little Némo mais adulte…
Dans les albums suivants ce seront aussi Bluch, Lucky Luke, Neige, Mac Donald's, Billy the Kid, Mickey, Harry Potter, le déjeuner de Monet et j'en passe... Des clins d’œil un peu lourdingues en réalité.
De fait, quoique Giraud a essayé de rester dans le cadre, le scénario contraste un peu avec ceux de Charlier auparavant. D'une dimension moebiusienne, il n'en demeure pas moins réussi.
J’ai été happé dès l’accroche, avec une mise en abîme où Campbell et son secrétaire venus de Boston, en bons pieds tendres, découvrent l’Ouest avec stupeur.
Le plus jeune, commençant à se faire des « films », son patron lui répond : « Billy, tu as trop lu d’histoires de cow boy »...
Et puis quelle tension, que ce soit autour des mises du poker, du bluff, des relations parfois tumultueuses entre les personnages… mais surtout de la ville toute entière, qui semble comme prise dans la folie d’un jeu dangereux.
Giraud profite aussi de ce cycle pour développer, en creux, certaines réflexions contemporaines sur les Western voir la littérature.
D’un côté, il recycle les mythes de l’Ouest (Earp, Géronimo…), de l’autre il cherche à démontrer certaines de ses incohérences (garçons de vaches).
De la même manière, il semble faire un parallèle, pas si vaniteux, entre Homère et le mythe de l’Ouest, entre le théâtre et Blueberry…
Une manière de dire toute sa fierté, celle d'avoir contribué à une série marquante pour plusieurs générations.
Car oui, cette BD est exceptionnelle. Encore aujourd'hui, elle me fait passer par toutes les émotions : la peur, le rire, la joie, la surprise…
Ce seul volume justifie à lui seul le grand prix d'Angoulême, obtenu par Giraud 14 ans auparavant déjà.
Ce volume est le premier de la série à ne pas avoir été scénarisé par Charlier, qui était décédé cinq ans plus tôt. C'est le dessinateur Jean Giraud qui s'occupera dorénavant des scénarios de la série, qui pour le coup change de nom, pour devenir "Mister Blueberry". Ce dernier se trouve maintenant dans la ville de Tombstone, où sa principale occupation est de dépenser sa nouvelle fortune au poker. Il ne quittera d'ailleurs la table de jeu qu'en fin de volume, ce qui permet de mettre en lumière les nouveaux personnages secondaires de la série, dont certains se trouvent être de vraies légendes de l'Ouest, comme Wyatt Earp ou encore Geronimo. Si le scénario de ce volume n'a en soi rien d'exceptionnel, il est largement compensé par la dernière planche, un coup de théâtre mémorable.
retour de plus cèlèbre ex militaire de la bd, un album de rodage pour redèmarrer la grande aventure, l album n est pas le meilleur mais il fallait ça aprèt cinq ans d arrèt blueberry devenue joueur de poker avec son pognon se trouve a tombstone peux de temp avant le trop fameux duel. gir n assume pas la couleur mais celle ci issue d une nouvelle technique reste correct; la nouvelle compagne de blueberry est elle aussi brune comme isabelle sacrè giraud
Le plus bel épisode de la série sans aucun doute.
Ici c'est l'ouest sauvage mais résumé dans un saloon et grâce à une galerie de personnages touchant parfois ridicules parfois stéréotypé mais tous profondément humains.
Clin d'oeil à Tombstone et à Wyatt Earp en plus.
Une fin d'album sublime et une couverture d'anthologie.
Que du bonheur.
9/10.
L'un des sommets de l'oeuvre de Jean Giraud! Une maîtrise exceptionnelle du dessin (certaines cases mériteraient d'être tirées en posters grand format). Des personnages vivants, suintants et tout simplement réalistes. Le dessinateur/scanériste a vieilli, son héros aussi, et la maturité venant tout devient plus calme et "réfléchi". Empreint de nostalgie d'un temps (la jeunesse?) qui s'efface, ce Mister Blueberry séduira les amateurs de graphismes d'exception et de subtilité psychologique. Pendant tout cet épisode, notre lieutenant favori ne fait que jouer au poker pendant que le destin de son monde se noue autour de lui. Et quand il se lève de table, ce n'est que pour se faire tirer dans le dos. Bref, une magnifique parabole de la vie d'un aventurier qui nous a fait rêver pendant cinq décennies. A déconseiller formellement aux adolescents boutonneux et aux fans de "boum-boum, bang-bang". A noter que la suite de ce cycle qui s'achève avec Dust est du même calibre et constitue un superbe point final pour cette série de référence.
Me voiçi donc à lire cet album que j'ai pu acheter en EO.
Me diriez vous pourquoi?, tous simplement car en se moment j'ai envie de découvrir des nouvelle séries meme si je ne les aient pas toujours apprécié par le passé.
Içi, l'histoire est sympatique, mais est assez longue, le dessin de Giraud est correct et moyen par moment.
Pour ma part c'est loin d'etre le meilleur western, mais je suis content de m'étre réconcilié avec la série.
Je viens de renouer avec mon vieux pote le lieutenant grâce à ce cycle dessiné par GIRAUD. Quel plaisir de retrouver le vrai Blkueberry dont j'ai lu et relu toutes les aventures depuis fort Navajo jusqu'à Arizona love.