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Ce qui m'a attiré pour lire "Ascension", c'est cette couverture qui présente le personnage principal en plongée, avec sa robe bleue à carreaux en train de tourner, j'ai trouvé l'illustration hypnotique et mystérieuse. C'est ce qui caractérise le mieux cette jeune fille au prénom de "Ascension" du haut de ses 16 ans, emprunt aux rêves pour se protéger de la vie d'adulte, pour fantasmer sur un jeune garçon et sa trompette, pour s'effacer derrière la dureté de la vie et des hommes tyranniques. Un cochon volant en guise d'objectif et d'évasion, le seul moyen de s'accrocher encore à quelque chose et à la beauté de la vie.
Ne reste plus que l'interprétation que l'on fait du one shot, qui décompose le récit sur différentes stratégies et laisse le lecteur parcourir les pages aussi librement que le fait "Ascension" et que l'étau se referme. Le thème mériterait d'autant plus d'approfondissement pour le rendre captivant.
Je suis également partagé par le dessin aus traits trop épais mais avec un joli style et mouvement de son autrice, Séraphine. La couleur gâche une partie du voyage sans travail réel sur la lumière. Une baisse de la qualité graphique se fait également ressentir sur la dernière partie.
Malgré la belle préface enjoué de François Schuiten, "Ascension" aurait mérité un peu plus de recherche graphique, une narration mais aussi une conclusion plus pointues pour être satisfaisant.
Ce récit est creux comme ces vagues qui s'abattent sur le rivage. Quand on veut se la jouer dans le genre poétique, on essaye de construire un récit qui suscite au minimum un intérêt. Je ne sais pas moi...par exemple rendre la petite "Ascension" plus intéressante. Si le contact ne passe pas au début, c'est fini et on est forcément déçu.
Bien entendu, ce n'est pas ce que j'ai lu de pire mais je n'ai pas aimé. Cela ressemble à un exercice de style dans ce qu'il y a de plus pompeux: une trame devenue bizarrement absurde. C'est un peu comme du romanesque à l'ancienne: soigné et désuet. Force est de reconnaître que si le résultat n'est pas honteux, il n'est pas non plus très enthousiasmant.
Ce qui m'a attiré pour lire "Ascension", c'est cette couverture qui présente le personnage principal en plongée, avec sa robe bleue à carreaux en train de tourner, j'ai trouvé l'illustration hypnotique et mystérieuse. C'est ce qui caractérise le mieux cette jeune fille au prénom de "Ascension" du haut de ses 16 ans, emprunt aux rêves pour se protéger de la vie d'adulte, pour fantasmer sur un jeune garçon et sa trompette, pour s'effacer derrière la dureté de la vie et des hommes tyranniques. Un cochon volant en guise d'objectif et d'évasion, le seul moyen de s'accrocher encore à quelque chose et à la beauté de la vie.
Ne reste plus que l'interprétation que l'on fait du one shot, qui décompose le récit sur différentes stratégies et laisse le lecteur parcourir les pages aussi librement que le fait "Ascension" et que l'étau se referme. Le thème mériterait d'autant plus d'approfondissement pour le rendre captivant.
Je suis également partagé par le dessin aus traits trop épais mais avec un joli style et mouvement de son autrice, Séraphine. La couleur gâche une partie du voyage sans travail réel sur la lumière. Une baisse de la qualité graphique se fait également ressentir sur la dernière partie.
Malgré la belle préface enjoué de François Schuiten, "Ascension" aurait mérité un peu plus de recherche graphique, une narration mais aussi une conclusion plus pointues pour être satisfaisant.
Ce récit est creux comme ces vagues qui s'abattent sur le rivage. Quand on veut se la jouer dans le genre poétique, on essaye de construire un récit qui suscite au minimum un intérêt. Je ne sais pas moi...par exemple rendre la petite "Ascension" plus intéressante. Si le contact ne passe pas au début, c'est fini et on est forcément déçu.
Bien entendu, ce n'est pas ce que j'ai lu de pire mais je n'ai pas aimé. Cela ressemble à un exercice de style dans ce qu'il y a de plus pompeux: une trame devenue bizarrement absurde. C'est un peu comme du romanesque à l'ancienne: soigné et désuet. Force est de reconnaître que si le résultat n'est pas honteux, il n'est pas non plus très enthousiasmant.